Les plaines de l'éternité
Sur l'horizon où danse la lumière,
Aux confins de notre vue éphémère,
S'étendent, vastes et infinis,
Les plaines de l'éternité, promesse de l'infini.
Dans ces contrées où le temps s'efface,
Le cœur de l'homme cherche sa place,
Entre rêves d'immortalité,
Et la réalité de sa finitude, acceptée.
Les âmes vagabondes, en quête de sens,
Parcourant ces étendues, vastes et denses,
Trouvent en leur course vagabonde,
Des éclats de vérité dans le creux des ombres.
Et sous le ciel étoilé, mirage lointain,
Chaque étoile, un destin, un chemin,
Guide les pas des âmes perdues,
Vers des demains, encore inconnus.
Dans le silence des plaines éternelles,
Résonne l'écho de nos querelles,
Pourtant, la beauté de l'instant,
Nous invite au calme, apaisant.
Les saisons y défilent, sans bruit,
Témoins muets de l'infini,
Dans leur cycle, elles rappellent,
Que tout change, et rien ne se fige, éternel.
La lune veille, compagne fidèle,
Sur ces terres d'une beauté éternelle,
Ses rayons, tels des phares dans la nuit,
Éclairent les chemins d'envies.
Et l'aurore, avec sa lumière naissante,
Annonce un nouveau jour, une nouvelle attente,
Dans ce cycle sans fin, la vie s'épanouit,
Chaque jour une page se tourne, qui jamais ne finit.
L'homme, dans sa quête incessante,
De sens, d'amour, de vie vibrante,
Peut trouver dans ces plaines sans âge,
Le miroir de ses propres paysages.
Car dans le reflet de cette immensité,
Se dessine l'essence de notre humanité,
Une invitation à la contemplation,
De la beauté, dans sa simple expression.
Ainsi, les plaines de l'éternité,
Ne sont pas qu'un lieu à rêver,
Mais une métaphore de notre existence,
Riches de sens, et d'essence.
Elles nous enseignent la patience,
La beauté de la persévérance,
Dans notre quête effrénée d'immortalité,
Elles nous rappellent la valeur de l'humilité.
Chaque pas en leur sein, une leçon,
Sur la fragilité de notre condition,
Mais aussi sur la force insoupçonnée,
De l'esprit, face à l'adversité rencontrée.
Alors, dans la quête de sens et d'éternité,
Regardons ces plaines, avec sérénité,
Car dans leur silence et leur immensité,
Réside un message, une vérité.
Cherchons non pas à conquérir l'infini,
Mais à comprendre, et aimer, ce qui ici,
Dans le fugace, et l'éphémère,
Fait notre voyage, si singulier, si précieux, sur cette terre.
Dans la danse des saisons, des jours, des nuits,
Les plaines de l'éternité, nous invitent,
À embrasser chaque instant,
Avec amour, passion, et engagement.
Et quand vient le temps de partir,
Laissons derrière nous, un sillage d'avenir,
Dans les cœurs de ceux qui poursuivent la quête,
Laissant une trace, aussi légère qu'une comète.
En cela, l'éternité se raconte,
Non comme un lieu, mais comme un pont,
Entre ce que nous sommes, et ce que nous serons,
Les plaines de l'éternité, un horizon.
Ainsi se conclut cette ode à l'infini,
Un rappel de la beauté de la vie,
Dans sa complexité, sa simplicité, son mystère,
Un voyage à travers le temps, un univers à découvrir, à aimer, entier.
