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Souvenirs d’enfance sous un village oublié

Le poème ‘Souvenirs d’enfance sous un village oublié’ nous invite à un voyage introspectif, où le voyageur chemine à travers les méandres de son passé. Là, il découvre les ombres des promesses non tenues qui hantent encore ses souvenirs d’enfance, écho d’une époque révolue, teintée de mélancolie et d’espoir déçu.

L’Ombre des Promesses d’Enfance

I.
Dans le silence d’un soir aux teintes mélancoliques,
S’avance un voyageur au pas d’âme solitaire,
Errant sur des sentiers aux routes antiques,
Où l’ombre berce la mémoire d’un temps légendaire.
Son cœur, en proie aux regrets et aux amours fanées,
Porte l’empreinte vive de ses souvenirs d’enfance.
Les vents chuchotent encore les rires d’antan,
Échos d’une promesse qui fut faite avec espérance.
Sous le voile du crépuscule, ses yeux semblent pleurer
Les serments jadis pris, en un souffle emporté par l’oubli.
En chaque pierre usée, chaque ruine abandonnée,
Lui reviennent les mirages d’un rêve jadis chéri.II.
Au détour d’un chemin, surgit un village oublié,
Où le temps s’est figé en un éternel soupir.
Les maisons, aux volets clos, gardent secrets murmurés,
De joies d’enfance naissantes et de promesses à venir.
Là, le voyageur, las, contemple l’ombre d’un passé,
Aux allures de mythe vivant, fragile et tant chéri.
Les ruelles silencieuses rappellent l’instant sacré,
Où l’on jurait amitié, en serments d’infinis cris.
Parmi ces lieux désolés, l’espoir renaît en douceur,
Mais se voit trop vite obscurci par un destin cruel.
Car ainsi, au cœur du néant, se brise l’ardeur,
Et l’âme s’efface en lambeaux sous le joug de l’amer ciel.

III.
Il se souvient d’un temps où l’enfance était promesse,
Quand l’innocence bercait au matin l’univers.
Dans les jardins fleuris, s’éveillaient mille tendresses,
Et l’esprit se gorgeait d’un bonheur sincère et divers.
Mais le fil du destin, implacable et sans retour,
A délié les vœux d’un serment murmuré au vent.
Une parole, fragile, se mua en funeste détour,
Laissant le cœur meurtri, en un adieu déchirant.
Dans l’ombre d’un souvenir d’or et de douce lumière,
Le chant d’autrefois se perd en un soupir infini,
Éteignant la promesse d’une amitié sincère,
Telle une étoile bise, qui s’éteint à l’aube du matin.

IV.
La route se pare alors d’un voile d’amertume,
Où la mélancolie chante en rythmes d’alexandrins.
Le voyageur, égaré, recueille la brume
De ses jours éteints, aux reflets d’or et de destins.
Sous le ciel d’un émoi, les souvenirs se mêlent,
Formant un tissu fragile, aux fils de doloreux serments.
Son âme, en errance, se trouve obstinément prisonnière
Des échos d’un passé révolu aux tons apaisants.
Il traverse le village, où chaque pierre redonne
L’ombre d’un sourire, d’un instant d’éternelle grâce.
Et s’élève en humble prière, une complainte monotone,
Pour une promesse envolée, laissant son cœur en disgrâce.

V.
Au cœur d’un jardin triste, la fontaine se fait témoin
Des serments jadis murmurés en un pacte sempiternel.
Les eaux claires reflètent l’innocence et le chagrin,
Conjointe à l’image d’un passé empli de miel.
La promesse non tenue berce en silence ses regrets,
Et l’âme du voyageur se perd en une rêverie.
Le murmure des cascades lui rappelle ces doux attraits,
Quand enfant, l’espoir brillait comme un astre ébloui.
« Viens, mon cher ami, reste et partage l’avenir, »
Avait-il un jour juré aux confins de la voisine vie.
Mais l’heure s’est enfuie, et l’écho d’un tendre soupir
N’est plus qu’un vestige amer de son rêve en éclats fuis.

VI.
Dans la pénombre d’un soir, la route exhale la douleur
D’un destin inéluctable, tissé de destins fragiles.
Le voyageur, noble errant, se languit de ces heures
Où l’amitié se scellait en serments tendres et subtils.
Chaque pas résonne d’un adieu, d’une parole perdue,
Telle une flamme vacillante dans la vaste nuit d’hiver.
Les souvenirs se parent d’un voile de tristesse accrue,
Où l’ombre d’un passé radieux se fond dans le mystère.
Sa voix, tremblante et douce, confesse aux cieux altérés
La peine d’une promesse enfuie à l’heure de l’aurore.
Les anges du souvenir, de leur chant apaisé,
Portent l’âme meurtrie du voyageur, en son décor.

VII.
Sur le pavé luisant, reflets d’un temps immobile,
Il s’arrête enfin devant la porte d’un vieux manoir.
Le regard empreint d’un rêve tendre, mélancolique et fragile,
Il se souvient du serment, d’une amitié d’autrefois.
« Reste, mon ami, » murmurait le vent aux feuilles d’or,
Portant la voix d’un enfant qui n’osait se taire encore.
Mais l’écho s’est rompu, et l’avenir se fit mort,
Pour sceller à jamais la rupture de ce doux décor.
Dans le creux des murs défaits, l’ombre d’un sourire
Revient en fugace apparition, perle de douleurs.
Et le voyageur, le cœur serré, se sent enfin trahir
Par la fatalité impitoyable qui brise ses ardeurs.

VIII.
Les saisons se succèdent en un bal de tristesse,
Chaque aube, chaque crépuscule rappelant l’inévitable fin.
Ainsi, le héros d’antan subsiste dans la faiblesse,
En quête vainement de l’éclat d’un destin divin.
La route se referme sur lui, étroit chemin d’amertume,
Où l’espoir s’efface dans la brume d’un temps révolu.
Les souvenirs d’enfance deviennent arme et enclume
Sur lesquels le fardeau du regret est lourdement accru.
Chaque pierre, chaque arbre semble pleurer cette absence,
Et le cœur du voyageur s’amenuise en un frêle soupir.
La promesse, jadis offerte avec exquise insouciance,
Prend des airs funestes, et son âme vient à s’affaiblir.

IX.
Dans le silence d’une nuit où les astres se lamentent
Sur les blessures secrètes d’un passé désormais nu,
Le voyageur se recueille, son regard se présente
Comme le miroir brisé d’un enfant aux rêves perdus.
Il murmure aux ténèbres ces vers chargés de douleur,
Évoquant la promesse non tenue et l’amour envolé.
Chaque mot, chaque strophe est le reflet d’un malheur,
D’une existence où l’espoir fut, trop tôt, effacé.
« Ô destin implacable, rend-moi le temps des caresses, »
Implore-t-il en vain, durant l’heure où l’âme se meurt.
Mais la vie, implacable, fait fi des tendres caresses,
Et scelle en son sein l’ultime chagrin des heures.

X.
Quand l’aube se lève enfin sur un rêve évanoui,
Le voyageur, las de errance, s’efface dans le souffle du vent.
Son pas résonne encore au cœur d’un souvenir enfui,
Où l’enfance, en promesse, offrait un éclat si séduisant.
Dans le village déserté, son destin se fond en un adieu,
Marquant d’une larme tacite l’inéluctable tragédie.
Tout n’est plus qu’un écho, un murmure sous les cieux,
D’un serment jadis vibrant, désormais vain et défini.
Ainsi s’achève la route d’un âme en perpétuelle errance,
Dont le cœur, meurtri par le poids des instants dérobés,
Se noie dans l’oubli cruel d’une inassouvie espérance,
Tandis que les ombres portent à jamais ses regrets sacrés.

XI.
Au seuil d’un matin blême, l’âme du voyageur chancelle,
Comme un fragile papillon pris dans l’étau du destin.
Les vestiges d’un rêve d’enfant se font lourds et cruels,
Et l’écho d’une promesse se perd sous un voile chagrin.
Lui qui fut porteur des serments et d’un espoir infini,
Se voit désormais meurtri par le temps et ses éclats.
Chaque souvenir, chaque rire fort jadis ravivé,
S’efface en un soupir, comme brisant un fragile pacte.
Le vent lui dérobe la voix, jadis fière et exaltée,
Laissant en son sein une douleur d’un silence obsédant.
Ainsi, dans le flot inexorable d’un destin trop austère,
La promesse s’éteint, telle une flamme en perdition.

XII.
Lorsque, au crépuscule, l’ultime heure s’approche,
Le voyageur, accablé, contemple l’horizon défunt.
Sa vie, tissée de regrets, s’effrite et se détache,
Comme l’ombre d’un souvenir en un instant trop commun.
La douce promesse d’enfance, jadis claire et si vibrante,
S’est muée en écho triste d’un monde désormais vide.
Les ruelles du village, d’une nostalgie apaisante,
Chantent la fin d’un rêve, d’un idéal que l’on évide.
Et alors que l’ultime larme se mêle à la rosée,
Le cœur du solitaire se brise en un cri muet,
Marquant d’une empreinte indélébile et glacée
La tragique histoire d’un serment à jamais inachevé.

XIII.
Les jours s’écoulent comme lents fleuves de douleur,
Portant en leurs flots le souvenir d’un temps radieux.
Pourtant, au fond de son âme, subsiste une lueur,
Un éclat ténu, vestige d’un tendre instant précieux.
Dans le murmure du vent, il entend les rires d’antan,
Échos d’un passé lointain, d’un bonheur immaculé.
Mais l’horloge du destin, implacable et tyrannique,
Efface peu à peu l’espoir, laissant la vie s’étioler.
Et pour chaque serment brisé et chaque rêve consumé,
Naît le désir amer de réparer l’infini malheur,
Pour combler l’abîme cruel, en une prière murmurée,
Contre le sort tragique qui vole l’âme et le cœur.

XIV.
Au dernier soupir d’une journée aux ombres languissantes,
Le voyageur, las, se recueille près d’un vieux chêne.
Le murmure des feuilles semble offrir, en voix apaisante,
Un doux adieu à ces promesses qu’avait jadis semées.
Il repense aux heures dorées, aux rires et aux caresses,
Aux serments échangés dans l’éclat d’un rêve enfantin.
Pourtant l’agonie d’une promesse se meurt en tristesse,
Emportée par le vent funeste qui scelle son chemin.
Tandis que l’ombre s’allonge sur la terre en silence,
Le cœur se fend, empli d’un douloureux regret,
Songeur aux destins brisés, aux abandonnes errances,
Acceptant l’inéluctable d’un destin sans secret.

XV.
Dans l’ultime lumière d’un crépuscule en partance,
Le voyageur, humble et brisé, se fond à l’univers.
Son âme, en quête d’amertume, se lie à l’inconstance
D’un passé jadis scellé par des serments sincères.
Les pierres du vieux village, gardiennes de son histoire,
Chantent la mélodie funèbre d’un amour déchu.
Et dans la froide étreinte d’un destin sans rempart,
Il laisse retomber son cœur, à jamais vaincu.
Son regard se perd dans l’infini d’un ciel qui pleure,
Témoignant de la noble absence d’un avenir vain.
Ainsi se clôt, en notes d’un douloureux malheur,
Le chant d’un éphémère espoir aux larmes d’un destin.

XVI.
Au gré du vent qui s’engouffre dans des ruelles mortes,
Le souvenir d’un enfant renaît par la magie du soir.
Chaque pierre et chaque herbe, en écho aux douces portes,
Révèlent le passé glorieux qui ne saurait choir.
Le voyageur contemple l’hiver de ses temps anciens,
Où la voix d’un ami lointain murmurait des serments.
Mais les promesses s’enfuient, vaines aux airs incertains,
Et la nostalgie se mêle aux soupirs déchirants.
Dans ce décor révolu, aux reflets d’une romance
Où jadis le temps s’arrêtait en un tendre présent,
Chacun se souvient encore de l’espoir en cadence
Qu’il offrit, amèrement, au détour d’un instant.

XVII.
Ainsi s’écoule la vie, douce ombre et fugace brise,
Où chaque instant échappé se mue en doux regret.
Le voyageur, témoin des rêves que le temps divise,
Porte l’empreinte amère d’un serment désormais muet.
Et dans l’écho des souvenirs d’une enfance d’or,
Il perçoit l’inéluctable fin de ses espérances.
Les rues du village oublié singent d’un triste décor
Où le passé et le présent se fondent en une danse.
Le destin a tracé sa route aux contours inéluctables,
Et l’âme, imparfaite, se laisse engloutir par l’ombre.
Ainsi se fait la légende des promesses incompatibles,
Se muant en un adieu poignant que le temps embaume.

XVIII.
Quand l’aube, timide, se lève sur des cœurs désolés,
Le souvenir d’un enfant demeure tel un précieux trésor.
Son rire, en écho fragile, se mêle aux brumes fanées,
Rappelant au voyageur l’amour qu’il porte encore.
Mais l’heure est venue de sceller, à l’ombre des regrets,
Le serment jadis tant promis, aujourd’hui chargé de peine.
La tristesse s’impose en maître, et l’âme s’y prêtait,
Accablée par l’inévitable et sombre ultime chaîne.
Là, sur le seuil du passé, l’enfant et l’homme se confondent,
Dans un ultime soupir où se mêlent joie et douleur.
Chaque larme versée, chaque battement semble répondre
À l’appel d’un destin cruel de l’inflexible malheur.

XIX.
Alors que se clôt l’épopée d’un cœur en errance,
Le silence recueille la voix d’un temps englouti.
Le voyageur se retire, las de toute espérance,
Sous le regard impassible d’un ciel à l’âme d’ennui.
Dans les décombres du village, il laisse une trace vive,
Une empreinte d’amour perdu et d’amertume infinie.
Les pierres fredonnent la complainte que l’instant dérive,
Tissants le souvenir d’un rêve en une ultime pâleur bénie.
La promesse non tenue se fait spectre dans la nuit,
Convainquant le destin de l’inéluctable destin funeste.
Ainsi s’achève, par un adieu infiniment bruit,
L’histoire d’un enfant devenu ombre sur cette terre funeste.

XX.
Pour clore le chant du voyageur en un soupir amer,
Laissez-moi conter ce triste drame aux accents sacrés :
Une promesse d’enfance s’est évanouie en poussière,
Dans le silence d’un village que nul ne peut oublier.
Son cœur, tel un fragile lys, s’est fané à l’aurore,
Emporté par les flots d’un destin impitoyable et grave.
L’âme errante, aux serments brisés, repose encore,
Sur le chemin de sa vie, dans l’ombre d’un adieu suave.
Ainsi, chaque mot et chaque vers, en un ultime écho,
Chantent la douleur sublime d’un avenir dérobé.
Le destin, en un geste fatal, referme ce livre clos,
Laissant en héritage l’amère trace d’un bel être brisé.

À travers ces vers, nous sommes confrontés à la fragilité des promesses et à l’inéluctabilité de l’oubli. Ce voyage au cœur de notre souvenir nous rappelle que chaque instant, chaque serment, tisse la toile complexe de notre existence. Réfléchissons à ce que nous tenons pour acquis aujourd’hui, car demain, ces instants pourraient se perdre dans l’immensité du temps.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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