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L’Errance des Promesses Oubliées

Plongé dans l’obscurité d’une nuit où les souvenirs se mêlent aux rêves évanouis, ce poème traite de l’errance d’une âme en quête de promesses perdues. À travers des ruelles silencieuses et des pierres chargées d’histoire, il évoque la douleur des serments oubliés et la quête d’un bonheur oublié.

L’Errance des Promesses Oubliées

Dans le soir où le vent se fait l’écho des songes,
Là, au cœur d’un village oublié, se meurt la lueur d’une aube incertaine,
Une âme errante, en quête d’un destin jadis promis,
S’élance sur les sentiers de rêves et de nostalgie.

Elle médite, en silence, sur le temps fuyant,
Les pierres usées par les pas d’âmes anciennes,
Chaque ruelle respire le secret d’un serment brisé,
Promesse jadis faite, ombre persistante d’un bonheur éteint.

Sous la voûte étoilée de nuits insondables,
L’errante âme, en errance, vient chercher l’instant perdu,
Quand jadis, au cœur d’un été doré,
Les éclats d’un serment résonnaient comme l’hymne de la vie.

Les berges endormies du ruisseau murmurent
Des légendes anciennes, contes de promesse éternelle,
Et sous l’éclat discret de la lune, elle se souvient
D’un regard sincère, d’un pacte scellé en silence.

I. L’Aube des Souvenirs

Au matin clair, la blancheur des murs décolorés
Cache l’empreinte d’une existence passée,
Les volets clos, gardiens d’un mystère inavoué,
Témoignent du temps où l’on s’aimait sans réserve.

Dans une demeure aux échos de rires jadis éclatants,
Se perd l’ombre d’un serment oublié,
Et l’âme en peine, en quête d’un pardon immuable,
Revivra, en méditation, l’instant de la promesse.

« Ô ombre furtive, murmure à mon cœur errant, »
Se dit-elle en parcourant les couloirs du souvenir,
« Où est-ce que s’est enfui le serment évanoui,
Celui qui devait être l’étoile guidant mon errance ? »

Les pierres du pavé, imprégnées de larmes anciennes,
Répondent de leur silence une douleur ineffable,
Et dans le regard des rares passants,
L’éclat d’une promesse se dérobe aux contours du temps.

II. Le Voyage Intérieur

L’âme errante abandonne ses chaînes terrestres,
Elle s’enfonce dans l’abîme de sa propre conscience,
Chaque pas devient une incision au cœur de l’existence,
Où le verbe de la nostalgie se mêle au chant de l’infini.

En son for intérieur se joue l’odyssée d’un destin,
Une traversée où le passé et l’avenir se confondent,
Les souvenirs fragiles se fondent en un miroir d’illusion,
Où chaque reflet crie la douleur d’une promesse impuissante.

Sur le chemin aux arbres centenaires, témoins silencieux,
L’âme retrouve les vestiges des serments oubliés,
Le vent susurre aux feuilles mortes des mots empreints de nostalgie,
Révélant l’empreinte d’un amour qui fut et ne fut jamais.

Au détour d’un sentier enveloppé de brume,
Elle découvre la trace séculaire d’un lieu sacré,
Où jadis s’était scellée l’alliance d’un être et d’un rêve,
Et dans l’ombre des arches, chaque pierre pleure une histoire.

III. La Promesse Non Tenue

Dans l’obscurité douce et onirique de la nuit,
L’âme se souvient d’une promesse jadis murmurée,
« Je reviendrai, » avait dit l’instant, dans un souffle éperdu,
Mais le serment s’est dissous en larmes de regrets et d’effroi.

Le village se revêt des atours de l’abîme,
Les ruelles témoignent de silences qui accablent le cœur,
Les souvenirs se font amers, douloureux comme du fard,
Et l’âme égarée se demande : où est l’espoir enga­gé ?

Au carrefour des regrets, une voix s’élève,
Non pas de chair mais d’écho, d’un temps immobile,
« Ô toi, promesse fugace, qu’avec foi j’avais tissé mes rêves,
Pourquoi te dissiperais-tu ainsi sous le voile du destin ? »

Les étoiles, complices de la nuit mélancolique,
Se penchent sur la scène avec un éclat d’amertume,
Telle une valse funèbre où le temps se suspend,
Offrant à l’âme un ultime chant de tristesse céleste.

IV. Le Retour aux Racines

L’errante âme, en quête d’un apaisement insaisissable,
Rentre à son village, tel un pèlerin lasse et meurtri,
Cherchant dans les pierres froides et les écorces mordorées
L’empreinte des serments jadis chéris et trop vains.

Dans le cœur des bâtisses antiques, elle lit
L’histoire d’un pacte oublié, d’un rêve qui s’est effacé,
Et chaque fragment de mémoire, chaque soupir de pierre,
Révèle la douleur d’une promesse jamais réalisée.

Les jardins autrefois en fleurs gisent en un repos éternel,
Les jardins que jadis vibraient de l’éclat d’un amour sincère,
Aujourd’hui, empoisonnés par le temps et l’oubli,
Ils murmurent en silence les regrets d’un serment trahi.

« Reviens, » implore l’ombre des peupliers,
Dans le frémissement discret des feuilles sous la brise,
« Que ton cœur, marqué par l’empreinte d’un rêve déchu,
Trouve enfin en ce lieu le repos d’une vérité fatale. »

V. L’Interstice Entre Rêve et Vérité

Les heures s’égrenant, l’errante âme se perd dans les limbes,
Où chaque bribe de souvenir se mêle à l’éther d’un espoir déchu,
Les regrets se font compagnes, les souvenirs se teintent d’amertume,
Tandis qu’en son for intérieur, l’ombre du serment se dissipe.

Dans un murmure d’éternité, le vent s’empare du destin,
Transportant l’écho d’un serment qui ne sera jamais honoré,
Et l’âme, perdue dans l’immensité du vide intérieur,
S’aban­donnant à une errance entre l’ombre et le clair-obscur.

Sur le sable mouvant du temps, chaque pas est un adieu,
Chaque respiration, un appel au souvenir brisé,
Et dans la rumeur des feuilles, l’écho d’une voix se fait ressentir:
« J’ai promis, et j’ai manqué, mon cœur, à jamais tourmenté. »

VI. Le Crépuscule des Illusions

Au terme de ce pèlerinage aux confins de l’âme,
Lorsque la lumière vacille comme l’essence d’un rêve évanoui,
L’errante âme se retrouve face à la vérité implacable,
Celui que la promesse non tenue a sculpté dans l’obscurité.

Les ruelles du village, en une chorégraphie de douleur,
Racontent l’histoire d’une vie en suspens entre espoir et désolation,
Et dans chaque murmure du vent qui traverse les façades,
Se lit l’inéluctable constat d’une destinée inéluctable.

Au crépuscule, la mer de l’oubli se pare de teintes funestes,
Laissant l’âme réunie à ses souvenirs, fragiles éclats de regrets,
Le serment jadis prononcé ne reste plus qu’un souvenir,
Un vestige d’une promesse tombée en déclin sur le fil du destin.

En une dernière prière muette, elle s’adresse aux ombres,
« Ô temps qui dévore mes rêves, ô serviteur de l’amertume,
Pourquoi me laisser errer sans jamais retrouver le chemin
Du serment que j’avais jadis gravé dans l’infini de mes songes ? »

VII. L’Adieu de l’Errante Âme

Dans la dernière heure, quand le souffle du vent se fait plus tendre,
L’âme errante, épuisée, se recueille en une ultime confession :
Chaque pas, chaque mot, chaque soupir effacé du temps,
Embrasse la douleur d’un serment à jamais inexorable.

En se noyant dans les brumes de ses regrets intimes,
Elle contemple le visage achevé de son errance,
Son cœur, désormais prisonnier des souvenirs déchus,
Se meurt dans la douce agonie d’une promesse incomplète.

Au seuil de l’obscurité, devant l’autel des mémoires défunts,
Elle murmure, en un chœur d’agonie et de résignation :
« Voici la fin d’un voyage intérieur où l’espoir se dissipe,
Un adieu à l’illusion d’un serment que jamais ne fut honoré. »

Les pierres, jadis témoins de joie, pleurent en silence
Les éclats d’un verbe sacré, désormais brisé,
Et dans le souffle final de ses derniers instants,
Un dernier soupir s’échappe, murmurant l’inévitable fatalité.

Les cieux, indifférents à son tourment, s’ouvrent en une larme d’ombre,
Scellant à jamais le destin de cette âme en perdition,
Car en ce lieu, le rêve finit où le serment s’est éteint,
Et l’errance se fond dans l’éternelle tristesse d’un adieu cruel.

VIII. L’Écho de la Promesse Perdue

Le village, désormais complice d’une histoire tragique,
Reste l’ultime sanctuaire des murmures et des regrets,
Où l’âme errante, en quête perpétuelle d’un espoir défunt,
S’éteint lentement, laissant derrière elle l’ombre d’un serment.

Les échos de sa promesse, portés par le vent du crépuscule,
Résonneront à jamais dans les veines de la terre oubliée,
Telles des stèles de tristesse, gravées dans la mémoire du temps,
Pour rappeler à ceux qui osent encore rêver le prix de l’illusion.

Dans le murmure incessant des arbres et des pierres,
La promesse non tenue se mue en un chant funeste,
Un rappel poignant de l’inéluctable destin humain,
Où l’espoir et la douleur dansent en une valse silencieuse.

Et ainsi, le voyage intérieur s’achève, tel un drame antique,
Une tragédie sculptée dans le marbre d’une existence égarée,
L’âme errante, à jamais marquée par l’ombre d’un pacte brisé,
S’efface en un ultime frisson, laissant derrière elle l’écho d’un adieu.

IX. La Résignation des Rêves Brisés

Au cœur de la nuit, quand le sommeil rejoint l’ombre,
Les vestiges d’un serment se font l’écho d’un monde révolu,
Les ruelles du village, dans leur silence mélancolique,
Conservent la trace d’un rêve qui se noie dans l’infini du destin.

Les passants, rares et égarés, se souviennent en silence
De l’âme errante qui avait jadis fait vibrer l’espoir,
Une âme qui avait osé croire en la promesse du renouveau,
Avant de succomber aux affres d’un destin inéluctable.

Dans chaque regard, se lit la douleur d’un amour inassouvi,
Dans chaque pierre, le souvenir d’un serment déchu,
Et dans le souffle du vent, le murmure d’un adieu,
Fait écho à travers l’éternité les regrets d’un rêve abandonné.

L’errance se fait mémoire d’un serment perdu dans l’abîme,
Un pèlerinage intérieur où chaque pas révèle une vérité cruelle,
Celui que la vie offre en héritage, tissé de larmes et de silence,
Et où la promesse se dissout, comme l’encre d’un destin effacé.

X. L’Ultime Oraison

Ainsi s’achève la symphonie d’une âme en exil,
Un voyage intérieur qui, dans sa quête d’un serment brisé,
A peint en mots la mélancolie d’un destin inévitable,
Où l’on se perd pour mieux renaître dans l’écho de nos regrets.

Telle est la condition de l’homme, errant dans le labyrinthe du temps,
Portant en son cœur le fardeau d’un serment jadis murmuré,
Et, dans un ultime souffle, acceptant la fin inéluctable
D’un voyage intérieur, riche en émotions, en ombres et en regrets.

« Adieu, » murmure-t-elle, dans un dernier aveu silencieux,
« Que cette promesse inachevée guide mon âme vers l’oubli,
Que chaque larme versée sur ce chemin de solitude
Devienne l’encre indélébile de ma tristesse révolue. »

Au firmament, les étoiles pleurent en un chœur funèbre,
Illuminant la nuit d’un éclat mêlé d’espoir et de douleur,
Telle la voix d’un destin qui se consume dans le crépuscule,
Laissant à jamais gravée l’amertume d’un serment non tenu.

Dans ce village oublié, sur le parchemin du temps,
Le récit d’une âme errante demeure, vibrant au cœur des âges,
Et son écho, mêlé aux murmures des pierres et des arbres,
Rappellera toujours la tragédie d’un voyage intérieur scellé par l’inévitable tristesse.

À travers l’introspection et l’errance, le poème nous rappelle que chaque promesse, qu’elle soit honorée ou trahie, marque notre existence. En acceptant les regrets du passé, nous pouvons peut-être trouver la paix intérieure et réapprendre à rêver d’un avenir meilleur.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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