Dans la tour d'ivoire, la princesse captive,
Endormie sous le charme d'un doux tapage,
Son cœur prisonnier dans une cage narrative,
Attendant l'éveil d'un amour en hérétique.
Les murs de pierre résonnent de sa complainte,
Un écho triste dans l'obscurité silencieuse,
Son esprit errant dans une douce rêverie feinte,
Cherchant l'éclat d'une liberté splendide et glorieuse.
Les ombres dansent, caressant son visage pâle,
Des promesses de délivrance et de lumière,
Son âme sage emprisonnée dans cette salle,
Attendant l'arrivée d'un preux chevalier.
Les roses fanées dans la cour abandonnée,
Attendent le doux baiser d'une promesse,
Le souffle du vent murmure une mélodie chantée,
Portant l'espoir d'une délivrance qui caresse.
La lune brillante veille sur la tour solitaire,
Eclairant les pensées de la princesse éplorée,
Dans les ténèbres de sa tour d'ivoire austère,
Rêvant d'un avenir où les chaînes seront brisées.
La princesse captive, symbole d'une quête éternelle,
Délivrée par l'amour et la bravoure d'une âme fidèle,
La tour d'ivoire, témoin de son histoire immortelle,
Raconte la chanson de la princesse et son destin rebelle.