Dans le vent des soupires de mon cÅur esseulÃĐ
Voyageant sur les cordes d’un violon aÃĐrÃĐ
De chagrin sur les routes de mes rÊves avÃĐrÃĐs,
Emportant le sourire dans les airs qui ÃĐtalent
Le parfum sur des fleurs ÃĐtÊtÃĐes de pÃĐtales.
Tes murmures comme des chÅurs qui racontent l’ÃĐpopÃĐe
D’une ruÃĐe mÃĐlodieuse d’une plÃĐiade mÃĐlopÃĐe,
Avançant au recul vers l’abysse du nÃĐant
Dans un ciel sur une ÃŪle qui oublie l’ocÃĐan,
Survolant les ÃĐtoiles qui se comptent sur les doigts
D’une caresse sur des plaies ÃĐpargnÃĐes de la joie.
La complainte de tes dires comme l’ÃĐclat du tonnerre
Qui prononce dans la nuit toute la rage de l’hiver,
Accueillant sur des flammes la cantate d’un solfÃĻge
Qui se fond sous les braises dans les cendres de la neige,
Embrassant en secret dans une valse ÃĐlancÃĐe
Le cadavre de ton ombre dans une tombe de pensÃĐe.