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Souvenirs d’enfance sous un désert infini

Dans ce poème, le vieillard errant à travers un désert infini évoque les souvenirs d’une enfance chérie. À travers ses réflexions, nous découvrons comment le temps et l’amour façonnent notre existence, laissant une empreinte indélébile sur notre cœur.

Les Sables du Souvenir

I
Dans l’immensité d’un désert sans espoir,
Où le vent murmure aux dunes un vague soir,
Vit un vieillard, témoin d’un temps envolé,
Dont le cœur, aux regrets, s’en est chargé.
Ses pas solitaires sur sable effacé,
Comme l’ombre d’un rêve jadis éveillé,
Réveillent en lui l’écho d’un tendre passé,
Celui d’une enfance aux charmes tant aimés.

II
Sous un ciel infini aux reflets d’ambre et d’or,
Brillaient jadis, en son âme, mille trésors ;
Un temps où les rires et les chants d’enfants purs
Allumaient l’âme d’un monde aux charmes si sûrs.
Parmi les mirages et les dunes sans fin,
Il se souvient d’un doux frère de son destin,
L’âme d’une enfant, éclat de lumière
Qui guida ses pas sur la route solitaire.

III
Les souvenirs d’enfance aux parfums indicibles,
Étreignent son esprit d’un amour infaillible :
Dans un verger d’illusions et de rires fins,
S’épanouissait en lui un rêve divin.
Là, sous le ciel azuré aux promesses d’un jour,
Il cueillait le bonheur en humble détour,
Ignorant les assauts du temps brutal et cruel,
En ces jours d’or où l’espérance demeurait fidèle.

IV
Hélas, le destin, aux desseins immuables,
Allait contraindre l’âme en un sacrifice palpable.
Car dans l’ombre du désert où tout se meurt,
Lui-même portait l’amer fardeau d’une douleur,
Celui d’un amour pur et d’un serment ancien,
Promesse faite, au seuil d’un printemps lointain,
De consacrer sa vie, ultime offrande,
Pour l’être aimé, source de sa joie grande.

V
En un soir où les astres pleuraient sur l’étendue,
Il entendit en son cœur l’appel d’une vertu,
Un murmure discret, tel un chant mélancolique,
Lui indicant l’heure d’un geste héroïque.
Les souvenirs d’une enfance bercée en tendresse
Étaient le flambeau de son amour, sa forteresse,
Et pour honorer celle dont l’âme l’avait charmé,
Il devait sacrifier la vie qu’il avait menée.

VI
Sur les vastes étendues des dunes abandonnées,
Le vieillard, las, en ses pas solitaires,
Revêtit le manteau d’une cause princesse,
Son regard, enflammé, d’une foi singulière.
Il se souvient alors du doux visage aimé,
De l’innocence d’un temps à jamais figé,
Et dans la vallée de ce désert sans retour,
Il se prit à rêver d’un adieu, dernier séjour.

VII
« Ô toi, souvenir d’un rire d’autrefois,
Dans ce sable mouvant, je gravis ma loi,
Car pour toi, aimée, mon existence se meurt,
Et de mon corps brisé se fera le labeur
D’un sacrifice ultime et d’un tendre adieu.
Que mes larmes fassent éclore ce vœu précieux,
Celui de sceller en l’éternel firmament
Les serments d’un cœur en quête de l’aimant! »

VIII
Ainsi parla-t-il, dans la clarté mourante,
Ses mots vibrants portés par la brise dansante,
La voix du cœur chargée d’un destin si lourd,
Où la douleur se mêle aux éclats d’un amour.
Les dunes paraissaient pleurer en silence,
Accablées par la tendre et funeste sentence,
Tandis qu’au gré du vent, son âme se déclinait,
Prête à offrir l’ultime don qu’il jurait.

IX
Les souvenirs d’enfance s’embrasent en son esprit,
Comme les feux d’un passé que le temps ternit.
Il revoit la clarté d’un ruisseau miroitant,
La douceur des instants d’un bonheur naissant.
Chaque grain de sable, souvenir immuable,
Résonne en lui d’un écho ineffable,
Et l’image de la bien-aimée, pure et sincère,
Guide ses pas vers une fin devenue lumière.

X
Le vieillard, héros du devoir silencieux,
Traverse les sables au destin périlleux.
Il se rappelle les jours d’un tendre automne,
Où les arbres en fleurs, en secret, résonnent
Comme un doux écho aux serments d’autrefois.
D’autre temps, leurs regards, unis par un choix,
Promirent l’hiver, le printemps et l’été,
Dans un bannissement des douleurs effacées.

XI
Déambulant, son âme lourde de regrets,
Il affronte l’errance d’un chemin secret,
Où chaque pas, chaque souffle, chaque soupir
Évoque les amours que le temps a de-çà à luire.
En ce désert infini, il sent la présence
De l’être aimé, source pure de son essence.
Sous l’ardeur de l’astre mourant et d’un zéphyr,
Il se résout à offrir son ultime empire.

XII
Ce sacrifice, amère offrande au destin,
Pare d’un voile de tristesse les lendemains.
Il sait que sa fin, dans ce désert isolé,
Sera le sceau d’un amour jadis révélé.
Sa main tremblante trace sur la peau fatiguée
Les stigmates d’un temps météorisé,
Où la chaleur du souvenir apaisait l’âme
Et guidait ses pas vers une ultime flamme.

XIII
Au cœur de ce désert aux mélancolies infimes,
Le vieillard engage sa lutte contre le crime
D’un destin fatal dont la trame est inéluctable,
Une valse avec le Temps, d’une force inexorable.
Les dunes lui murmurent en un dernier écrit,
Que le prix de l’amour est scellé par un cri ;
Ainsi, avec courage, il s’avance vers l’obscur,
Prêt à que son destin se brise en murmures.

XIV
Dans la solitude immense de la nuit claire,
Son souvenir d’enfance se fait lumière,
Et l’image de l’aimée, plus vive que le jour,
Apaise en son âme la douleur, l’ardeur du séjour.
Mais le sacrifice, lourd comme la plume d’un funeste sort,
S’apprête à fuir toute vie et tout accord.
Telle l’onde qui s’évapore sous le ciel meurtri,
Son être tout entier se délite, épris d’infini.

XV
Alors, sur le fragile seuil d’un crépuscule amer,
Il scelle le pacte avec le destin, en soupir sincère,
« Pour toi, ma douce, mon amour d’antan,
Je m’en vais, délivrant mon esprit vacillant.
Que la vie s’éteigne en un dernier baiser,
En une offrande sacrée, par l’ombre désignée,
Afin que jamais ne s’efface le doux souvenir
De nos âmes liées dans un tendre empire. »

XVI
Sous la voûte des cieux, il tarit sa force,
Et le désert recueille en silence sa course,
Tel un ultime chagrin offert aux vents du temps,
Son coeur se brise en éclats de sang apaisant.
Les dunes, témoins d’un amour si profond,
Se souviennent des serments des jours qui s’en vont,
Et dans leurs plis, en secrets refrains,
Se glisse la mélodie des amours en veille, sereins.

XVII
Ce sacrifice ultime, acté sous l’astre mourant,
Fait naître une humble larme sur le firmament,
Le souffle du vieillard s’éteint en une clarté d’or,
Semant dans l’air le parfum d’un dernier accord.
Les âmes de jadis, en un murmure éternel,
Accueillent ce triste coeur dans leur chant solennel,
Car même la mort, en sa froide et cruelle étreinte,
Ne saurait effacer l’amour que son cœur peinte.

XVIII
Et voici que se livre, sur l’étendue immonde,
L’apothéose d’un sacrifice en silence profonde,
Le vieillard, en son dernier acte empli de grâce,
Offre sa vie, en offrande subtile et tenace.
Dans l’écho du désert, retentit la plainte
D’un destin exilé, d’une vie qui se feint
De poursuivre la route, malgré la fin inéluctable,
Tel un parfum d’amour, son âme est inaltérable.

XIX
Au loin, l’horizon pleure une aurore d’abandon,
Le vent, porteur de souvenirs, fredonne en son frisson
Les refrains d’un passé où se mêlaient la joie
Et la douce brûlure d’une tendre foi,
Tandis que le sable, immuable, cache en son cœur
Les traces d’un sacrifice en éclats de douleur.
L’ultime offrande, gravée dans l’âme du désert,
Marque à jamais l’existence d’un destin sans repère.

XX
Dans le silence accablant d’un monde délaissé,
Le vieillard repose en paix sa destinée brisée.
Ses yeux clos révèlent mille visions en suspens,
Les souvenirs d’enfance en un éclat émouvant,
Où les rires d’un temps doré se fondent à l’aurore,
En promesse d’un amour qui jamais ne se tord.
Ainsi, le sacrifice ultime, douloureux tribut,
Scelle le serment éternel d’un amour absolu.

XXI
Et dans le souffle d’un vent aux murmures anciens,
On sent encore vibrer des serments câlins,
Celui du vieillard, héros d’un destin morose,
Dont l’âme s’est offerte pour une passion grandiose.
Sa légende, gravée dans l’ivoire des dunes, témoigne
Que l’amour, vainqueur de tout, en sa force se déploigne,
Même si la fin, inéluctable et poignante,
Frappe le cœur du monde d’une douleur saisissante.

XXII
Alors que se dissipe la lueur d’un dernier jour,
Le désert, complice de cette tragique histoire,
Chante dans un murmure de sable et de vent,
La leçon d’un sacrifice, l’ultime chant
D’un vieillard qui, dans l’ombre de sa destinée,
A su, par-delà le temps, sceller son humanité.
Chaque grain de sable porte en lui l’écho subtil
De ces serments passionnés, désormais immobiles.

XXIII
Et le souvenir d’enfance, telle une étoile éteinte,
Illumine encore l’esprit d’une âme contrainte
À vivre le sacrifice, son ultime offrande,
Dans le désert infini, l’horizon en guirlande.
Les adieux de l’amour, empreints d’un lugubre songe,
Laissent dans l’air un secret que la nuit prolonge :
Même dans la perte, le cœur trouve sa vérité,
Car l’amour immortel défie l’éternité.

XXIV
Ainsi s’achève ce récit, décliné en vers d’or,
Où l’ombre d’un vieillard, en noble effort,
A laissé parler son âme de souvenirs enfuis,
D’une enfance radieuse désormais révolue.
Son sacrifice, ultime offrande à l’être aimé,
Raconte qu’en chaque cœur jadis épris, caché
Vit l’espoir incandescent, la flamme, malgré le mal,
D’une passion sacrée, indestructible et vitale.

XXV
Dans le sable éternel, se fondent larmes et serments,
Les murmures d’un passé et d’un amour triomphant.
Que chacun se souvienne de ce noble sacrifice,
Où l’espoir se mêle aux pleurs d’un cœur en supplice.
Car même lorsque l’ultime adieu vient frapper l’âme,
Le souvenir d’enfance, tel un astre, se réclame,
Offrant à ceux qui errent sur les dunes de la vie
La consolation d’un amour jadis épanoui.

XXVI
Voilà, lecteur, l’histoire gravée en ces lignes sublimes,
Dans la langue des anciens, aux éclats d’or et d’abîmes,
Où le vieillard, solitaire, en sacrifice ultime
A scellé son destin dans un monde en doctrine.
Écoute le chant du désert, la mélodie des regrets,
Et sens en ton cœur la trace de ses secrets,
Car l’amour, en toute tragédie, demeure éternel,
Un flambeau d’espérance dans l’ombre du temps mortel.

XXVII
Ainsi s’achève ce long poème au souffle désolé,
Où le cœur vaincu demeure en un écho sacré.
Que la tristesse du sacrifice et la nostalgie d’antan
Restent en ton âme, douce empreinte des instants
Où la vie, en son ultime éclat, offrit sans retour,
L’amour suprême et pur, source de tout espoir toujours.
Et dans ce désert infini, où l’écho se fait prière,
Vit le souvenir d’une enfance, d’un amour légendaire.

À travers les échos des souvenirs et les sacrifices d’un amour éternel, ce poème nous rappelle que même au milieu des douleurs, c’est l’amour qui nous unit et nous guide vers la lumière. Réfléchissez à ce que vous êtes prêt à offrir pour ceux que vous chérissez, car chaque sacrifice, aussi douloureux soit-il, peut se transformer en une source d’espoir et d’immortalité.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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