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L’Ultime Promesse des Vagues Furieuses

Dans ce poème, le jeune poète se confronte à la mer déchaînée, symbole de ses émotions tumultueuses et de ses espoirs anéantis. À travers des vagues qui portent les échos d’un amour déchu, il nous invite à réfléchir sur la nature éphémère des promesses et des rêves.

L’Ultime Promesse des Vagues Furieuses

I
Sous le ciel d’un crépuscule enfiévré, où même les astres semblaient pleurer,
Se dressait le jeune poète, âme maudite et cœur inassouvi,
Errant sur la grève d’un destin funeste, portant en lui, tel un fardeau sacré,
La promesse murmurée aux abysses d’une mer en furie et aux échos d’un amour défunt.

II
Ô mer déchaînée, miroir de son espérance éperdue,
Tes vagues, telles des morsures d’un temps cruel,
Virent en lui renaître la nostalgie d’un serment jadis gravé
Dans les replis d’un rêve d’enfant, ivre de lumière et de promesses d’éternité.
Quelque part, sur un rivage perdu, une parole s’était envolée,
Offerte, murmure d’un serment — une promesse non tenue,
Et le jeune poète, délaissé par le destin, errant dans l’ombre d’un espoir anéanti.

III
La brise salée, complice de ses tourments,
Causait dans le fracas des flots la mélodie d’un amour brisé,
Et chaque écume, phrase en suspens, portait le murmure d’un passé
Où la parole se voulait éternelle, mais s’est évanouie comme un songe en fuite.
Il se rappellait, avec amertume, l’instant solennel,
Où des yeux étincelants, scellés par un serment vermeil,
Promirent à l’un l’autre un demain sans fin, à jamais conjuré aux vents incertains.

IV
Les mots se faisaient l’écho d’une poésie en apnée,
Tels des vers nacrés sur la peau des marées,
Et dans son regard se lisait la détresse d’un avenir en suspens,
Où la passion, vacillante comme la flamme d’une chandelle,
Combattait la morsure glaciale d’une réalité insoutenable.
L’esprit du poète, un labyrinthe d’émotions contrariées,
Ramenait sans cesse au souvenir de cette promesse,
Dont la rupture marquait à jamais le cours de ses jours égarés.

V
Au cœur de la tourmente, il se confiait à la mer,
Complice à jamais des rêves envolés et des regrets tissés,
« Ô océan, » disait-il d’une voix brisée, « la promesse qui m’avait été donnée
S’estompe dans tes remous et s’efface dans la douleur lancinante des vagues. »
Et la mer, en un grondement sourd, semblait répondre par la fureur
De ses flots indomptables, témoins silencieux d’un serment déchu,
Tandis que le vent éparpillait, en un murmure mélancolique,
Les vestiges d’une parole jadis sacrée, désormais condensée en regrets.

VI
Dans le crépuscule d’un espoir désormais fané,
Le poète, errant entre l’ombre de ses quolibets intérieurs et la lumière mourante,
Écrivait, sur le parchemin que lui offrait l’instant,
Les strophes de son destin tragique, la légende d’un rêve brisé.
Chaque mot s’articulait en un soupir, chaque vers en était la larme,
Et l’encre de ses pensées se mêlait à la sève du désespoir,
Car dans ses vers se cachait l’ultime confession :
L’espérance, si belle et si fragile, peut s’éteindre face à la violence du sort.

VII
Là, sous un ciel ensanglanté, dans la furie incessante des flots,
Il vit la silhouette de l’amour perdu, horizon d’un passé révolu,
Sa présence se dévoilait tel un mirage, obsédant et fugitif,
Insistant sur la douleur d’un serment non tenu, d’une promesse dévoyée.
« Où es-tu, mon refuge, mon unique étoile, mon adieu aux douleurs anciennes ? »
Interrogeait-il, sa voix tremblante se mêlant aux cris du vent,
Sans qu’aucun écho ne vienne apaiser la brûlure de l’abandon,
Car la marée, implacable, se taisait devant l’ombre de ce destin.

VIII
Les heures s’étiraient, semblables à des chaînes rouillées,
Et le poète, tel un funambule sur le fil fragile de l’existence,
S’enfonçait dans le labyrinthe de ses malédictions intérieures,
Chaque pas sur le sable humide étant un adieu à l’espérance.
Il se souvint de ces promesses tissées dans le creux de la nuit,
Où, sous le regard d’un firmament complice, les cœurs se liaient en silence,
Et chaque serment, gravé en lettres d’or dans l’intime de l’âme,
S’était évanoui comme un rêve aux lueurs d’un matin incertain.

IX
L’onde, portant en son sein l’âme vagabonde du poète,
Racontait une fable d’amour et de trahison,
Où l’écume et le sel devenaient les témoins d’un pacte fragile,
Battu par les rafales impitoyables d’un destin implacable.
Sous l’appel du vent, il en vint à écrire, encore et toujours,
Des chants funèbres à l’espoir décimé par l’inévitable fatalité,
« Ô mes mots, porteurs de la lumière d’un temps révolu,
Que vos vibrations soient l’hymne murmuré par cette mer indomptable. »

X
Et dans un ultime fracas, lorsque l’horizon se teintait d’un rouge lamentable,
La mer en furie parut répondre à ses prières muettes,
Chaque vague se faisait l’écho d’un adieu douloureux,
Chaque rafale, la réminiscence d’un serment envolé, une promesse oubliée.
La nature, dans sa grandeur implacable, semblait sceller son sort,
Tandis qu’un éclair transperçait les ténèbres comme une sentence définitive,
Et le poète, le regard perdu au milieu du tumulte des flots,
Vit en un instant le mur de l’espoir se fissurer sous l’assaut du temps.

XI
« Que suis-je, sinon l’ombre d’un rêve égaré,
Le vestige d’un serment que l’on ne saurait tenir ? »
Murmurait-il, la voix tremblante, face à la colère des éléments,
En ses yeux se lisant l’amertume d’une destinée impitoyable,
Emprisonné dans le cycle éternel de passions et de désillusions,
Le jeune poète, en proie à la malédiction d’un amour fané,
Cherchait en vain à recouvrer une lumière désormais disparue,
Alors que l’océan, dans sa fureur, semblait absorber son âme.

XII
Le ciel, tel un témoin muet de l’effroi, se fendait d’ombre et de cendre,
Et dans ce décor d’un drame antique, le destin se dessinait en filigrane,
Chaque élément sculptant la tragédie d’un homme épris d’un rêve inassouvi.
Le serment, jadis promesse d’un avenir radieux, brillait encore,
Tel un mirage au cœur d’une nuit où l’espérance se consumait,
Réminiscence d’un instant de grâce, désormais relégué aux confins du souvenir.
Ainsi le poète, étreint par l’éternelle mélancolie,
S’engagea sur une voie sans retour, celle de l’agonie poétique, inéluctable.

XIII
Dans la solitude d’un rivage dévasté, son âme se débattit,
Cherchant dans le tumulte des vagues la rémission tant espérée,
Mais la mer, implacable, ne se fit pas l’écho d’un pardon,
Elle offrit, au lieu de cela, le spectre d’un adieu tragique.
« Ô ma prometteuse étoile, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Implorait-il, ses mots se dissolvant dans l’écume,
Seul, face à l’immensité d’une nature en furie,
Illuminé par le désespoir et la cruelle absence d’un serment.

XIV
Les heures se firent longues, lentes, comme l’écoulement d’un fleuve de douleur,
Et chaque seconde battait son plein dans le cœur meurtri du poète,
Qui, au bord des abysses, contemplait la régression d’une vie
Où les rêves avaient cessé d’être des phares guidant son âme.
Il se souvenait des éclats d’une promesse, jadis douce comme le miel,
Aujourd’hui se transformant en un amertume qu’aucune force ne saurait dissiper.
Une dernière vision, un dernier soupir, emportait par le vent
La trace d’un espoir, fragile et pourtant si intensément vécu.

XV
Finalement, dans un instant suspendu entre la vie et l’oubli,
Le destin, tel un sculpteur cruel, vint trancher les derniers liens d’un serment éteint.
La mer, en une apothéose de violence, engloutit le jeune poète,
Emportant avec elle l’histoire d’un amour forgé dans l’ombre et le regret.
Les vagues, en une danse funeste, emportèrent ce qui restait de son âme,
Et le murmure des flots, immortel et inflexible, se mua en un requiem,
Un chant ultime pour celui dont les mots n’avaient pu conjurer
La fatale mélodie d’un espoir perdu, d’une promesse jamais honorée.

XVI
Au matin, lorsque la tempête laissa place à un calme mélancolique,
Le rivage demeurait marqué par les traces d’une tragédie ancestrale,
Les empreintes d’un pas égaré, d’un cœur brisé, se perdaient dans le sable,
Là, parmi les galets humides, le secret d’un serment oublié subsistait.
Le monde, en son inéluctable mouvement, poursuivait son éternel cycle,
Indifférent à la douleur d’un homme dont l’âme s’était noyée dans l’abîme du regret,
Et dans la douceur ambivalente de l’aube renaissante,
Les cœurs sensibles virent résonner l’écho d’un amour impossible,
D’un espoir anéanti, d’une promesse sacrifiée aux dieux impitoyables du destin.

XVII
Dans ce silence après la tempête, quand le jour semblait renaître,
L’univers paraissait pleurer la perte d’un mot précieux,
Celui qui avait jadis scellé une union sublime, un pacte d’espérance,
Et, dans la fissure du temps, l’âme du poète se révélait en écho:
« Que resterait-il de l’amour et des promesses
Si les vagues, en leur fureur, emportent tout souvenir ? »
Sa voix, fragile comme la rosée au matin, se mêlait au chant des marées,
Résonnant en un adieu éternel, un rappel de la fragilité de l’existence.

XVIII
Ainsi s’achève le récit d’un être englouti par son propre destin,
La mer, en furie, demeura le témoin muet d’un serment bafoué,
Et le vent, en porteur de souvenirs, se mit à narrer à l’infini
L’histoire tragique d’un jeune poète, dont l’espoir ne fut que l’ombre d’un rêve.
Dans l’immensité d’un univers indifférent, sa légende se fit murmure,
Un appel lancinant à la beauté rare et éphémère de la vie,
Où chaque promesse, aussi pure qu’elle soit, peut se dissiper en un soupir
Sous l’assaut implacable d’un destin, cruel et inévitable.

XIX
Le poème se clôt, non pas d’un espoir renaissant,
Mais d’un adieu définitif à la lumière vacillante d’un rêve,
Pour que jamais ne soit oublié le sacrifice d’un être
Qui, par la force même de son verbe, chanta l’amour et la douleur.
Qu’à l’avenir, les hommes se souviennent de cette tragédie,
Où la mer en furie deviendrait le manteau d’un destin inexorable,
Et que chaque vague, en écho à la voix d’un poète maudit,
Raconte, à qui veut l’entendre, l’ultime promesse des cœurs blessés.

XX
Ainsi, sous le regard éternel du ciel et des flots tourmentés,
S’enfuit, dans le silence des limbes, la trace d’un serment perdu.
Le jeune poète, en un ultime soupir, devint légende,
Et son histoire, marquée par le sceau d’une fatalité inéluctable,
Continua de hanter les esprits sensibles,
Comme l’ombre persistante d’un espoir jadis chéri,
Un espoir perdu, à jamais englouti par la furie d’une mer sans pitié.

XXI
Que cette épopée, tissée de larmes et d’une passion dévorante,
S’élève en un hymne funèbre pour tous ceux qui, naguère,
Avaient cru en la puissance d’un serment et en la beauté d’un rêve,
Pour qu’en chaque cœur résonne l’écho éternel de l’inévitable destine,
Et que, dans la vibrante mélodie du souvenir, l’on sache reconnaître,
La tragédie sublime d’un amour voué à disparaître,
Un amour qui, par le caprice des éléments et le joug du destin,
S’est offert en sacrifice à l’autel cruel de l’espérance révolue.

XXII
Ainsi se termine le chant d’un être égaré,
Une lamentation sur l’insubordination des rêves et
L’indomptable colère des vagues,
Qui, en emportant la voix d’un jeune poète maudit,
Ont scellé pour toujours le sort d’une promesse
Avortée dans l’étreinte de l’océan en furie.
Que l’on se souvienne de lui, non pour la douleur qui l’a consumé,
Mais pour la lumière fugace de ses mots,
Brève et poignante, glorieuse par leur éphémère beauté,
Avant de s’évanouir, à jamais, dans l’insondable abîme du destin.

À travers les ondulations des vagues et le fracas de la tempête, nous sommes rappelés que chaque promesse, bien que précieuse, peut s’effacer sous l’assaut du temps et du destin. La douleur de l’amour perdu nous pousse à apprécier la beauté des moments éphémères et à embrasser nos propres vérités, même face à l’inéluctable.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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