Le poème ‘André Villers’ de Jacques Prévert invite le lecteur à découvrir le monde fascinant de la réalité capturée à travers l’objectif d’un cameraman. Écrit au 20ᵉ siècle, ce poème souligne la créativité et la beauté que l’on peut trouver dans les objets usuels. Prévert, poète engagé, réussit à conjuguer un ton léger avec une réflexion profonde sur l’art et la perception.
André Villers est un cameraman de la réalité secrète des objets usuels et dépareillés. Avec les ailes d’un nez ou celles d’un moulin, d’un château, et une paire de ciseaux, il fait des oiseaux. Avec ces oiseaux, ses ciseaux, et des images de choses et autres machins-choses, il fait des pieds et des mains, des clins d’œil, un sourire en coin. Avec ce sourire, il fait de surprenants petits visages humains et, très souvent, de préférence, féminins.
À travers ce poème, Jacques Prévert nous pousse à redécouvrir notre environnement et à apprécier la magie des éléments quotidiens. N’hésitez pas à explorer davantage ses œuvres et à partager vos réflexions sur ce texte inspirant.