Dans le vaste océan de l’existence humaine, deux rives se dressent : le bien et le mal, éternels protagonistes d’une histoire sans fin. Que signifie vraiment agir avec bonté ? Et où commence la frontière des ténèbres ? Ce poème se veut un reflet de cette dualité, une exploration des chemins que nous empruntons, balisés par les choix qui dessinent nos âmes.
Entre ombre et lumière, s’élève un murmure,
Des cœurs tourmentés, tissés de brume et d’ardeur.
Sur la route sinueuse des doutes qui perdurent,
Le bien se fraie un chemin, comme un doux perturbateur.
Les rires d’un enfant, fragiles étincelles,
Rendent à la vie sa douce clarté,
Mais le serpent, rusé, avec ses mots cruels,
S’insinue, façonnant l’aube de l’iniquité.
Où se cache le mal aux masques de velours ?
Soudain, un regard, une promesse tranchante.
Dans le jardin secret où fleurissent nos tourments,
Les roses du bonheur côtoient l’absente amante.
Le choix, lourd héritage, pèse sur nos épaules,
Nous bâtissons des ponts ou creusons des fossés.
Chaque geste, un écho, chaque mot une boussole,
Dans ce bal délicat des réponses à tracer.
Ainsi, marchons ensemble dans cette danse confuse,
Réveillant en nous l’écho de nos actions.
Car vivre dans l’éthique, c’est une juste excuse,
Pour forger un destin, au-delà des illusions.
Alors, levons nos voix, unissons nos âmes,
Certains jours seront d’or, d’autres de fer rouillé.
Dans l’étreinte du bien, la beauté nous clame,
Et nous serons témoins de notre vérité.
Le chemin est parsemé d’embûches et d’hésitations, mais il demeure essentiel de garder en tête que nos choix ont un poids. La quête de l’éthique, de la justice et de la bonté s’épanouit dans les battements de nos cœurs, où le bien et le mal s’entrechoquent sans cesse. Réfléchissons à nos actes, car c’est là que réside la véritable essence de notre humanité, façonnée par l’expérience et la réflexion.
