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Les oiseaux et leurs noms

Les oiseaux et leurs noms

Au seuil de l'aube, sous un ciel d'indigo pur,
L'horizon entonne la mélodie des jours naissants,
Englobant terres et mers d'un souffle d'azure.
Soudain, la beauté des ailes se déploie, élégante et dansante.

Oniriques sont leurs vols, traçant dans l'éther
Irisés d'espoir, des arcs inexplorés.
Silencieusement, ils tissent les fils de l'atmosphère,
Echos d'un monde où chaque battement est un vers,

Avec grâce, ils dessinent sur la toile du vent,
Une symphonie visuelle, où chaque couleur a sa voix.
Xylophones naturels, leurs chants résonnent, touchants et vivants,
Et leurs noms deviennent poésie, histoire tissée entre nos doigts.

Traduisons leurs dialectes d'éclats et de trilles,
Un langage universel, fluide comme les rivières.
Rappelant que nous sommes les hôtes de cette terre, fragile,
Silence et murmure, le savoir ancestral des airs.

Néisent de leurs plumes des énigmes, des signes,
Odes à la liberté, à l'infinité des cieux,
Messages portés par des vents divins,
Sublimes sont les oiseaux, gardiens silencieux.


Au fil de leur sillage, nous sommes invités à comprendre –
Impalpable est la frontière entre leurs chants et nos âmes.
L'écoute se fait intérieure, c'est là que nos esprits s'étendent,
S'ouvrant à l'unisson avec le battement sacré des flammes.


Quêteurs de vérité, ils parcourent le monde,
Unité dans la diversité, chaque espèce, un univers.
Insufflant dans leur passage, des rêves profonds,
Les oiseaux, maîtres des airs, enseignent sans revers.


Est-ce dans l'immensité de leurs voyages,
Ultime danse avec le vent, qu'ils trouvent la paix?
Xénophile, leur existence sans cage,
Rappelle l'urgence d'aimer, de vivre sans retrait.


Souvent, nous oublions que leur existence délicate,
Est un miroir de notre propre fragilité.
Observons leurs ballets, leur essence aristocrate,
Pour comprendre que chaque vie est une rareté.


Tant que le soleil embrasera l'horizon,
Erigerons-nous des ponts entre nos mondes,
Interconnectés dans l'immense chanson,
Renaissant avec eux, à chaque seconde.


Silence, écoutez… les oiseaux et leurs noms,
Éveillent en nous des échos profonds.
Orateurs du temps, libres et bons,
Nous laissent un héritage, au-delà des saisons.



Dans l'infini chant des oiseaux, il y réside une vérité,
Une clarté que seule la nature sait offrir.
Eclairent-ils notre chemin vers la tranquillité,
Xéranthèmes au vent, nous apprennent à grandir.

Plongeons dans l'abîme de leurs mélodies,
Assurant le passage vers des terres nouvelles.
Ici, dans l'unisson de leurs cris,
Renaît l'espoir, persistant comme une étincelle.

Tout comme eux, puissions-nous trouver notre voie,
Identifier les vents qui portent nos rêves,
Tutoyer les étoiles, et peut-être, une fois,
Entendre notre nom chanté avec leurs trêves.

Suivons leurs traces dans le ciel, apprentis voyageurs,
Embrassant la diversité de la vie, ses hauteurs.
Réunis par le langage universel de la beauté,
Qu'ils nous enseignent la légèreté dans l'éphémère éternité.


Au coeur de l'immensité, une résonance pure,
Une mélodie commune entre la terre et les cieux.
Xylographie de l'existence, chaque oiseau assure,
Illuminant nos jours, en faisant mieux.

Les oiseaux, avec leurs noms, nous invitent à écouter,
Leur présence un rappel que dans la simplicité réside le sacré.



Dans la contemplation de leur essor,
Observons, écoutons, et surtout, apprenons.
Nommons-les, pas seulement par leurs chants, mais encore,
Sachons voir leur véritable nom, celui qu'ils nous donnent sans son.

Engageons-nous à préserver cette harmonie,
Expérience commune, héritage de vie.
Laissons-nous guider par leur sagesse ancestrale,
Apprenant à vivre en équilibre, avec grâce et morale.


En leurs noms, dans la danse du vent et des ailes,
Sommes-nous invités à redécouvrir notre place dans l'univers,
Prenant part à la symphonie naturelle,
Y trouvant ensemble, la clé des mystères.

A la fin de ces vers, l'invitation demeure,
Pour chacun, d'écouter les oiseaux et leurs noms,
Rêvant avec eux, construisant un monde meilleur.
Optant pour le partage, dans l'harmonie, sans fantôme,
Savourant la richesse de la vie, dans sa splendeur éphémère et éternelle.

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