Au cœur des nuits étoilées, l’imaginaire s’éveille,
Là où les rêves, comme des papillons légers,
Dansent sur des mélodies de l’infini,
Peignant les cieux de mille nuances, en secret.
C’est un voyage sans boussole, sans rivage,
Où chaque pensée, à la frontière du réel,
S’épanouit en fleurs de magie et de sagesse,
Préparant l’âme à la douce ivresse des merveilles.
Dans la nuit, un murmure, un souffle apaisant,
Les ombres se dessinent en contes délicats,
Un jardin suspendu aux histoires des ancêtres,
Où les rivières murmurent des chants d’autrefois.
Chaque étoile brille comme un rêve oublié,
Chaque larme, une perle d’espoir sur la mer,
Les arbres, témoins silencieux de nos désirs,
Sont les gardiens des secrets que nous sommes.
Un chevalier sans armure, au galop de ses pensées,
Traverse des paysages où le temps s’estompe,
Les montagnes chantent des ballades de sagesse,
Les océans murmurent des promesses d’horizons.
Les vallées abritent des rires, des éclats de vie,
Les nuages, en ombrelle, protègent nos rêves,
Et dans ce monde éthéré, tout devient possible,
Les rêves dessinent les contours de notre légende.
Éveiller l’imaginaire, tel un parfum de roses,
C’est ouvrir les portes d’un royaume d’infini,
Où les pensées s’envolent comme des oiseaux,
Et caressent l’âme de douce poésie.
Entre l’aube et le crépuscule, le rêve s’invite,
Remplissant de couleurs un tableau vivant,
Et chaque instant devient une toile à peindre,
Révélant les merveilles que l’univers nous tend.
Lorsque l’éveil surgit, avec son lourd manteau,
Se fane parfois la magie de cette danse,
Mais au fond des cœurs, une étincelle perdure,
Un écho de ces rêves, une douce résonance.
Car l’imaginaire, bien que fugace et voleur,
Nous rappelle que la vie est un souffle de lumière,
Et que chaque rêve, même éphémère,
Porte en lui l’espoir de lendemains enchantés.
Dans ce voyage au cœur de notre esprit,
Nous découvrons que les frontières sont illusoires,
Que le rêve est un phare, une douce mélodie,
Nous invitant à danser aux rythmes des histoires.
Ne baisse jamais les yeux, cher voyageur des cieux,
Car en chacun de nous résonne un monde merveilleux,
Un univers féerique, vaste et infini,
Où nos âmes vagabondent, libres et épanouies.
