soudain et dansent devant elle pour éprouver l’orage
goth veineiénéla veinen goth goth veineiénéla veinen
Le cadavre en passant perdait ses oubliettes et rentrait dans le sol bien armé de ses dents mais la dame soudain lui montrait les cachettes où des aigles mortels s’effondraient en
criant
goth veineiénéla veinen goth goth veineiénéla veinen
Pour danser sur la braise il faut mourir avant répondaient les oiseaux les doux oiseaux de poudre et les yeux qui montaient à la corde des ombres et les yeux qui blessaient les yeux
des fins du monde abattus sur les eaux laissaient tourner le vent
goth veineiénéla veinen goth goth veineiénéla veinen
mais l’arbre des unions n’entendait pas merveille la cloche inespérée se mariait au feu et l’ordre d’avancer chanté par les corneilles se lava de vin tiède et fit la part
des dieux
goth veineiénéla veinen goth goth veineiénéla veinen
Alors quatre géants descendus des abîmes portés par l’Animau qui buvait ses aïeux assis sur les décombres étreignant les victimes firent tomber les fruits en
chantant leurs adieux
goth goth godi veineiénéla veinen goth
veineiénéla veinen veinen veineiénéla veinen goth veinen veineiénéla veinen