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Le Chêne et la Souris

Le Chêne et la Souris

Dans le creux d'un vieux chêne, vieux de mille ans,
S'éveille une histoire, née du vent et du temps.
Cette fable, tissée d'espoir et de sagesses,
Dévoile en son sein, des vérités oubliées, des promesses.

I. Sous l'écorce rugueuse, la vie se presse,

Au coeur de l'arbre, dans l'obscurité profonde,
Une souris, éprise de liberté, vagabonde.
Contre l'écorce, son petit corps se presse,
À la recherche d'un monde, où règne la tendresse.

Le chêne, majestueux, aux branches étendues,
Contemple l'horizon, ses pensées dispersées dans la nue.
"Petite souris, que cherches-tu dans mon ombre clairsemée ?"
Demanda-t-il, sa voix comme feuille au vent, emportée.

II. Le dialogue s'installe, entre force et finesse,

"Ô grand chêne, je cherche un abri, une promesse,
Un coin de terre où le malheur ne pourrait me blesser."
La souris, timidement, vers le géant se confesse,
Espérant en son coeur, un peu de chaleur trouver.

Le chêne, amusé par tant d'audace et de délicatesse,
Écouta la créature, dans son écorce, se blottir avec allégresse.
"Petite amie, tu as trouvé en moi, un gardien, une forteresse,
Je te promets abri et sagesse, dans ce monde de rudesse."

III. Au fil des saisons, l'amitié se tresse,

Printemps vient, apportant avec lui, une myriade de promesses,
Sous l'oeil bienveillant du chêne, la souris danse avec allégresse.
Été suit, drapant le bois d'une mélodie chaude, sans cesse,
Ils partagent secrets et rires, échappant à la tristesse.

L'automne, en peintre habile, dore le feuillage avec ivresse,
La souris, sous le manteau doré, prépare sa forteresse.
Vient l'hiver, le chêne veille, protecteur, malgré la rudesse,
Sur son amie, endormie, rêvant de terres de tendresse.

IV. Leçon d'éternité, d'amitié, de noblesse,

Des saisons passent, la souris vieillit avec sagesse,
Le chêne, immuable, porte encore plus haut sa promesse.
"Grand ami, tu m'as montré que dans ce monde de rudesse,
L'amour et l'amitié sont sources de toute richesse."

Sous la voûte céleste, les étoiles témoignent de leur tendresse,
La souris, désormais sage, comprend la véritable noblesse.
La force n'est pas dans la taille, ni la puissance, ni l'adresse,
Mais dans la capacité d'aimer, brisant la tristesse.

Conclusion : Le chêne et la souris, entre eux, une promesse,

Dans les racines du chêne, dans le coeur de la souris,
Réside un monde caché, où chaque vie trouve son abri.
Cette histoiresimple, avec élégance, nous dit :
L'union, dans sa pureté, triomphe de la nuit.

Ainsi se termine le conte, sous la lueur d'une étoile,
Le Chêne et la Souris, une histoire sans voile.
Dans le murmure du vent, dans l'ombre et la toile,
Résonne un message d'amour, d'amitié, une histoire d'étoiles.

Dans ce monde tumultueux, portons en nous cette leçon,
Que la force réside dans l'union, la tendresse, l'affection.
Prendre soin de l'autre, en toute simplicité, sans prétention,
C'est découvrir la beauté cachée de la création.

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