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Rêve et réalité sous un pont sous la pluie

Dans ce poème poignant, nous explorons les profondeurs de l’interaction humaine, où un marin désillusionné rencontre une mystique figure féminine sous un vieux pont, devenu témoin silencieux des rêves perdus et des réalités cruelles. Ce voyage poétique oscille entre la beauté des illusions et la dureté de la vie, mettant en lumière une rencontre bouleversante qui change tout.

Les Ponts du Destin

I.
Sur l’onde grise d’un soir aux reflets mélancoliques,
Errant, l’âme égarée, navigue un marin tragique ;
Sous la lourde voûte céleste, en proie aux flots amers,
Son cœur, épris de rêves aux accents de mystères,
S’engage sur un chemin vague où se brisent les espoirs,
Et le destin s’enfle, terrible, dans un murmure noir.

Aux abords d’un pont antique, trempé par l’averse,
Où se mêlent les récits, murmurés et contraires,
Lui, naufragé d’illusions et de vagues tumultueuses,
Cherchait en ce refuge d’ombre la paix indulgente et précieuse ;
Là, dans le souffle glacé d’une pluie obstinée,
Une rencontre s’annonçait, aux accents d’une destinée.

II.
Brodé de doutes et d’incertitudes, le marin s’avance,
Porté par l’écho de ses songes en quête d’espérance ;
Chaque pas sur ce vieux pont semblait mener au secret,
D’un rêve suspendu aux marges du réel et de l’éthéré,
Tandis que l’averse, en cascade, berçait l’instant fuyant,
Et que la nuit, complice, étirait l’ombre en un chant.

Soudain, au détour d’un recoin aux lueurs incertaines,
Il vit se dessiner une silhouette aux formes sereines ;
Une dame étrange, l’âme en peine et la voix d’un soupir,
Dont les yeux, miroirs de l’âme, invitaient à s’arrêter et à se dire
Ces mots sans retour, ces confidences en suspens,
Comme si le temps s’était arrêté dans le vent.

III.
« Ô noble voyageur, murmure une voix feutrée,
Quelles tourments emportez-vous en cette nuit d’obscurité ? »
Ainsi s’exhala la voix, en un chant aux accents divins,
Éveillant l’espoir du marin, brisé par ses chagrins.
« Je suis né sur les flots, aux bras des houles infinies,
Mais mon cœur, en errance, se meurt en quêtes inassouvies. »

Leurs regards se mêlèrent, reflet d’une passion interdite,
Où le rêve se confondait à la dure réalité, sans limite ;
Dans la pâle lumière offerte par l’averse en concert,
Se noua un lien fragile mais d’une intensité sincère,
Comme deux âmes à la dérive dans un océan de tourments,
Liées par un destin tragique, aux reflets d’un temps mourant.

IV.
Sur l’arche humide du pont, l’instant devint éternel,
Les gouttes, telles des larmes, peignaient un tableau solennel ;
« O destin, puissant tyran, scelle ce pacte inéluctable,
Où rêve et réalité se fondent d’un amour implacable. »
L’échange fut une offrande aux cieux et aux vents vagabonds,
Une danse éphémère où se brisaient mille horizons.

Nos deux êtres, perdus dans le vacarme d’un monde défait,
Échangèrent des serments que le temps lui-même ne défait :
« Que nos âmes, liées à jamais par ce hasard subversif,
S’entrelacent en la douleur et en l’instant fugitif,
Pour défier l’âpreté des flots et l’âcreté de la vie,
Face aux assauts du destin et aux moroses mélancolies. »

V.
Ainsi, sous l’averse, le marin ouvrit son cœur meurtri,
Déroulant en vers sincères ses tourments et son infini ;
« Jadis, sur l’océan vaste, j’avais goûté à la douceur
D’un temps où l’espérance se mariait à mes ardeurs ;
Mais les tempêtes intérieures, l’abîme de mes regrets,
Ont fait de moi un voyageur, prisonnier de mes secrets. »

La dame, en écho aux maux, offrit une écoute tendre,
Ses yeux, miroirs d’un passé, semblaient vouloir comprendre
Les dissonances d’un être emporté par le vent,
Dont l’âme, tourmentée, clame en vain un destin fervent.
« Ô cher marin, en tes mots se lit une sombre vérité,
Nous sommes les échos d’un rêve à l’instable destinée. »

VI.
Les larmes se mêlèrent aux gouttes d’une pluie infinie,
Chaque vers, chaque soupir, chantait l’hymne de la vie ;
Sur le pont, sous la voûte céleste aux lueurs fanées,
Le rêve et la réalité dansaient, l’un infini, l’autre damné.
Le temps semblait suspendu, enlacé dans une valse amère,
Tissant une trame d’émotions, lente, d’un fil de pierre.

Au-delà de l’instant magique, un sombre présage se dessinait,
L’ombre d’un destin cruel et implacable se révélait :
Le choc du rêve avec la froideur impitoyable du réel,
Annonçait l’inévitable fin d’un amour périssable et mortel ;
« Oh destin, scelle en ton sein la douloureuse vérité,
Que les âmes égarées doivent s’abîmer dans l’éternité. »

VII.
Dans un ultime murmure, la dame confessa son secret,
« Je suis l’illusion des songes, l’écho d’un passé défait,
Et toi, marin esseulé, perdu en la mer de l’oubli,
Tu n’as su voir que le rêve, qui dans l’ombre te bénit. »
Les mots s’envolèrent, portés par le vent d’une tristesse infinie,
Révélant que leur rencontre n’était qu’un fruit de l’utopie.

Le marin, en proie aux vertiges d’un amour insaisissable,
Vit poindre le voile froid d’une fin inéluctable ;
« Ainsi va la vie, insaisissable et cruelle,
Où le rêve se meurt face à la force du réel. »
Et dans l’agonie d’un instant, son cœur se fendit en deux,
Submergé par les regrets et les échos d’un adieu.

VIII.
Les gouttes de pluie, témoins silencieux du drame,
Chantaient la complainte d’un destin en proie aux flammes ;
Le pont, jadis lieu de promesse, se mua en tombe oubliée,
Où l’ombre du marin et la silhouette de rêve furent liées.
« Que ton souvenir brille, ô étoile aux reflets lointains,
Comme un phare tragique guidant les âmes dans leur chemin. »

Au creux des flots sombres, là-bas, son esprit s’éteignit,
Et, dans l’infini du néant, à jamais se dissout l’oubli.
Le pont sous la pluie, témoin muet de leur rencontre éphémère,
Garda pour toujours l’empreinte d’un amour sincère et austère,
Celui qui, en un instant, unit rêve et réalité,
Pour mieux souligner la fin cruelle d’une vie contrariée.

IX.
Là, sur l’arche du temps, se nouait un triste prélude,
L’ultime écho du rêve que nul ne pourrait revivre en multitude ;
Les vagues salées, en cadence avec le souffle du vent,
Chantaient les regrets d’un marin, l’âme en errant lamentant
Les quêtes inassouvies, les rêves engloutis par les flots,
Qui se brisent contre la rive, en éclats de maux.

Sur le pont, une dernière fois, le voile se dissipa,
Emportant avec lui la douce illusion qui jadis s’abrita,
« Adieu, mon cher compagnon de rêves et de douleur,
Que ton nom résonne en échos dans l’éternelle ardeur
De ceux qui, en ce monde, cherchent encore la lumière,
Même si les ombres du destin étreignent leur prière. »

X.
Et le temps, implacable, poursuit sa course inflexible,
Laissant derrière lui ces âmes aux amours indicibles,
Où le rêve se fit fable, et la réalité un linceul,
Enveloppant de larmes fredonnes l’issue d’un adieu funeste et cruel.
Le marin, en son dernier soupir, confiait à l’immensité
Les regrets d’une vie perdue, à jamais vouée à sombrer.

Dans l’écho des vagues, dans la bruine et la pénombre,
Reste l’ombre d’un amour qui, à jamais, se promène dans l’ombre.
Le pont, gardien muet de rencontres et d’infortunes d’antan,
Conserve en son sein le secret d’un rêve errant ;
Ce rêve, où se mêlait la splendeur et la rigueur du temps,
Se transforma en tristesse, éternelle, inéluctable et vacillant.

XI.
Ainsi s’achève le chant de ce marin et de sa muse,
Un récit écorché par la douleur, que le destin refuse
De connaître un heureux dénouement ; seul subsiste
Le souvenir d’un instant volé, d’une trêve presque mystique.
« Ô temps, suspend ton vol ! » murmuraient ces voix disparues,
Tandis que l’ombre s’allongeait et que la vie se rendait nue.

Dans les brumes d’un crépuscule où se mêlent les regrets,
La silhouette du marin, telle une ombre aux pieds défaits,
S’effaçait doucement, emportée par l’onde morose,
Tandis que la dame se fondait en un souffle de rose ;
Le pont, éternel témoin d’une rencontre aux destins croisés,
Garda en lui la douleur des rêves à jamais effacés.

XII.
Ce pont sous la pluie, théâtre d’un drame épique,
Raconte encore le récit d’un amour quasi mythique,
Celui d’un marin isolé, égaré entre ciel et mer,
Dont la quête de lumière se heurta à l’amertume amère ;
Là, dans l’instant suspendu, où l’espoir vacillait,
Une âme s’unit à une autre, en un ultime et funeste baiser.

Les vers s’enchaînent, riches d’un pathos sans répit,
Où la splendeur du rêve se pare des ombres du transit,
Et l’on ne peut qu’implorer, quémander auprès des cieux,
Que l’ombre de ce destin tragique, scellé en adieux,
Rappelle à nos cœurs l’insatiable soif d’un avenir,
Où le rêve, face à la rude réalité, doit enfin mourir.

XIII.
Dans l’immensité des flots, dans la clameur de la pluie,
Se mêlent des notes d’espoir et l’inéluctable bruit
Des pas sur le vieux pont, résonnant comme un glas,
Annonçant la fin d’un rêve, le glas d’un cœur las.
« Adieu, cher monde, » semblait murmurer le marin,
Avec la douleur d’un écho en ces instants si câlins.

Que reste-t-il de nous, si ce rêve en vol fut vain,
Si la réalité impitoyable, par sa main de dessein,
Vient briser nos illusions et sceller nos destinées,
Dans ce pont, en ce soir d’orage, où l’âme est dépouillée ?
Seul subsiste le souvenir d’un baiser volé, d’un aveu,
D’un amour irrésolu sur la rive d’un destin trop impromptu.

XIV.
Ô lecteur, dans ce drame aux accents de désespoir,
Contemple l’amer tableau d’un cœur cherchant son espoir ;
Là où le rêve, tel un mirage, s’efface sous la pluie,
Et la réalité, cruelle, déchire en éclats la vie.
Dans la beauté du malheur, le destin nous enseigne
Que, parfois, l’ultime rencontre n’offre qu’une peine.

Que ton âme, en écho, retienne la leçon amère
D’un marin perdu, errant, en quête d’une lumière,
Car en ce pont sous la pluie, témoin d’une passion,
Se scelle l’histoire tragique d’une irréversible union.
Le rêve et la réalité, en une danse inflexible,
Se heurtent et se mêlent, en écho tristement indicible.

XV.
Ainsi s’achève l’histoire, mais jamais ne s’éteint
La flamme de cet instant, où l’amour se fit destin ;
Le marin, en son dernier souffle, vit son rêve périr,
Et dans la tourmente des vagues, il s’en alla s’abîmer,
Laisse derrière lui le pont, l’ombre d’un doux adieu,
Un murmure éternel, porteur d’un chagrin silencieux.

Les pleurs de la pluie et le vent chuchotent encore
L’hymne tragique d’un être, dont la vie fut un décor
De rêves éphémères se mêlant à la froideur du réel,
Où, sur le pont, sous la brume, l’instant devint mortel.
Telle est la destinée d’un cœur, épris de douce chimère,
Qui, entre rêve et réalité, se meurt et se perd.

XVI.
Ô toi, voyageur des songes, retiens en ton souvenir
L’histoire d’un marin et d’un rêve qu’il ne put retenir,
Car dans l’ombre de la vie, les amours se font éphémères,
Et les ponts sous la pluie, témoins d’instants si sincères,
Nous rappellent qu’en chaque rencontre, malgré sa brève grâce,
Se cache l’inéluctable destin que le temps embrasse.

Et quand viendra l’heure où le cœur se fera las,
Que les souvenirs se fondent dans un dernier trépas,
Souviens-toi de ce pont, de cette pluie qui berçait le soir,
De ces vers aux accents tragiques qui chantèrent l’espoir
D’un marin perdu en mer, d’un rêve en déclin,
Et d’une destinée funeste, scellant nos lendemains.

XVII.
Tel est le chant épique, la ballade du temps égaré,
Où le rêve et la réalité en un ultime baiser
Ferment la destinée d’un homme, d’un être éperdu,
Emporté par des marées d’émotions jamais résolues.
La dame, reflet d’un passé, s’estompe dans l’onde opaque,
Et le marin, en silence, s’efface comme une traque.

Les vers se font litanie d’un destin inéluctable,
Où l’espoir se brise en éclats, la vie devient inévitable
Fleur fanée, en proie aux assauts de la réalité cruelle
Et aux tourments d’un rêve qui se rit aux yeux du ciel.
Ainsi, dans ce pont sous la pluie, se scelle la douloureuse vérité,
Que chaque vie, chaque rêve, s’achève dans la nuit du passé.

XVIII.
Que ton cœur, ô lecteur, en ce récit, trouve la sagesse
De distinguer le rêve qui berce l’âme en allégresse,
De la rude réalité, qui, d’une main inflexible,
Arrache aux esprits vagabonds une illusion invincible.
Car le marin, dans l’océan de ses regrets éternels,
Nous livre la leçon d’un amour, d’un destin sans ritournelles.

Et lorsque la brume s’épaissira sur le sentier éphémère,
Que les pleurs de l’averse se mêlent aux murmures de terre,
Rappelle-toi l’histoire d’un homme, d’un rêve jadis éclatant,
Dont le cœur, entre lumière et ombre, fut tragiquement tremblant.
Sur ce pont, sous ce ciel de nuit, le passé et le présent
Fusionnent en un adieu funeste, vibrant d’un chant poignant.

XIX.
Ainsi, dans le silence lourd des souvenirs inassouvis,
La légende du marin et de l’amour se traduit,
En un poème d’âmes égarées et d’instants irrévocables,
Où le rêve se confond avec le réel, aux accents implacables.
Chaque goutte, chaque soupir, en est un écho lumineux,
Rappelant que la vie est un pont entre l’éphémère et l’éternel,
Et que, malgré toute sa grandeur, le destin demeure impitoyable.

Que perdurent dans l’âme ces vers d’un temps révolu,
Où le rêve et la réalité, en un baiser défendu,
Se firent la promesse d’un amour à l’ombre du crépuscule,
Pour mieux marquer à jamais le cours d’un destin ridicule.
Dans l’amertume de la pluie, dans la lueur de l’adieu,
S’inscrit l’histoire tragique d’un cœur brisé, l’âme en feu.

XX.
Ainsi se ferme le livre des destins entrelacés,
Où le rêve, en trompe-l’œil, s’efforce d’être embrassé
Par la froide réalité des heures qui se meurent,
Et le marin, par son adieu, laisse en héritage la douleur
D’un amour éphémère, d’un mensonge aux teintes d’or,
Qui, sous la pluie incessante, se dissolut en un cri mort.

Ô lecteur, en ces vers, puisses-tu apercevoir la vérité
De cette rencontre fatale, d’un rêve en ultime clarté,
Sans jamais oublier que la vie est éphémère,
Que nos quêtes d’amour et d’espoir sont destinées à la galère.
Que le pont sous la pluie demeure le phare de nos regrets,
Le lieu où se confondent nos rêves, nos pleurs et nos secrets.

Car, dans la danse infinie de l’ombre et de la lumière,
Chaque rencontre scelle l’âme d’un être en prière,
Et même si le temps emporte nos rêves dans le néant,
Les échos de ce destin, poignants et déchirants,
Résonnent en nous comme un avertissement subtil
Que la beauté du rêve se meurt, inéluctablement, en fil.

Ainsi s’achève l’épopée tragique, l’ultime refrain
D’un marin épris de rêves, guidé par un destin chagrin,
Et ce pont sous la pluie, éternel monument d’un adieu,
Reste le témoin d’un amour, d’un instant précieux
Dont la splendeur fut la douleur et dont la fin s’agrippe
À nos âmes, évoquant sans fin le poignard de l’ultime scripte.

Que les mots ici tissés, avec leurs rimes d’agonie,
Réveillent en ton cœur la mélancolie infinie
D’un rêve qui se noie dans le flot brutal du réel,
Et d’un amour qui se meurt, en un adieu cruel.
Car, au terme de ce chant épique, et de ce destin éperdu,
Nous comprenons que le rêve n’est qu’un éclat incongru,
Et que, sous cette pluie persistante, une ultime vérité
S’inscrit en nos mémoires, à jamais, en éternité.

Fin.

À travers les gouttes de pluie et les ombres d’un pont, cette poésie nous rappelle que chaque rencontre, chaque rêve ou espoir, porte en lui le pouvoir d’élever nos âmes ou de les plonger dans la mélancolie. Réfléchissons à nos propres parcours et à la fragilité de nos rêves, car tout comme le marin, nous naviguons sur les flots parfois tumultueux de la vie, cherchant une lueur même dans les plus sombres vicissitudes.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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