Dans le murmure du vent sous l’aurore frémissante,
Où les étoiles concluent leur veille nocturne lente,
S’effaçant doucement sous les doigts de la lumière,
Naît un chemin pavé de douceur et de mystères.
Ce sentier, tissé d’ombres et de clarté, serpente
À travers champs et rêves, guidant les âmes errantes.
Un voyage entre cœur et esprit commence ici,
Au carrefour des pensées, sous le ciel assombri.
Sur les ailes du vent, les mots voyagent, s’entrelacent,
Dansent en cadence, tels des feuilles dans l’espace.
Leur mélodie susurre les récits d’une tendresse infinie,
Échos d’une douceur antique, oubliée, mais jamais tarie.
Chaque vers est une empreinte sur le sable du temps,
Un souvenir que même l’océan ne peut effacer totalement.
Ainsi, la tendresse, comme une rivière en crue,
Traverse les saisons de l’âme, renouvelée, jamais émue.
Au cœur de l’hiver, quand le gel emprisonne la terre,
Et que le silence s’empare de la forêt solitaire,
La tendresse, telle une flamme, réchauffe les cœurs,
Éloignant les ombres, apaisant les peurs.
Mais c’est au printemps que son chemin s’épanouit,
Quand la vie, de nouveau, dans chaque recoin jaillit.
Sous le regard attendri du soleil naissant,
La tendresse bourgeonne, impétueuse, comme un torrent.
Elle voyage à travers les âges, indomptée, éthérée,
Dans la joie et le chagrin, sans jamais s’essouffler.
Un lien invisible qui unit chaque destinée,
La tendresse est la lumière dans l’obscurité.
C’est sur ce chemin que nous sommes invités à marcher,
Les yeux ouverts, le cœur prêt à aimer.
À travers chaque parole, chaque geste partagé,
La tendresse se tisse, délicatement, jamais lassée.
Que ce poème soit une ode à la douceur retrouvée,
Un appel à suivre les sentiers de la tendresse, jamais effacée.
Puissions-nous tous, dans la quête de notre humanité,
Embrasser la lumière de la tendresse, éternellement entrelacée
