Dans un monde où l’horizon s’assombrit, où les cris des opprimés résonnent comme les échos d’un désespoir inconsolable, je me tiens, témoin de l’injustice qui s’ancre dans le quotidien. Chaque vis visage, chaque geste porté, chaque rêve brisé dessine un tableau sombre, un cri silencieux demander d’être entendu. Au coeur de ce tumulte, je choisis de dénoncer, de porter la voix de ceux qui n’en ont pas, d’appeler au changement avec l’espoir d’un aurore éclairant les chemins oubliés.
O toi, humble spectateur de cette vie inégale,
Dans l’ombre des ruelles où s’épanouit le mal,
Les âmes égarées, par le sort malmenées,
Se meuvent avec peine, leurs rêves confisqués.
Là-bas, dévorés par la faim, des cœurs s’éteignent,
Tandis qu’en haut, les puissants, leurs verres se remplissent;
L’injustice s’infiltre, insidieuse et certaine,
Faisant des innocents son fouet, sa malice.
Les rires des enfants se mêlent aux soupirs,
Des larmes de femmes, des pleurs silencieux;
Dans le bruit des sirènes, dans le gris des délires,
Se tissent des histoires, des chagrins ombrageux.
Mais au cœur de la nuit, une lueur tremble,
Des voix s’élèvent, résolues à lutter;
L’espoir en bandoulière, un rêve en étincelle,
Pour revendiquer justice, pour s’unir, avancer.
Ode à la résilience, à ceux qui s’arc-boutent,
À chaque pas vers la lumière, un choix de courage;
Rassemblons nos forces, ne laissons rien d’absoute,
Car ensemble, nous briserons le plus sombre des rivages.
Donnons voix aux muets, tendons la main aux faibles,
Transformons les pleurs en chant d’espoir fervent;
Car la force du changement, dans nos cœurs, s’assemble,
Et les chaînes se brisent, comme un cri résonnant.
Que ce poème soit un appel au cœur battant, un écho de solidarité envers tous ceux que le sort a accablés. La vie, à travers ses injustices, nous enseigne la valeur intense de notre humanité commune. Embrassons le défi, unissons nos énergies, car le changement commence avec nous, et chacun de nos pas peut éclairer un peu plus l’obscurité qui nous entoure.
