Au gré des chemins
Dans la brise d'un monde en éveil,
Chemin faisant, le cœur ensoleillé,
Je découvre les histoires sans pareil
D'un univers en constante mouvaille.
Sous l'aube claire, naissent les rêves,
Les pensées s'habillent de lumière,
Les espoirs fleurissent sans trêve,
Dans le jardin de l'éphémère.
Sur la toile de l'aurore, je dépeins
Les couleurs d'un monde lointain.
Vers où mènent ces sentiers baignés de rosée?
À travers champs et vallons dorés, s'étend mon voyage.
Chaque pas forge le destin d'une pensée,
Tandis que le temps, tel un sage,
Dessine les contours de l'instant,
Et dans le cœur un espoir grandissant.
La brume d'un matin oublié,
Voile délicat sur la mémoire du temps,
Révèle des secrets choyés,
D'un passé vibrant doucement.
Sous chaque feuille et chaque pierre,
Se cache une histoire, une prière.
Miroir d'eau, reflet de l'âme,
Ton éclat danse sous le souffle du vent.
Rivière de mélodies, flamme,
Qui à travers les âges s'étend.
Dans les reflets de ton onde claire,
Je vois la beauté de notre terre.
Le crépuscule apporte ses mystères,
Des ombres s'allongent, doux frisson,
Échos d'un monde éphémère,
En quête d'une nouvelle vision.
Sous le voile d'une nuit sans lune,
Chaque étoile devient une fortune.
Quand vient l'aube d'une ère nouvelle,
Frisson de vie sur la peau du temps,
L'espoir s'éveille et chancelle,
Épris de liberté dans le vent.
Regard tourné vers l'horizon,
Je sillonne les saisons.
Dans l'âtre du cœur, un feu ardent,
Passionnée quête de sens et de vérité,
Brûle sans fin, témérament,
La flamme de la curiosité.
À la lueur de ce brasier intime,
Chaque rêve prend racine.
La voûte céleste, tissée d'espérances,
Abrite nos aspirations les plus douces.
Poussés par une force, une danse,
Nous gravitons vers des jours plus doux.
Sous l'étendue infinie de la nuit,
Un souffle d'espoir infini.
Au gré des chemins, j'apprends,
La richesse cachée dans un murmure,
La force tranquille du vent,
Et l'éclat fugace d'une onde pure.
Chaque pierre, chaque ruisseau,
Chantent la beauté de ce monde nouveau.
Le voyage continue, sans fin,
Puisant dans le coeur de l'inconnu,
La soif d'explorer, main dans la main,
Les mystères de l'univers étendu.
Sur le chemin de cette quête sans âge,
Je tisse l'histoire de notre passage.
Dans l'ultime sillage de la nuit,
Avant que n'éclose la première lueur du jour,
Une symphonie de vie s'écrit,
Hymne à l'amour éternel et séjour.
Le monde s'éveille, vibrant et fier,
Dans l'harmonie de son vaste univers.
Conclusion
Au cœur des sentiers croisés,
Là où se rencontrent rêve et réalité,
Chaque pas trace un sillon, une idée,
Sur la carte d'une humanité partagée.
Apprendre, rêver, oser,
Et dans ce monde, trouver sa place, son foyer.
Dans la trame de ce poème enchâssé,
Se trouve l'essence de nos parcours enlacés.
Au gré des chemins, de l'amour, de la beauté,
Il nous appartient de peindre la toile de la cité.
Dans les nuances de la langue, les aspects farfelus,
Se révèle la splendeur de l'âme, le sublime entrevu.
Que chaque vers rolle une pierre à l'édifice,
Où les cœurs unis dans la quête de justice,
Trouvent, dans l'harmonie d'un chant,
La clé des rêves, l'éclat fuyant.
Ce voyage à travers mots et merveilles,
Guide nos pas vers le soleil.
Finalement, sous les étoiles, ou sous le ciel éclairé,
Ce poème, un fragment de l'éternité,
Résonne au fond de chaque cœur ouvert,
Au gré des chemins, un univers.
Et dans cet humble voyage, cette quête de lumière,
Se tisse le récit de notre Terre.
