Dans la voûte nocturne où scintillent les rêves,
Se dessine une épopée de lueurs qui s’élèvent,
D’une princesse d’azur aux diadèmes d’étoiles,
Cherchant au firmament son héros qui s’entôlait.
**Dans le silence des mondes, l’aventure pétille,**
**Sur le velours du ciel où chaque astre scintille.**
**Une quête se déploie sans que l’on soupçonne, -**
**La lumière dans l’obscur, l’espoir que l’on façonne.**
Elle, princesse céleste aux milles galaxies,
Dans sa robe de nuit parsemée de rubis,
Avec la lune pour guide et les comètes pour mante,
Vers ce chevalier de lumière, son regard se plante.
Il est le sombre écuyer d’une auréole oubliée,
Sous la cuirasse stellaire, un cœur enflammé palpite.
Naviguant les toiles de l’ombre avec adresse,
En quête de la flamme qui réchauffera sa princesse.
**Dans ce ballet cosmique où l’ombre danse avec la flamme,**
**Les étoiles tissent une rhapsodie pour qui les âmes s’enflamment.**
**L’union sacrée du ciel et de l’ardeur infernale,**
**Dessine en filigrane le destin de ces deux astrales.**
Au travers des constellations, leurs trajectoires se lient,
Tissant le fil d’Ariane dans l’éclat qui défie;
Et dans le grand livre du cosmos qui contient tous les destins,
Leurs noms brillent ensemble parmi les écrits divins.
La toile de leur amour, un chef-d’œuvre céleste,
Reflet d’un bonheur pur qui dans les cieux leste;
Chaque strophe une étoile, chaque vers un soleil,
Peignant l’éclat d’une union aux merveilles sans pareil.
**Ainsi va le sublime contraste de leurs natures,**
**Lui, errant dans l’espace, elle, luit d’une lumière pure;**
**Dans l’harmonie d’un tableau où les couleurs s’entremêlent,**
**Résonne l’écho d’un amour où chacun chérit l’autre avec zèle.**
En leur ballet éthéré, aucune finitude n’est dépeinte,
Dans l’infinité d’espace, leur passion reste empreinte;
Revêtant leurs âmes dans l’atmosphère d’un poème,
Ensemble, ils tracent les lignes d’un éternel diadème.
**Leurs âmes naviguent au-delà des limites terrestres,**
**Aux frontières de l’Infini, là où le Temps manifeste.**
**Pour les amants étoilés, ni l’aube ni le crépuscule,**
**Ne sont que des partenaires dans leur valse majuscule.**
Mais qu’est-ce donc que les années, lorsque l’on est immortel ?
Qu’est-ce que le chagrin ou le deuil, pour les gardiens du ciel ?
Ils savent bien, ces amants des hauteurs aviaires,
Que la vie est un souffle qui traverse les éthers.
**Et dans leur retraite impériale, éloignée des humaines guerres,**
**Ils voient que tout est éphémère, sauf les secrets de l’univers.**
**Avec la sagesse d’un monde qui n’est que poussière d’étoiles,**
**Ils offrent un regard apaisé sur les tourments qui nous accablent.**
Quand le temps finira son chemin cyclique et las,
Ils seront là, veilleurs des ères qui se succèdent à trépas;
Et la princesse des étoiles, dans ses voiles de lumière,
Annoncera l’aurore d’une ère nouvelle et singulière.
**Nous sommes des voyageurs, éphémères et passagers,**
**Dans ce grand vaisseau qu’est la Terre, nous chevauchons les années.**
**Et pourtant, comme la princesse et le chevalier,—**
**Nous pouvons briller, l’espace d’un instant, avant de nous envoler.**
Ainsi prend fin cette histoire qui n’est jamais commencée,
Car chaque nuit, sous la lune, elle est à nouveau contée.
Laissez-vous porter, âmes vagabondes parmi les hommes,
Sur l’océan du ciel, là où vos rêves prennent leur royaume.
**Et souvenez-vous, comme la toile de la nuit étoilée,**
**La vie est interconnectée, d’un tissage complexe et voilé.**
**Rien n’est indépendant, tout est vivement lié,**
**Dans le grand poème de l’univers, éternellement récité.**
Que cette épopée vous inspire et vous pousse à contempler,
Les merveilles de la nature et l’intensité de l’humanité.
Comme la princesse et le chevalier, cherchez votre lumière,
Et écrivez votre propre histoire, là où migrent vos prières.
***Les Aventures de la Princesse des Étoiles et le Chevalier céleste,***
L’odyssée d’une vie, l’éclat d’une quête modeste,
Un hymne tissé de l’encre des cieux,
Et l’éclosion de rêves dans les yeux des curieux.
