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Le Soupir des Montagnes : L’Écho d’un Secret Éternel

Plongez dans les profondeurs de ce poème où un vieillard erre dans les montagnes, cherchant à dénouer le fil des secrets et des amours perdus. À travers des vers chargés de nostalgie, le lecteur est invité à réfléchir sur la nature éphémère de la vie et les conséquences des choix faits dans l’ombre.

Le Soupir des Montagnes : L’Écho d’un Secret Éternel

I. Prologue – L’hiver et ses murmures
Dans l’antre glacé d’un mont aux cimes fières,
Un vieillard marche aux pas lourds de mystères,
Ses yeux chargés d’un passé aux échos austères,
Où l’ombre d’un secret brille en fière lumière.
Le vent, en ses soupirs, conte l’ivresse d’antan,
Tandis que la neige grave son funeste chant.

Sur des sentiers perdus, en solitude reine,
Le vieux cœur se confie à l’immensité vermeille ;
La montagne est son écrin, son unique domaine,
Où la mémoire et le regret forment un sillage vermeil.
Dans le silence blanc, se délite son récit,
Un secret trop tard révélé, funeste et interdit.

II. L’Aube d’une Nostalgie Infinie
Au lever blafard d’un soleil déchu,
Le vieillard, aux traits burinés par les ans,
Parcourt ces monts où jadis il fut ému,
Quand l’amour et l’espoir dessinaient le temps.
Chaque pas sur la neige l’entraîne en souvenir,
Les regrets et les remords en un triste porche à venir.

« Ô montagne, confidente de mes douleurs,
Gardienne des instants perdus en mon âme,
Je renoue, dans ce givre, avec mes anciennes heures,
Où l’innocence et l’ivresse scellaient la flamme. »
Ainsi parle-t-il, d’une voix éteinte et sincère,
Révélant doucement l’ombre d’une ère amère.

III. La Montagne, Temoin d’un Passé Fugitif
Dans l’immensité rude, sous un ciel d’ardoise,
La roche et la glace forment un tableau funèbre,
Gardant en leur sein des promesses de balise,
Où s’enroule le temps, en spirales inadéquates.
Chaque pierre, chaque flocon, murmure une histoire,
Où se mêle la vie et l’amère quête de gloire.

Là, au détour d’un chemin, l’écho d’une voix se perd,
Celui d’une âme jadis liée à sa douleur,
Une amante oubliée, aux anges si fiers,
Dont le souvenir hante encore son cœur.
Les vents en cadence font vibrer son secret,
Telle une complainte d’un amour défunt, inébranlable et discret.

IV. Les Ombres d’un Passé Révolu
Sous la voûte céleste, aux nuages opalins,
Le vieillard se souvient d’un temps inassouvi,
Où l’amour pur, tel un astre aux feux divins,
Illuminait dès l’aube ses jours assombris.
Mais autour de lui, l’ombre se faisait pesante,
Et le destin, cruel, tissait sa toile errante.

« Ô douce mémoire, pourquoi m’ôtes-tu la paix ?
Dis-moi, mon destin, pourquoi cruelle est ta main ?
Car en mon sein, tel un fardeau jamais apaisé,
Vit un secret, gardé depuis maints matins. »
Dans ces mots chargés d’amertume et de peine,
Son âme confesse une passion qui toujours le traîne.

V. L’Énigme d’un Amour et d’un Sacrifice
Dans la tourmente des ans, la vérité fut dissimulée,
Une liaison secrète, un amour interdit,
Où l’ombre d’un serment fut à jamais scellée,
Par la peur, par la honte, par un destin maudit.
La belle disparut aux confins d’un rêve sacré,
Et le vieillard, trop tard, vit la lumière brisée.

Au cœur d’un hiver mordant, dans une nuit sans espoir,
Lorsque les étoiles pleuraient sur son regard las,
Il saisit un vieux parchemin, témoin de son histoire,
Où furent écrits les serments d’un amour en sursis, hélas !
Dans un souffle étouffé, il lut ces vers confessés,
Révélant le secret de ses amours dissimulés.

VI. Le Destin Cruel et l’Ultime Révélation
Dans ce manuscrit fragile, le destin se dénoue,
Telle une lame acérée tranchant la soie des regrets ;
Le passé se dresse enfin, comme une épée floue,
Et dévoile la trahison d’un amour désormais secret.
« Ô nuit, entends ma plainte, ô ries chères douleurs,
Car trop tard, je découvre l’horreur de mes peurs. »
Ainsi s’écria le vieillard, dans une ultime plainte,
Accablé par l’aveu d’une vérité cruelle et sanglante.

Les vers charriaient un serment, jadis murmuré,
Dans la hâte d’un temps irréparable, disparu ;
Lui, noble gardien d’un amour si mal caché,
Vit se briser son cœur par l’inflexible vertu
Du destin implacable qui souvent, sans relâche,
Fait de nos rêves les geôliers, de nos joies les tâches.

VII. L’Ultime Errance en Terrain de Silence
Dans la neige éternelle où la solitude règne,
Le vieillard errait, perdu en ses angoisses,
Le secret avoué ébranlant ses vieilles enseignes,
Chacun de ses pas devenant une douloureuse cause.
La montagne, indifférente aux sanglots sincères,
Ouvrait le gouffre profond à ses solitaires misères.

Les cimes se dressaient, telles des remparts de douleur,
Et chaque souffle froid semblait dire : « Va-t’en, ô vieillard ! »
Mais, en vain, l’âme naufragée cherchait le leurre
D’un pardon disparu, d’un espoir un peu moins bizarre.
Ses yeux, reflétant la blancheur d’un monde en deuil,
Accueillaient dans leur prunelle le regret d’un deuil sans orgueil.

VIII. Le Dialogue avec la Nature Mute
D’un ton austère, recueilli dans l’abîme des songes,
Il s’adressa aux vents, audacieux, comme un confident :
« Ô géants de l’hiver, témoins de mes longues,
N’êtes-vous point les gardiens d’un passé éclatant ?
Laissez-moi croire encore en l’écho d’un doux secret,
Que le temps n’efface point, ni ne réduise en secret. »

La nature, en écho, répondit en frissons d’argile,
« Ton cœur, noble voyageur, porte un fardeau trop vaste,
Laisse couler les larmes sur l’autel de la ville,
Et que le soir t’emporte, dans sa course céleste. »
Mais le vieillard, obstiné, poursuivit sa quête,
Refusant de fuir l’abîme de sa sentence inerte.

IX. Le Poids de la Vérité Sur les Vagues du Temps
Alors qu’un orage lointain grondait sur la cime,
Le vieillard, épuisé, s’assit sur un rocher glacé,
Et son esprit, en proie à de sombres abîmes,
Revécut en silence chaque choix délibéré.
« Mon âme, murmura-t-il, est un réservoir de mensonges,
Chaque secret retenti comme les cloches de mes songes. »

Le parchemin entre ses doigts tremblants révélait,
En lettres élégantes mais au venin d’un secret,
La promesse d’un amour pourtant trop sacrifié,
Dans l’ombre d’une époque aux vœux figés et discrets.
« Trop tard, » pleurait-il, « l’aube de ma fin s’annonce,
Et je dois accuser mon cœur d’avoir fui l’allégeance. »

X. La Descente aux Enfers du Remords
Dans le calme oppressant d’un crépuscule funeste,
Les néiges, en silence, acoladèrent ses pleurs,
Et chaque flocon portait un rêve en liesse,
Maintenant brisé, englouti dans l’amertume des heures.
Les murailles de la montagne, telles des forteresses du drame,
Se firent l’écrin du désespoir, de ce douloureux infâme.

Il se rappelait encore la voix d’une amie fidèle,
Dont les yeux clairs reflétaient les frissons du destin,
Et qui, par un serment oublié, scellaient en ritournelle
Un pacte d’amour sincère, éteint par un funeste chagrin.
« Pardonne, chère âme, » murmurait-il aux étoiles,
« Que j’ose espérer, trop tard, effacer mes maux pâles. »

XI. L’Écho de la Vérité et le Temps qui Se Fige
Dans la nuit sans lueur, où les cieux semblaient se taire,
Le vieillard lut, en dernier, cette missive glacée,
Fait de mots aux tons mordorés, lourds à déchiffrer,
Et d’un secret si cruel que même l’espoir se devait taire.
« Ma vie, écrite en cendres, est l’ultime confession,
J’ai vendu l’amour pur, vaincu par ma propre raison. »

Les lettres, telles des poignards, transperçaient son âme,
Rappelant que jadis, dans un élan de jeunesse sincère,
Il avait trahi la pureté d’un tendre et rare flamme,
Offrant à l’oubli, par orgueil, un amour que l’on espérait si cher.
Ainsi s’effaçaient les dernières lueurs de son être,
Dans la froide certitude d’un destin inéluctable à renaître.

XII. La Chute Inévitable et l’Adieu aux Illusions
Sous le regard impassible des monts aux Alpes osseux,
Le vieillard comprit, en un éclair de lucidité,
Que son cœur meurtri, trop longtemps, aurait été malheureux,
Connivence maudite d’un passé imbibé de vérité.
« Trop tard, » gémit-il, « ai-je compris l’amère réalité,
Que l’amour, une fois trahi, ne renaît point dans l’obscurité. »

Sa main se leva, hésitante, sur l’oracle de sa vie,
Et dans un geste funeste, scella le mot suprême :
L’amour et le regret se mêlent à celui qui fuit,
Pour devenir les vestiges d’un rêve qui se meurt de peine.
Il se laissa alors choir, tel un ange déchu en errance,
Emporté par le flot du remords, dans un ultime silence.

XIII. Épilogue – Le Funeste Chant des Rues de Neige
À l’aube, quand le renouveau semblait enfin pointer,
Le vieillard gisa, seul et vaincu, sur la pure neige,
Tandis que la montagne, en écho, ne pouvait qu’écouter
Les soupirs d’un être égaré, d’un destin qui s’engage
Dans la spirale implacable du temps et de la douleur,
Laisser derrière lui un secret, ultime marque de malheur.

Le vent glacial emporta, dans son sillage discret,
Les dernières paroles d’un homme rongé par le passé :
« Ô vastes monts, témoins des jours que j’ai trahis,
Pardonnez mes errements et mes serments défaillis,
Car ce secret, jadis chéri, fut mon funeste croc-en-jambe,
Et me laissa l’amertume d’un amour qui désarme. »
Ainsi s’acheva la vie, dans le fracas d’un destin brisé,
Le vieillard se murmura, en un ultime soupir, son adieu à l’idée
Que l’espoir, même dans l’ombre, ne saurait jamais se relever.

Dans cet adieu poignant, fin de la triste épopée,
La montagne, éternelle, gardera à jamais le secret
D’un amour perdu, d’un temps en vain espéré,
Et dans le givre des cimes, résonnera l’écho muet
De la confession d’un vieillard, au cœur envahi par la peine,
Dont la fin tragique, en silence, sur le monde s’entraîne.

Ô lecteur, retiens cette fable des neiges et du vent :
Que souvent le destin, cruel, nous livre sa vérité,
Qu’un secret trop longtemps tus, dans l’ombre de l’instant,
Se révèle en un éclair, pour mieux jeter l’obscurité.
Ainsi la montagne, muse austère aux mille vertus,
Sait parler en alexandrins aux âmes éperdues,
Et dans le fracas du temps, demeure le récit éternel
D’un vieillard nostalgique, victime d’un amour irréel.

Adieu, ô fragile espoir que la vie souvent dérobe ;
Que ton souvenir, dans le givre, en silence se prolonge,
Et que le secret révélé, en ultime litanie,
Servisse d’avertissement aux cœurs pleins d’hyménée.
Car même les âmes nobles, aux serments fièrement scellés,
Peuvent se perdre en un instant dans l’absence de lumière,
Laissant derrière elles, sur ce chemin glacé
Le douloureux écho d’un adieu, funeste et amer.

Dans la blancheur infinie des cimes et du destin,
Où l’amour, traître et fragile, se meurt en un soupir,
Le vieux cœur s’est éteint, scellé par son chagrin,
Et désormais la montagne garde en son souvenir
Le mystère d’un secret, trop tard dévoilé,
Trahison irréversible qui figea son passé.
Que ces vers, décorés de tristesse et d’émotion,
Rappellent à nos âmes la fragilité de toute passion.

Ainsi s’achève, dans la froideur d’un ultime adieu,
Ce chant tragique, empreint de regret et de brume,
Que l’ombre d’un vieillard, aux rêves jadis radieux,
Puisse nous rappeler, en chaque aurore que l’on allume,
Que l’amour se doit d’être sincère, pur et intime,
Sans jamais se perdre dans d’obscurs labyrinthes,
Et que le temps, impitoyable, en son cours infini,
Ne laisse que le souvenir d’un cœur meurtri.

Que l’écho des montagnes, dans la nuit qui se prête,
Puisse consoler ceux qui, en secret, portent le fardeau
D’un amour volé aux auspices de leurs idéaux,
Et que ce poème maudit, en vers aux rimes parfaites,
Soit la leçon du destin, en sa forme la plus cruelle,
Pour que jamais l’âme ne s’abandonne aux ombres,
Mais cherche, en chaque aurore, la clarté immortelle
D’un avenir apaisé, loin des doulleurs décombres.

Fin.

Ce voyage au sein des cimes majestueuses et des abîmes de l’âme nous rappelle que chaque instant doit être savouré, car le temps, impitoyable, efface les traces de nos passions. Réfléchissons aux secrets que nous portons en nous et à la beauté fugace de l’amour, nous engageant à vivre chaque jour pleinement et sincèrement.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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