Les exploits de Saldin, le grand sultan
Sur les terres vastes, sous un ciel d’azur infini,
Régnait un sultan, en son cœur ardent et pur,
Saldin, nom prononcé avec respect et envie,
Dont les exploits se murmurent depuis les murs.
Son royaume, bercé par les vents, grand et fier,
Était un havre où l’harmonie éternellement repose,
Ici, la paix fleurissait, éloignée de la guerre,
Et dans chaque recoin, germaient des roses.
Mais ne vous y trompez pas, son histoire est tissée
De batailles féroces, de courage, d’audacieux desseins,
Sous sa guidance, même l'ombre était apprivoisée,
Et le destin des hommes se forgeait dans ses mains.
Saldin, à la sagesse aussi vaste que les mers,
Naviguait les tempêtes, les désirs et les peines,
Écoutant les cieux, apprenant de la terre,
Il édifiait des ponts là où d’autres posaient des chaînes.
Son épée, plus qu’une lame, était un flambeau,
Illuminant la justice, tranchant les voiles de l’ignorance,
Avec elle, il dessinait l’avenir tel un pinceau,
Guidant son peuple vers l’espérance.
Dans les nuits étoilées, quand le silence parle,
On entend les récits de son empire immuable,
Là où la culture, la science, l’art décollent,
Son âme, pour toujours, reste indomptable.
Mais quelle est la source de sa puissance, son secret caché?
C’est dans l’amour des siens, la bonté sans mesure,
Dans chaque souffle, chaque geste, chaque pensée,
Que résidait sa force, sa plus belle armure.
Ainsi, en traversant les âges, sa légende vivra,
Non pas comme un conquérant avide de terre,
Mais comme un sage qui, de l’humanité, comprit les lois,
Et dans l’union, trouva la lumière.
Que retenir de Saldin, le grand sultan de renom?
Que les triomphes sont éphémères, mais les idées immortelles,
Que l'éclat véritable ne réside pas dans les couronnes, ni le som,
Mais dans l’ampleur de nos gestes, simples et purs comme l’aquarelle.
Et lorsque le crépuscule viendra caresser l’horizon lointain,
Souvenons-nous de lui, explorateur des vallées de l’âme,
Qui, dans le livre de la vie, a su y inscrire son chemin,
Nous rappelant que l'essence de notre voyage est la flamme.
Les exploits de Saldin ne sont pas des contes anciens,
Mais des échos, vibrant dans l’éther, appel à nos propres quêtes,
Ils nous invitent à chercher en nous la force et le lien,
À être les sultans de notre être, maîtres de nos faîtes.
Ainsi se termine l’épopée, en mots et en mystères,
D'un sultan, dont le nom traverse le temps, comme une ode à la vie,
Sa nostalgie, un phare dans nos nuits solitaires,
Nous encourageant à embrasser notre propre épopée, infinie.
Dans cette quête incessante de la vérité, de la beauté,
Que le souvenir de Saldin nous inspire, nous guide,
À travers l’orage ou la sérénité,
Pour que, dans chaque coeur, son essence réside.
Ainsi, par-delà les âges, son histoire est un don précieux,
Nous enseignant que l’héritage le plus noble est celui de l’esprit,
Qui, face aux défis, reste gracieux,
Et dans la toile de l’univers, tisse sa poésie, sans limites ni finis.
Que cette épopée vous ait touché, inspiré,
Porteur de lumière dans les recoins de vos pensées,
Que Saldin, le grand sultan, à jamais célébré,
Ravive en nous la quête de la paix, intensément désirée.
