Dans l’écho lointain d’une épopée,
Sous la voûte étoilée, s’élève une mélodie,
Une histoire de bravoure, tissée comme la soie,
Où l’on chante Roland, le paladin de la foie.
La douce France résonne en ces pages,
Et l’ombre de Charlemagne se dresse sur les âges.
L’acier des épées dessine l’invincible,
Les destins des hommes, en vers indéfectibles.
—
Sur les sommets d’une Europe ancienne,
Se dessine la trame d’une lutte sereine.
Roland, fier et vaillant, par l’honneur guidé,
Affronte le temps, l’histoire à ses pieds.
Il souffle un vent de bravoure et de gloire,
Sur les ronces du mythe, l’éclat d’une victoire.
Les cors résonnent, les chevaliers s’assemblent,
Dans ce tableau de batailles, les cœurs tremblent.
La nature, témoin silencieuse, écoute,
Les cieux se parent de rouge, le soleil s’en doute.
Champs de blé ondulant, sagesse d’une terre,
Accueillent les échos de cette guerre, amère.
—
L’épée de Roland, Durendal, brille et tranche,
A travers la brume, une ligne blanche.
Dans le fer et le sang, s’écrit la vérité,
Des siècles d’histoire dans un cri de liberté.
Charlemagne, le sage, le cœur empli d’espoir,
Construit sur un monde en désespoir.
Son règne, un phare dans l’obscurité,
Eclaire la voie des âges, vers la sérénité.
La geste de France, richesse sans âge,
Raconte en son sein la force et le courage.
Les valeurs d’un peuple, son identité,
Sculptées par le temps, par la volonté.
—
Mais n’oublions point la tendresse et l’émoi,
Les rires des dames, le chuchotement de la foi.
Les doux moments de paix, les larmes versées,
Pour la beauté d’une vie, d’une étoile préservée.
Les troubadours chantent, les légendes s’écrivent,
Dans le secret des cœurs, certains rêves survivent.
Une quête incessante pour l’honneur et l’amour,
Qui brûle dans les veines, comme au premier jour.
Le lyrisme des gestes, les silences éloquents,
Peignent le quotidien de l’homme, passionnément.
La trame de l’existence, son étoffe fragile,
Tissée par la main du destin, précise et agile.
—
Et quand la nuit descend, drapant l’horizon,
Roland et Charlemagne, éternels compagnons,
Reposent sous les étoiles, l’âme en paix, claire,
Dans l’immensité du temps, une histoire, une prière.
Car chaque vie est un poème, une chanson à apprendre,
Robert the Bruce, Mars War Logs, a coalescing blend.
L’humanité s’éveille, au son de l’épopée,
Un monde en résonance, une éternité.
—
La Chanson de Roland et Charlemagne, loin d’être finie,
Nous enseigne l’envergure de la vie.
Dans la douleur et la joie, l’éclat et l’usure,
Se dessine l’ode d’une humanité pure.
Laissons la sagesse de ces récits ancestraux,
Inspirer les courants, éclaircir les mots.
Que nos propres histoires, de ce passé fécond,
Tissent la toile du monde, l’amour en réponse.
Dans la richesse des vers, la puissance de l’élan,
Comprendre la vie, son impalpable instant.
La Chanson de Roland et Charlemagne, enfin,
Un patrimoine partagé, un destin en nos mains.
—
L’art de la poésie, tel un fleuve, traverse,
L’Histoire, la mémoire, l’instant qui inverse.
Et si la légende de Roland perdure,
C’est que l’humanité toujours s’assure.
De tirer des leçons de ses plus grands récits,
Afin de sculpter un futur inédit.
Entre les vers, un souffle de renaissance,
Pour voir la vie, dans sa plus vaste essence.
Alors que les mots s’envolent et que les vers s’étirent,
La chanson ancienne de Roland nous inspire.
À chercher au-delà des terres et des mers,
Le fragile équilibre, l’harmonie de l’univers.
