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Souvenirs d’enfance sous une mer en furie

Ce poème évoque la lutte intérieure d’un artiste à travers le prisme de ses souvenirs d’enfance. Dans un cadre maritimes tumultueux, il explore les thèmes de la nostalgie, des promesses perdues et de l’innocence envolée. Chaque vers résonne avec la mélancolie d’un temps révolu, cherchant à capturer l’éphémère beauté des instants passés.

L’Écho des Promesses Brisées

Dans la pâle lueur d’un crépuscule mélancolique,
Le peintre, âme vagabonde à la recherche d’un reflet d’antan,
S’avance, rime errante, vers la mer en furie,
Où l’écume, telle une larme éternelle, se mêle au souvenir d’un rêve enfui.

Jeune jadis, l’esprit courtif et pur, bercé par les vents d’enfance,
Avait goûté aux promesses chuchotées sous un ciel d’innocence –
Un pacte fait d’éclats d’or et d’espérances naïves,
Où le cœur jurait par le serment d’un bonheur indicible,
De peindre, sur la toile de la vie, l’éclat fugace d’un instant
Qui, suspendu dans le temps, éclaterait en un chant éclatant.

Hélas ! Ce serment, scellé aux confins de la mémoire,
S’estompe en un mirage impalpable, aux abîmes d’un passé illusoire.
Car le peintre, en quête d’une source jamais assouvie,
Errant sur la rive d’un destin où l’espoir s’élit,
Ne sut tenir sa promesse, enveloppée par le secret du vent,
Et la mer en furie, insondable gardienne de ce serment.

Ô mer, miroir des âmes, aux vagues tumultueuses,
Ton fracas résonne comme un glas aux heures précieuses,
Où jadis, le cœur d’un enfant, aux mains tachées d’azur,
Avait recueilli le charme d’un monde pur –
Un monde où l’aube renouvelait des serments éternels,
Et où la vie, en parures d’argent, dansait ses rituels.

Sur la grève battue par ce tumulte ancestral,
Le peintre se recueille, son regard tourné vers un idéal,
Celui d’un passé glorieusement évanoui,
D’une innocence envolée, d’un éclat jamais compris.
Il se souvient des jours d’or, des après-midis sans fin,
Quand la promesse d’un ami, proche et sincère,
Lui avait murmuré, en un souffle d’espérance :
« Je confierai à la lumière le secret de nos errances. »
Mais hélas, dans le tumulte des ans et des regrets,
La voix s’est éteinte, et la promesse s’est perdue à jamais.

Sous le firmament assombri des souvenirs incertains,
Le pinceau hésitant frôle la toile, en gestes incertains,
Cherchant à capter le reflet de l’instant précieux,
Où jadis les rires cristallins chassaient les orages furieux.
Ses mains, délicatement meurtries par l’effleurement du temps,
Tracent, sur le parchemin d’un destin vacillant,
Les contours d’un rêve érodé par les flots impétueux,
Les formes d’un passé où le bonheur semblait audacieux.

Dans un murmure intérieur, aussitôt que la brise s’élève,
Il revoit sa tendre enfance, où la promesse sans trêve
Était une étoile guidant le navire de ses jours,
Une lueur d’espérance, effleurant l’horizon toujours.
« Ô mer, dis-moi ! » implore-t-il, la voix tremblante d’émoi,
« Où donc s’est-logée la lumière de mon émoi ?
Ne serait-ce pas en tes flots, enracinée en ton cœur,
Que repose la chaleur d’un amour désormais en pleurs ? »
Mais la mer, en furie, ne répond qu’en éclats déchirants,
Répercutant le silence d’un serment délaissant.

Alors, dans la clameur du vent et le fracas des flots,
Le souvenir se fait spectre, fuyant sur de sombres échos,
Illuminant d’amertume la toile de ses regrets,
Comme l’encre noire d’un destin que nul ne peut effacer.
Le peintre, au seuil d’un naufrage intime et redoutable,
Revît ces instants fièrement gravés dans l’inévitable
Ombre d’une promesse non tenue, force incontournable,
Qui, du creux de ses entrailles, exhale son mal inévitable.

Le crépuscule descend, en une valse lente et amère,
Et la mer, toujours en furie, pleure son âme en éclairs,
Les vagues scandent un requiem sur le sable couronné
Des vestiges d’un passé qui ne peut être ranimé.
Le pinceau, témoin solennel des années envolées,
Se meurt dans la lumière d’un souvenir égaré,
Las d’en finir le récit où l’amour se trouve trahi,
Et d’un destin avorté sous le joug d’un pacte évanoui.

Dans le silence d’une nuit où l’obscurité se fait amante,
Les étoiles, timides, se voilent d’une lueur charmante,
Offrant au peintre une douce musique, presque oubliée,
Comme la berceuse d’une enfance, à jamais dissipée.
« Mon âme, » se murmure-t-il, « en quête de ton étreinte,
Réveille en moi la splendeur d’une journée innocente,
Où j’avais juré sur l’ombre d’un serment, en secret,
De transcrire l’indicible sur chaque trait de mon palette. »
Mais l’aube, en éclats de gris et d’émotions oppressées,
Ne tarde point à dissoudre les rêves en poussière glacée.

Là, sur la rive battue par un destin implacable,
Chaque vague qui s’écrase est un adieu ineffable,
Et chaque écume, un soupir du temps qui s’enfuit,
Emportant la promesse d’un bonheur qui s’enfuit.
Le peintre, égaré entre le souvenir et l’oubli,
Cherche dans l’éclaboussure des flots l’écho infini
D’un ami disparu, dont la voix, dans l’embrasure du passé,
S’était mêlée à la promesse d’un secret révélé.
Mais le ciel se fend, en éclairs et larmes salées,
Révélant l’implacable vérité d’une vie inachevée.

Au détour d’un souvenir, sur la plage ensanglantée,
Il aperçoit, en vifs reflets, l’ombre d’une silhouette aimée,
Son ami d’enfance, jadis complice de rêves étoilés,
Qui lui avait confié le trésor d’un serment scellé.
« Souviens-toi, cher ami, » murmurait alors le vent,
« De ce pacte silencieux, désormais évanouissant,
Car le cœur des hommes se brise en mille éclats,
Et l’espoir qui guidait jadis nos âmes se noie en bas. »
Mais ce dialogue des ombres se dissipe dans la nuit,
Laissant le peintre seul, à méditer son infini.

Ainsi, dans le fracas de l’écume et du temps,
Le pinceau exprime, en gestes lents, lentement,
La douleur d’une promesse qui n’a plus d’horizon,
Emprisonnant l’essence d’un passé en pleine déraison.
Il peint des vagues tourmentées, des cieux en agonie,
Chaque trait une confession, chaque couleur une agonie,
Et sous la violence de la mer, en une ultime offrande,
Il livre son âme égarée, dont le destin se trempe et se fende.

Dans ce tableau mouvant, né des cendres d’un serment rompu,
Le reflet d’un enfant oublié se mêle à l’ombre d’un absolu,
Celui d’un rêve fragile, pourtant forgé dans la lumière,
Qui s’évapore en un soupir dans l’immensité de la mer.
Le peintre, en quête d’inspiration, se voit prisonnier
De la nostalgie d’un temps jadis doux, irremplaçable et sacré,
Où la promesse d’un instant d’éternité l’avait guidé,
Sans savoir que le destin, cruel, viendrait la briser.

Et voici que, dans le fracas final d’une tempête implacable,
Les vagues, en furie, se parent d’un rouge inavouable,
En souvenir d’un cœur qui, en silence, s’était perdu,
Là où l’enfance s’était mêlée aux rêves jamais repus.
La mer, en sa majesté violente et mystérieuse,
Emportera pour l’éternité la trace de cette promesse odieuse,
Laissant le peintre, las et désespéré, face à l’inévitable,
Contempler l’ultime reflet d’un songe inabordable.

« Ô mer, toi qui gardes les confidences du temps, »
S’exclame-t-il dans un ultime élan, déchirant,
« Rends-moi l’éclat de cette promesse, jadis si vraie,
Avant que ne s’achève notre pacte dans l’ombre de la foi du destin effrayé. »
Mais nul mot ne revient, rien que le fracas des vagues
Venant balayer l’ombre d’un espoir qui jamais ne vague.
Dans ce silence assourdissant, empli d’un regret infini,
Chaque goutte d’eau semble pleurer une douleur bénie.

Le pinceau, dernière supplique d’un art fatigué,
S’égare sur la toile, las, de visions désormais figées,
Tandis que la mer, en furie, étend son voile de tristesse,
Effaçant la mémoire d’un enfant, d’une ivresse.
Ici, sur ce rivage, le passé et le présent se confondent,
Et le peintre, prisonnier de son chagrin, se morfond
Dans les souvenirs d’une époque aux couleurs chatoyantes,
Où la promesse non tenue semblait appeler des voiles éclatantes.

Mais soudain, dans un éclair, le destin se fait rigueur,
Et la mer, en une dernière étreinte, achève sa splendeur,
Arrachée aux nuages en furie, la promesse se disloque,
Ne laissant que l’amertume d’un rêve que le temps broque.
Le cri du vent, sombre et solennel, résonne dans l’âme,
Tandis que les vagues emportent l’ancien serment, infâme,
Et le peintre, le regard noyé d’un chagrin indicible,
Voit s’effacer les souvenirs d’un enfant, d’un jour risible.

Dans ce crépuscule final où l’horizon se meurt en cendres,
Il comprend, avec une clarté douloureuse qui le fendre,
Que la vie, en ses promesses fragiles et ses adieux,
Ne saurait jamais effacer tout, qu’elle emporte mieux
Les instants d’innocence, que le temps dévore lentement,
Laissant derrière lui le goût amer des vœux déclinants.
Et dans un ultime soupir, le peintre, cœur brisé, déclare
Que l’inspiration n’est qu’une ombre, une voie trop éphémère.

Ainsi, dans le murmure des flots et l’écho d’un serment rompu,
La vie s’achève, inéluctable, aux accents d’un adieu jamais vaincu.
Le pinceau, en ultime geste, pose son fardeau sur la toile,
Témoignant d’un rêve enfantin, perdu dans l’épreuve fatale.
La mer en furie, désormais apaisée en son ultime repos,
Garde le secret d’un pacte d’antan, comme un écho
Des promesses d’un temps révolu, où l’amour se faisait peinture,
Et où chaque vague était le souvenir d’une âme pure.

Ô lecteur, si par ces vers ton cœur fut ému,
Sache que dans la splendeur des rêves, le destin demeure imprévu,
Qu’en chacun de nous sommeillent des serments tenus en éclats,
Et que parfois, l’oubli efface l’enfance au détour d’un pas.
Car l’histoire du peintre, en quête d’un passé révolu,
Est l’histoire de nos vies, d’un espoir trop souvent déçu,
Où la promesse non tenue, telle une ombre insidieuse,
Nous rappelle que la beauté naît de l’âme douloureuse.

Et dans le dernier souffle d’un jour qui s’enfuit,
Le peintre contemple l’horizon, évanoui et maudit,
Sachant que jamais l’enfance ne renaîtra, ni le temps ne reviendra,
Que la mer en furie emportera tout, jusqu’à l’ultime voix.
Son regard se perd dans l’infini, où le passé se fait mirage,
Un soupir, un regret, dans la marée d’un adieu sans partage –
Ainsi s’achève la saga d’un cœur en quête d’un rêve enfui,
Laissant en héritage la douleur d’une promesse, brisée à l’infini.

En contemplant les vagues en furie, le lecteur est invité à réfléchir sur ses propres promesses, sur la fragilité de nos souvenirs et sur l’importance de chérir les moments précieux avant qu’ils ne s’évanouissent. L’histoire du peintre nous rappelle que la vie, malgré ses tumultes, nous offre toujours des éclats de beauté et d’espoir au milieu de l’adversité.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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