La mer, vaste étendue bleue où le ciel et l’eau s’étreignent, nous évoque à chaque marée un ballet sans fin, un hymne à la puissance de la nature. Dans son frémissement, elle murmure des secrets millénaires, des histoires de tempêtes et de calmes sereins. Ce poème dresse le portrait de cet océan majestueux, tantôt doux, tantôt impétueux, témoignant de son immensité et de sa beauté sauvage.
Ode à l’immensité de l’océan,
Sur le rivage de mes pensées vagabondes,
La mer déploie sa toile de bleu profond,
Un mystère vivant, aux vagues fécondes.
Là où le ciel s’embrase au crépuscule,
Chaque goutte d’eau danse en éclats d’argent,
Ses vagues, comme des rois sur un trône de bulles,
Roulent et déferlent, lassant le temps errant.
L’écume s’accroche aux cailloux, légère,
Chuchotant des légendes de vieux marins,
Des rêves naufragés dans l’air salé et amer,
Tandis que le vent emporte leur refrain.
O forces de l’océan, puissantes et vives,
Des tempêtes rugissantes aux calmes plateaux,
Vous jouez avec les cœurs comme des rives,
Emportant nos peurs, bercés par vos flots.
Les phares se dressent, sentinelles des cieux,
Guidant les vaisseaux perdus dans la nuit,
Tandis que les étoiles, lucioles en jeux,
Rendent hommage à cette férule infinie.
Ô mer, miroir de nos âmes troublées,
Dans ton abîme, tant de rêves échoués,
Chaque marée, un battement insondable,
Révèle des promesses, traces indomptées.
Regarde ces vagues, témoins du temps qui passe,
Elles exigent respect, elles exigent silence,
Dans leur étreinte, elles portent l’espace,
Un souffle de vie, une éternelle danse.
En contemplant l’océan, ressentons ce souffle puissant de la nature, cette beauté brute qui nous rappelle notre fragilité et notre force. La mer est un miroir de nos émotions, un lieu où se rencontrent l’infini et l’éphémère, nous invitant à apprécier chaque instant, à nous laisser porter par ses vagues, tout en restant attentifs aux leçons qu’elle nous offre.