Dans ‘Migrateur Pris’, Olivier Larronde nous plonge dans une atmosphère mélancolique où les couleurs de l’automne rencontrent le sentiment de voyage et de perte. Ce poème, écrit au 21ème siècle, interpelle sur la beauté éphémère des saisons et leurs implications émotionnelles. À travers des images vibrantes, Larronde nous invite à réfléchir sur notre propre parcours et notre place dans un monde en perpétuel mouvement.
Mortes couleurs de mauvais temps Novembre en plumes de voyage — Autant en portent les autans — Seuls des vols reste ce langage Pris à la source en la quittant Dont un reflet tenait en cage Sourire outremer des printemps.
Ce poème nous rappelle la fugacité des instants et la richesse des souvenirs. N’hésitez pas à explorer davantage l’œuvre d’Olivier Larronde et à partager vos impressions sur ce voyage poétique.