Au cœur d’un silence où palpite la rêve,
S’étire un doux murmure, un frisson qui s’élève.
C’est l’éveil de la conscience empreint de finesse,
Tisse de mots, de sens, de mélancolique ivresse.
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Dans l’ambre du matin où frémit la rosée,
L’âme nue se dévoile, à l’horizon posée,
Laissant entrevoir, sous ses voiles d’innocence,
L’immense toile vierge de sa propre existence.
Comment dépeindre, en vers, ce ballet si parfait,
Ce poème sans fin où le monde est projet ?
Des métaphores ciselées dans la brume d’automne,
Défilent les images, et le silence résonne.
Sur la trame du destin se brode le chemin,
Riche de ses détours, de ses espoirs sans fin,
Chaque pas, chaque souffle un motif à parfaire,
Dans l’océan sans borne de cette quête singulière.
Silhouettes éphémères se dessinent au loin,
Par delà les vallons, sur la pente des toits.
Écho d’un univers en constante mutation,
La vie, ce manuscrit, s’écrit malgré les lois.
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L’eau vive des torrents se mue en symphonie,
Orchestre naturel aux accords de la vie,
Miroir d’argent soulignant l’éclat d’un regard,
Qui, curieux, embrasse l’étendue d’un bazar.
Sous des ciels écarlates où dorment des chimères,
L’aventure commence à l’orée des mystères,
Une odyssée du cœur, un périple de l’esprit,
Se dévoile doucement sur le papier jauni.
Le vent transporte au loin les parfums de terre,
Chuchote à nos pensées les secrets de l’univers.
C’est une danse des mots au tempo de la plume,
Une ode au voyage où chaque rime s’allume.
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Dans les profondeurs bleues de mers inexplorées,
Respirent des trésors sous les vagues dorées,
Tout comme dans l’abysse de l’âme humaine gît,
Des vérités cachées qui ne demandent qu’à surgir.
La lueur d’une étoile dans l’immense nuit noire,
Une braise d’espoir qui refuse de s’éteindre,
C’est la voix de l’encre, sur la blancheur de l’histoire,
Qui s’élève et défie le silence à l’encontre.
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Ainsi se tisse la trame d’un monde en mouvement,
De rêves colorés d’audace et de talent,
Chaque syllabe pèse le poids d’un sentiment,
Dans cette quatuor de lignes et de tourments.
Un couplet s’achève, un autre prend sa place,
Les strophes s’enchaînent dans une douce audace,
Enrichissant le thème, chaque vers un mystère,
Cachant dans ses contours un infini à faire.
Sur cette fresque immense du passé et du présent,
Se rencontrent des époques, des contes, des serments.
Sur le parchemin de la vie, l’histoire se prolonge,
Là où chaque lettre participe à la songe.
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À travers la fenêtre de nos existences passées,
Nous contemplons le monde, éternels étrangers,
Quêteurs d’une vérité qui se fuit et se confond,
Dans le mirage incertain d’une aube qui répond.
La réalité se tord en mille et une façades,
Les masques se succèdent, trahissent, puis s’effondrent,
Pourtant, au cœur même de ce jeu de théâtre,
Gît une sincérité que nul ne peut abattre.
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L’éveil de notre conscience, ce marchand d’émotions,
Nous transporte au-delà des frontières, des nations,
Dans une introspection, un voyage intérieur,
Où chaque poème est le reflet d’un cœur.
Dans l’astre de la nuit, puise ta propre lumière,
Guide-toi à l’aurore d’une ère nouvelle,
Où l’être n’est plus ombre, mais une flamme entière,
Dansant libre et sereine, intemporelle étincelle.
À la fin du voyage, quand la plume se repose,
La conscience s’éveille, trouve enfin sa cause,
Guidée par un poème aux senteurs de rose,
Dans l’univers des mots, chaque chose s’impose.
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L’éveil de la conscience est un éternel poème,
Tissé de mille vies, que doucement on sème,
Une symphonie d’instants, de pensées, d’azur,
Qui nous invite, aimants, à un destin plus pur.
Dans la beauté des lettres, dans le chant des rimes,
Se révèle le reflet d’un monde sans abîmes.
En leur cœur vibre, fort, l’esprit de liberté,
Un hymne à la vie, à l’amour, à l’amitié.
Ainsi se clôt ce chant d’une conscience éveillée,
Unissant en ses mots le simple et le sacré,
Dans ce poème-fleuve où l’âme navigue, songeuse,
S’avance la pensée, lumineuse et courageuse.
Que ce texte ensemence vos cœurs d’une étincelle,
Car dans l’éveil de la conscience s’ancre l’essentiel,
Le miroir de nos vies, le reflet de nos jours,
Dans l’infinie poésie qui se love en amour.
