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Le Pont des Adieux sous l’Étoile Maudite

Au cœur des tumultes de la guerre, ‘Le Pont des Adieux sous l’Étoile Maudite’ nous plonge dans les pensées d’un jeune poète, errant entre l’espoir et la désespérance. À travers des métaphores puissantes et une mélancolie palpable, ce poème interroge la nature éphémère de la vie et la force des souvenirs qui hantent les âmes.

Le Pont des Adieux sous l’Étoile Maudite

I.
Sur le pont désolé où pleure l’averse vaste,
La nuit, aux voiles obscurs, étreint le cœur las,
Le fracas de la guerre en échos s’amasse,
Et luit, pâle et funeste, l’étoile qui s’efface.

II.
Dans l’ombre d’un destin aux traits funestes et cruels,
Vit un jeune poète, maudit par le sort,
Dont l’âme abîmée respire un soupir mortel,
Hélas, voué à l’orage, errant sur son port.

III.
Ses yeux, miroirs d’angoisse, racontent l’épopée
D’un passé flamboyant, brisé par les combats,
Où l’espoir, pareil à l’ambre cherchent à renaître,
Sous le joug des conflits et des cris d’autrefois.

IV.
Parmi gémissements et larmes, ses vers se déclament,
Tels des serments rougis par le sang des années,
Chaque mot en soubresaut en un funeste drame,
Rappelant la douleur de l’âme écorchée.

V.
Au milieu du fracas, la pluie danse sur le pont,
Symbole de tristesse en un ballet clandestin,
Et le poète, las, se retire, en perdition,
Lui qui chérit en vain son rêve d’un destin divin.

VI.
L’obscur firmament, témoin des jours en déclin,
Fait éclore un adieu, murmure d’espérance morose,
Où les souvenirs s’entrechoquent et se joignent
Aux soupirs de la vie, aux promesses silencieuses.

VII.
Sur la chaussée mouillée, ses pas résonnent en échos,
Pleurs d’un cœur meurtri par la fureur des batailles,
Quand l’insupportable fardeau des temps nouveaux
Lui inflige sans trêve ses plus sombres entailles.

VIII.
Son regard se perd en un ciel d’astre déchu,
Où lueurs vacillantes percent la nuit immense,
Et sous la froide averse, son âme en vain s’est tue,
Frissonnant d’un adieu au parfum de la sentence.

IX.
Dans le frisson du vent, une voix se fait lointaine,
Non point d’un être aimé, mais d’un idéal fané,
Que jadis, par l’art, le destin de la vie traîne,
La muse envolée, hélas, désormais éloignée.

X.
« Ô destins contrariés, je vous rends mon dernier serment, »
Murmure-t-il en larmes, à l’heure tragique et austère,
« Que la guerre infâme scelle mon cœur en un moment,
D’un adieu éternel, offrandé aux vents de pierre. »

XI.
Le pont, tel un autel, recueille ces aveux amers,
Orné de souvenir, il pleure avec la pluie,
Et tandis que le ciel s’assombrit sous les hivers,
La destinée se tisse en ombres enfuies.

XII.
Les pas du jeune poète, hantés d’amertume,
Vibrent sur la pierre grise, laissant une trace funestée,
Telle l’écriture d’un destin et d’une amertume,
Où chaque syllabe pleure l’aube détériorée.

XIII.
Le bruit des armes lointaines se mêle aux regrets,
Syllabe de chagrin, d’une innocence dérobée,
Il s’exile sous la pluie, l’âme en sanglots discrets,
À l’heure tragique où se brisent ses rêves envolés.

XIV.
Dans la nuit dominée par la clameur des combats,
Le poète erre, solennel, sur l’arche d’un adieu,
Cherchant le réconfort, l’espoir d’un instant cas,
Alors que l’étoile seule guide ses pas malheureux.

XV.
Puis, dans le silence épais d’un ultime soupir,
Il ressasse les fastes d’un temps révolu et beau,
Où ses vers, fidèles, portaient un bonheur à venir,
Avant que l’ombre funeste du conflit ne soit son fardeau.

XVI.
Les gouttes de pluie, comme un chœur de lamentations,
Accompagnent son cœur meurtri dans l’ultime trajectoire,
Et sur le pont, en ce lieu de tristes révélations,
Résonne en sourdage un adieu, ultime mémoire.

XVII.
La scène se fige en un tableau de désolation,
Le frisson du vent caresse le vers égaré,
Chaque pierre, chaque goutte, devient la confession
D’un destin funeste par la guerre éploré.

XVIII.
« Ô toi, étoile pâle, guide mes derniers instants, »
S’exclame le poète, en une prière sincère,
« Que ton éclat, fragile, balaye mes tourments,
Emportant au loin ma peine, mon destin austère. »

XIX.
Comme l’ombre d’un ange, la pluie en perles d’argent
Vit l’heure d’un ultime baiser sur le pont désolé,
Et l’âme du poète, en une fin inévitable et lente,
S’abandonne au silence que la guerre a scellé.

XX.
Dans un murmure coupé, son cœur se confie au temps,
Chantant l’amertume des instants d’espérance,
Où jadis l’art offrait aux hommes un tendre firmament,
Avant que la fureur du combat ne brise leur innocence.

XXI.
Sur la passerelle froide, son pas s’arrête, las et grave,
Le souvenir d’un sourire, d’un regard compagnon,
Lui revient en mémoire, douce et cruelle enclavé,
Telle l’écho d’un serment, d’un amour à l’unisson.

XXII.
Ce compagnon d’autrefois, mort au combat funeste,
Vit encor dans l’âme du poète, au creux de ses vers,
Image lumineuse d’un temps où l’espoir se manifeste
Avant que s’abattent sur eux les décrets de la guerre.

XXIII.
« Adieu, ami bien-aimé, ton souvenir me hante,
Comme l’ombre d’un spectre aux doux accents d’éternité,
Ton rire, jadis là, éclaire ma route absente,
Dans ce linceul de douleur, en ma triste destinée. »

XXIV.
Ainsi, sous l’averse cruelle, son adieu se prohibe,
Et sur le pont, le passé danse avec la destinée,
En cette heure où l’art et la vie forment une strophe,
Que le temps, impitoyable, semble à jamais sceller.

XXV.
L’averse complice des malheurs, en voile de tristesse,
Embrasse le pont frissonnant de ses gouttes d’agonie,
Et le jeune poète, aux mots emplis de tendresse,
Raconte l’ultime conquête d’une âme assaillie.

XXVI.
Ses vers, tels des flèches, troublent l’air de leur écho,
Portant la confession d’un esprit en errance,
Et même les pierres, figées, écoutent en un halo
Le récit douloureux d’une inéluctable finance.

XXVII.
Parfois, dans un soupir, il se souvient du champ calme,
Où l’aube se faisait tendre aux promesses naissantes,
Avant que l’horreur guerrière n’éteigne l’âme,
Et que sa vie ne se ternisse de lames déchirantes.

XXVIII.
Chaque pas sur le pont devient un geste de défi,
Contre l’amertume du destin et les ombres du passé,
Mais l’inéluctable du sort s’impose, froid et hardi,
Dans ce théâtre de pluie et d’étoile effacée.

XXIX.
La nuit, complice des douleurs et des adieux silencieux,
Accueille son ultime soupir en une larme d’argent,
Et sur la grève, dans le vacarme des cieux malheureux,
Se grave l’agonie d’un poète en un dernier serment.

XXX.
Enfin, le temps s’égrène, et l’aube grise s’esquive,
Témoin de l’ultime page d’une vie en lutte acharnée,
Le pont, seul confident, recueille l’âme qui dérive,
Emportant en son sein l’adieu fatale d’un être brisé.

XXXI.
Sous l’éclat ténu d’une étoile, il scelle son destin,
L’écriture se meurt, son verbe vacille en silence,
Et dans l’ombre de la guerre, s’efface le chemin,
Où chaque mot murmure l’amertume d’une errance.

XXXII.
Le vent, messager funeste, vient caresser sa joue,
Comme pour effacer les traces d’un verbe incertain,
Il sait que l’heure est venue d’un ultime rendez-vous,
Entre la vie éphémère et l’obscur tombeau des mains.

XXXIII.
« Que ma voix, en ce soir, devienne la complainte
D’une âme en sursis, hélas, destinée aux pleurs,
Qu’en mon adieu se conjugue la douleur sainte,
Du dernier battement d’un cœur en mille erreurs. »

XXXIV.
Les larmes de la pluie se mêlent aux sanglots sourds,
Que répandent les vents, complices de son tragique sort,
Et sur le pont, sous l’astre pâle en un ultime discours,
S’écrit le sombre récit d’un amour de mort.

XXXV.
Dans ce lieu de l’adieu, où se fondent l’ombre et l’eau,
Les cris de la bataille se font murmure obsédant,
Et le poète, las, se fond en un douloureux fléau,
Offrant son âme au destin, en un ultime chant.

XXXVI.
Alors que s’éteint l’étoile, témoin de ce funeste pacte,
Le jeune poète se fond en un souffle de vent,
Son regard perdu, vide, scelle l’amertume intacte,
D’un adieu scellé sous un firmament déclinant.

XXXVII.
La pluie, éternelle compagne des âmes tourmentées,
Recouvre d’un voile mystique le pont solitaire,
Et dans l’ultime soupir d’une vie désenchantée,
Se mêle l’écho des regrets d’un rêve éphémère.

XXXVIII.
Le souvenir des combats, des amitiés envolées,
S’inscrit en vers d’or, dans le recueil de nos maux,
Tandis que, sur la pierre froide, l’âme est consacrée,
À l’ombre d’un instant final aux effluves de flambeaux.

XXXIX.
Là, dans l’immuable drame que la guerre impose,
Chaque goutte de pluie sculpte la fable funeste,
Et l’adieu du poète, tel un hymne morose,
Résonne en échos amers, à l’instant de la peste.

XL.
Ainsi se meurt, sous l’averse et le soir mourant,
Le jeune poète, pour qui le destin fut trop cruel,
Et le pont, témoin éternel de ce chant vacillant,
Garde en ses pierres le souvenir d’un dernier adieu mortel.

Ainsi, dans le silence troublé par les souvenirs d’un combat tragique, nous réalisons que chaque adieu est une invitation à chérir la fragilité de l’existence. Ce poème nous rappelle que même au sein de la douleur, il existe une beauté persistante, un écho d’amour que le temps ne saurait effacer.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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