L'écho de nos vies
Dans le creuset du temps qui file,
S'entremêlent nos âmes fragiles.
Au commencement d'un monde éveillé,
S'ébauche le récit, tendrement éclairé.
Aux confins des jours ordinaires,
Résonne l'appel mystique des univers,
Là où les pensées, telles des libellules,
Voltigent, reflétant l'azur dans leur bulle.
Dans cette quête incessante de sens,
Chaque souffle devient une danse,
Tissé de rires, de larmes, de silence,
Un ballet éphémère, d'une éclatante essence.
Sur le velours d'un soir enluminé,
Où les secrets se parent d'éternité,
Les mots, tels des papillons de nuit,
Déploient leurs ailes sous le ciel infini.
À travers les saisons, nos cœurs en voyage,
Traversant les orages et les doux paysages,
Prennent racine, poussent et fleurissent,
Dans le jardin de la vie, où tout s'entremêle et s'unit.
La mer, avec sa mélodie profonde,
Parle aux âmes, vagabondes,
Dans son écrin de mystères dévoilés,
Elle murmure les rêves étoilés.
Comme les feuilles qui dansent au vent,
Nos existences se tressent lentement,
Sur la trame du destin, en couleurs vibrantes,
Peignent un tableau de jours, éclatants.
Au creux des nuits où la lune veille,
Les étoiles, guides de nos sommeils,
Chantent en chœur la promesse de l'aube,
Un renouveau, chaque jour, dans l'ombre s'exhale.
Et quand vient la fin de l'été,
Dans l'or des feuilles emportées,
S'éveille un souffle de liberté,
Signe des temps à renouveler.
Dans le murmure des vagues de l'existence,
Chaque écho raconte une présence,
La mosaïque de nos vies, fragmentée,
Dans l'harmonie universelle, est lovée.
Les rires d'enfants, telle une cascade,
Illuminent les jours, lorsque tout se fade,
Dans leurs yeux, l'innocence et la vérité,
Un miroir de ce que nous avons oublié.
Sous le ciel étoilé, la quête s'achève,
Non pas en un point, mais dans une trêve,
Où le temps et l'espace s'embrassent,
Et dans leur union, tout s'efface.
L'écho de nos vies, intemporel,
Résonne dans l'infini, tel un appel,
À chercher, à aimer, à comprendre,
Que dans chaque fin, se trouve un tendre
Commencement. Dans le cycle perpétuel,
Nos cœurs battent au rythme universel,
Portant en eux la lumière et la nuit,
L'espoir, le rêve, et la vie qui suit.
Ainsi les mots, délicatement posés,
Sur le papier de nos âmes usées,
Témoignent de la beauté éphémère,
De ce voyage, notre éphéméride sphère.
Dans l'écho de nos vies, l'amour résonne,
Plus fort que les ombres qu'il façonne,
Il danse, dans le fil de nos destinées,
Comme un phare, dans l'obscurité éternisée.
Que reste-t-il, au seuil du temps ?
Une mélodie, douce, apaisante comme le vent,
Un poème tissé des fils de nos vécus,
L'écho de nos vies, jamais disparu.
Dans ce final, une promesse s'écrit,
Non pas un adieu, mais un merci,
Pour chaque moment, chaque éclat,
Dans l'histoire de nos âmes, c'est là.
Que nous trouvons, à travers les âges,
Le sens caché de nos voyages,
L'écho de nos vies, fragile et beau,
Est le miroir de notre plus grand cadeau.
Ainsi se conclut notre épopée,
Dans le souffle d'une éternité,
Chaque mot, un pas vers l'inconnu,
Ensemble, dans ce monde, nous avons vécu.
Dans l'union de nos expériences, nous trouvons,
Que malgré les tumultes, l'amour abonde,
Et dans cet écho, nos vies entrelacées,
Offrent à l'univers, une nouvelle empreinte à tracer.
