Les chemins de l'art
Dans l’aube naissante où frémit l’espérance,
S’éveille un doux murmure, presque un chant,
Celui de l’art, dans sa majesté, en partance
Pour un voyage où s’entremêlent rêve et temps.
Sur les ailes du vent, l’art s’envole, s’élance,
Il danse, insaisissable, sous le firmament,
Cherchant l’âme qui, en silence, l’attend,
Pour en faire son écrin, sa plus belle romance.
Dans le cœur des hommes, l’art sème ses graines,
Faisant éclore des jardins secrets, des terres lointaines,
Où chaque couleur, chaque son, est une fenêtre ouverte
Sur des mondes inconnus, des sentiments à découverte.
L’art, dans sa quête, traverse les océans d’émotions,
Peignant avec les mots, sculptant avec les passions,
Un pont entre les âmes, un dialogue sans fin
Entre les douleurs muettes et les joies sans lendemain.
Sous les étoiles, l’art raconte l’histoire de l’humanité,
Avec ses faiblesses, ses rêves, sa diversité,
Un puzzle infini où chaque pièce, unique, est essentielle
Pour comprendre le tout, dans sa beauté plurielle.
Et dans cette étreinte, où se fond nature et créature,
L’art révèle sa force, son langage sans censure,
Il parle de l’amour sans jamais nommer la haine,
De la liberté, en esquivant la chaine.
Ainsi, les chemins de l’art, avec leurs mille visages,
Ne cessent de s’entrecroiser, de génération en passage,
Ils sont ce lien tissé entre hier et demain,
Cette constance dans le changement, ce guide vers l’infini.
Mais au-delà de ses formes, de ses éclats de voix,
L’art interroge, dans un murmure parfois,
Quelle est la place de l’homme dans ce grand tout ?
Quel rôle jouons-nous, dans ce ballet si doux ?
N’est-ce pas dans l’acte de création, que l’on se découvre ?
En donnant vie à l’invisible, en peignant nos rêves,
N’est-ce pas là, dans ce geste audacieux, que l’on s’élève
Au-delà de nos peurs, que l’on touche à la vérité, sans couvre ?
Car l’art, c’est ce miroir de l’âme, ce reflet de l’existence,
Qui, dans sa beauté fragile, sa force en apparence,
Nous rappelle que malgré l’éphémère, malgré l’oubli,
Il reste toujours quelque chose, un souffle, un cri.
Alors, que ces vers soient l’écho de cette quête sublime,
Un hommage aux chemins de l’art, en leurs rimes,
Pour inviter chaque cœur, chaque esprit en son sein,
À trouver sa voie, son art, son chemin.
Dans la complexité du monde, dans son infinie splendeur,
L’art demeure notre boussole, notre intime lueur,
Il nous enseigne à regarder au-delà des apparences,
À chercher la beauté, la vérité, en toute circonstance.
Et ainsi, en concluant ce voyage immortel,
Sur les chemins de l’art, s’ouvre un éventail
De possibles, de promesses d’un jour meilleur,
Où l’art et l’homme, ensemble, trouveront leur valeur.
Que ces mots, tissés avec amour et espérance,
Puissent résonner, éveiller des consciences,
Car dans cet univers vaste et complexe,
L’art est notre langage, notre manifeste.
Dans le silence comme dans le tumulte,
L’art est ce qui reste, ce qui résulte,
De notre passage éphémère, de notre empreinte dans le temps,
Un témoignage de vie, d’amour, un testament.
Alors laissons l’art nous guider, nous inspirer,
Sur ces chemins tissés d’étoiles, d’idées à explorer,
Car au-delà des mots, des couleurs, des sons,
Ce sont nos âmes qui s’expriment, dans leurs plus belles chansons.
Dans l'immensité de l'art, trouve sa raison d'être,
Son essence, son souffle, son éternelle quête,
Un voyage sans fin, à travers le temps et l’espace,
Où l’homme et l’art, ensemble, dessinent leur trace.
