Dans le doux murmure des nuits étoilées, où les rêves s’entrelacent comme des doigts entrelacés, je souhaite te confier les battements de mon cœur. À chaque souffle, ma passion se tisse, tel un fil d’argent qui relie nos âmes. C’est une danse silencieuse, sauvage et tendre, une vague de sentiments qui étreint mon être tout entier. Voilà le reflet intense de cette amour qui transcende les mots, une profondeur inexplorée que je m’apprête à te dévoiler.
Lorsque tes yeux rencontrent les miens, doux abîmes,
je chavire, ivre d’une lumière divine,
Un océan d’émotions, sans rivage,
à chaque sourire, je brise les ancrages.
Dans le jardin secret où nos rêves s’épanouissent,
chaque pétale, une promesse, une douce cerise,
Je t’imagine, farouche fleur,
émergeant du silence, emportant mon cœur.
Ton rire, une mélodie, une étoile filante,
qui illumine les ombres, qui chante, qui enchante,
Tes mots sont des vagues, ils caressent ma peau,
me portent doucement vers des rives de roseau.
Chaque instant passé, un univers à savourer,
une étreinte éthérée, un souffle partagé,
Et dans le silence, nos âmes s’entrelacent,
un pacte éternel que le temps entasse.
Lorsque nos mains s’unissent, chaleur palpable,
l’amour coule en nous, rivière inépuisable,
Qui oserait mesurer, quantifier,
l’essence de cet amour, notre douce vérité ?
À travers l’espace, à travers les âges,
je porte en moi notre bel héritage,
ta voix, mon écho dans l’immensité,
mon refuge, ma force, ma réalité.
Si le monde devait s’arrêter en un instant,
je choisirais cet amour, ce lien flamboyant,
Car au fond des abîmes, c’est là que je trouve,
la profondeur unique de ce que l’on éprouve.
Et au terme de cette odyssée des sentiments, je réalise que l’amour véritable n’est pas seulement une passion fulgurante, mais un voyage continu à travers les dimensions de l’âme. C’est cadeau d’une présence, la fusion de deux cœurs battant à l’unisson, une aventure sans fin où chaque jour est un nouveau chapitre à écrire ensemble, un récit où la profondeur des sentiments ne connaît d’autre limite que notre imagination.
