Les portes de l'espoir
Dans l'aube claire où frémit l'horizon,
Il est un lieu où palpité l'espérance,
Là où se mêlent rêve et raison,
Se dresse, altière, la porte de l'espérance.
Elle s'ouvre sur des chemins inconnus,
Sur des sentiers bordés de mystères,
Où chaque pas est un défi, un vœu,
Une étincelle dans la nuit, une lumière.
Ici, le vent parle la langue des sages,
Et le ciel se pare de teintes infinies,
Les étoiles y écrivent les pages
D'une histoire tissée d'harmonie.
Le courage est le gardien de cette porte,
Ses clés sont forgées d'audace et de foi,
Dans son ombre, la peur se contorsionne et avorte,
Car ici, l'âme se libère, fière et forte.
Chaque pierre, chaque brin d'herbe sous nos pieds,
Racontent les légendes oubliées de ceux qui ont osé,
Des voyageurs de l'aube, des bâtisseurs de cités,
Des rêveurs qui, sous les étoiles, ont dansé.
Dans le jardin de l'espoir, poussent les fleurs de l'avenir,
Des roses d'or, des lys d'argent, des pensées sans soupir,
Chaque pétales est un souhait, un désir,
Un secret chuchoté au vent, une promesse à venir.
Les portes de l'espoir ne se ferment jamais,
Elles invitent les âmes à s'élancer,
À franchir le seuil de l'inconnu, sans regret,
Pour écrire leur histoire, leur destin embrasser.
À travers ces portes, le monde s'offre nouveau,
Riche de couleurs, de musiques et de mots,
Où chaque être trouve sa place, son écho,
Dans la symphonie de la vie, son plus beau cadeau.
Mais derrière cette porte, il y a aussi la braise,
Le feu sacré qui en nous jamais ne s'apaise,
Celui qui pousse à chercher, à conquérir, à aimer,
À vivre pleinement, chaque instant, chaque journée.
Les portes de l'espoir sont celles du cœur,
Elles s'ouvrent sur des mondes de douceur,
Où la compassion et l'entraide sont des sœurs,
Et où l'homme, enfin, reconnaît sa vraie valeur.
Au fil des strophes, notre voyage s'achève,
Dans les profondeurs de l'âme, une sève,
Un doux murmure nous élève,
Vers la lumière, où tout s'achève et se relève.
Que ces mots soient le phare dans votre nuit,
Une étincelle dans l'obscurité qui vous fuit,
Les portes de l'espoir, toujours, demeurent entrebâillées,
Pour ceux qui rêvent, qui osent, qui aiment sans compter.
Le langage, c'est le pont entre les mondes, les êtres,
Un moyen d’explorer l'infini de notre être,
Les nuances de la vie, dans toute sa splendeur et sa détresse,
Nous enseignent l'humilité, la beauté, la tendresse.
Les portes de l'espoir, dans leur silence éloquent,
Nous parlent d'avenir, d'un destin à modeler,
D'une quête infinie vers la compréhension,
Et d'une marche, ensemble, vers l'horizon.
Dans la danse éternelle des mots et des idées,
Nous sommes les poètes, les artisans guidés,
Par l'amour, la passion, la volonté,
De créer, d'inspirer, et de la beauté, perpétuer.
Les portes de l'espoir, ainsi se referment-elles,
Non pas pour clore le récit, mais pour rappeler,
Que chaque fin n'est qu'un nouveau départ,
Un autre chemin à parcourir, un art.
Frappez donc à ces portes avec ardeur,
Sans peur, avec toute votre ferveur,
Car derrière chaque porte s'ouvre un cœur,
Et dans chaque cœur, brille l'espoir, vainqueur.
Ainsi se tisse, à travers les âges,
La toile de notre héritage,
Où l'espoir, tel un phare dans l'orage,
Guide nos pas, de page en page.
Que la lumière de l'espoir vous accompagne,
Sur les sentiers de la vie, ses domaines,
Où chaque jour est un poème, une sérénade,
Chantée à l'unisson, une ode à la promenade.
Dans ce voyage au cœur de l'humain,
La lumière de l'espoir est notre main,
Qui nous guide, nous soutient, et demain,
Sera encore le début, jamais la fin.
