Je confesse un amour pour Madrid, ville où l’histoire respire sous les tuiles rouges et les platanes. Le narrateur parcourt tes ruelles, tes musées et tes places comme on relit une lettre ancienne. Entre mémoire mauresque et heures baroques, ce poème-acrostiche tisse un lien intime avec la cité.
Acrostiche pour Madrid
Aux murs du Palais Royal, la pierre murmure les fastes de l’empire au soir.
Dans les salles du Prado, Velázquez et Goya veillent sur l’âge d’or au soir.
Retiro, lac miroir, où les barques et les saules apaisent le cœur au soir.
Ivres de tapas, jasmin et café, les places et San Isidro chantent encore au soir.
De la Puerta del Sol à la Gran Vía, la ville porte mémoire et résilience au soir.
Je t’aime, Madrid: ton sang mauresque, tes heures héraldiques et tes révoltes façonnent notre chant. Viens écouter les cloches, feuilleter les toiles au Prado et te perdre dans les allées du Retiro. Viens, la ville t’ouvre ses places, ses musées, ses marchés et ses fêtes, invitées par la lumière.
Clés de Lecture du Poème
Genre Poétique: Acrostiche lyrique, ode intime et historique.
Thèmes Abordés: Amour, mémoire urbaine, patrimoine (Mayrit, Palais Royal, Prado), résilience et vie quotidienne.
Atmosphère Évoquée: Ocre et roux des tuiles, jasmin et café, cloches au crépuscule, marché animé et brise sur le Retiro.
Invitation du Poète: Visiter les musées (Prado), le Palais Royal, flâner à la Plaza Mayor, goûter les tapas, se reposer au Retiro et vivre les fêtes comme San Isidro.