Le poème ‘Le Christ-Enfant’ de G. K. Chesterton est une sublime exploration de l’innocence divine et de l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant. Écrit au début du 20ᵉ siècle, ce poème résonne avec ceux qui cherchent à comprendre la beauté de la simplicité et la profondeur des liens familiaux, tout en abordant des thèmes religieux et spirituels qui restent universels. Découvrez cette perle de la poésie religieuse.
Le Christ-enfant s’étendent sur le sein de Mary
Ses cheveux étaient comme un tenir le premier rôle.
(La poupe et l’adresse d’O sont les rois,
Mais ici les coeurs vrais sont.)
Le Christ-enfant s’étendent sur le coeur de Mary,
Ses cheveux étaient comme un feu.
(O las, las est le monde,
Mais ici le désir du monde.)
Le Christ-enfant s’est tenu sur le genou de Mary,
Ses cheveux étaient comme une couronne,
Et toutes fleurs ont regardé vers le haut lui,
Et tout tient le premier rôle regardé vers le bas.
Ses cheveux étaient comme un tenir le premier rôle.
(La poupe et l’adresse d’O sont les rois,
Mais ici les coeurs vrais sont.)
Le Christ-enfant s’étendent sur le coeur de Mary,
Ses cheveux étaient comme un feu.
(O las, las est le monde,
Mais ici le désir du monde.)
Le Christ-enfant s’est tenu sur le genou de Mary,
Ses cheveux étaient comme une couronne,
Et toutes fleurs ont regardé vers le haut lui,
Et tout tient le premier rôle regardé vers le bas.
En parcourant les vers de Chesterton, nous sommes invités à réfléchir sur la force des liens maternels et la lumière de l’innocence. N’hésitez pas à explorer d’autres œuvres de cet auteur fascinant ou à partager vos réflexions sur ce poème touchant.