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Les murmures de Cléopâtre

Les murmures de Cléopâtre

Dans l'écho silencieux de l'histoire qui se tait,
Se glisse, doux et grave, un souffle presque imperceptible.
C'est dans l'air, c'est dans l'eau, c'est dans l'ombre qui se plait
À murmurer les mots d'une reine inévitable.

Oui, c'est Cléopâtre, aimante et combattue,
Dont le nom, à travers les âges, vibre encore.
Elle, femme de pouvoir, d'intelligence aiguë,
Dans le tumulte du temps, éternellement s'adore.

Son ombre glisse sur le Nil, majestueuse,
Éveillant les lianes de lune, les étoiles cachées.
Ses pensées, tel un papyrus déroulé, luxueuse,
Raconte une histoire d'amour, de guerre, mêlées.

I. Les murmures s'élèvent, denses, captivants,
D'une époque où le soleil embrassait les pyramides.
Dans le vent, les parfums d'encens brûlants,
Et le goût du pouvoir, âcre, dans les cris épidémiques.

Ses yeux, miroirs de l'âme, révèlent des secrets,
Profonds, enfouis sous la surface ciselée de l'esprit.
Elle défie les dieux, brave les tempêtes, conquiert les regrets,
Une étoile filante dans le firmament, infiniment inscrite.

II. Dans les salles du palais, où le marbre s'éclaire,
Sa silhouette danse, entre les colonnes, souveraine.
Autour d'elle, l'air frémit, retient son souffle, se terre,
Devant l'éclat d'une reine, dont la présence enseigne.

Que sont les mots sinon des ponts vers l'âme?
Des clés ouvrant les portes des sentiments engloutis?
Cléopâtre, en murmurant, tisse une trame,
Un tissu d'espoir, de désir, contre les nuits.

III. Les étoiles, témoins silencieux de ses rêves,
Écoutent les murmures de celle qui osa défier le destin.
Ses vœux, suspendus dans l'éther, tels des sèves,
Nourrissent l'immortalité d'un amour divin.

Les rivières coulent, emportant avec elles
Les échos d'une époque révolue, mais jamais oubliée.
Dans chaque goutte, un souvenir rebelle,
Un fragment du temps, dans l'éternité encré.

IV. Sous la voûte étoilée, l'univers contemple,
La grandeur d'une femme dont le nom résonne,
Comme une ode à la vie, une force qui rassemble,
Dans le cœur des hommes, une lumière qui rayonne.

O Cléopâtre, muse immortelle de ces lignes,
Ta voix navigue au-delà des mers, des siècles.
Dans le murmure des vagues, ton histoire s'aligne,
Aux côtés des légendes, dans les airs, spectrale.

Conclusion :

Ainsi se tisse le récit, fil par fil, des murmures portés,
Par le vent, par les flots, par le sang des vies passées.
La puissance de l'amour, de l'ambition, gravée dans le marbre et le fer,
Rappelle à tout un chacun la force de l'esprit, le poids de l'univers.

Les murmures de Cléopâtre, plus qu'une épopée,
Une ode à l'humanité, dans toute sa complexité.
Et dans ce chant sublime, un message transparaît,
Que chaque âme porte en elle, un royaume à conquérir, une histoire à créer.

Ainsi, lorsque les ombres s'allongent, que les étoiles s'éveillent,
Écoutons les murmures du passé, comme une éternelle merveille.
Dans l'écho de ces voix, un miroir de nos vies,
Une quête infinie, où chaque cœur, vaillamment, s'unit.

Que dans le silence de l'histoire, résonne l'écho de nos pas,
Comme un hommage à ceux qui, avant nous, tracèrent la voie.
Les murmures de Cléopâtre, éternels, nous rappellent, à chaque trépas,
Que la vie, dans sa splendeur et ses tourments, est un sublime choix.

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