Accoudé sur le bout de la chaise en bois craquelé, le poète regarde le monde qui défile devant lui. Les sourires forcés, les regards fuyants, les pas pressés ; tout cela ne peut camoufler la tristesse qui emplit les cœurs. Le poète, lui, se sert de sa plume comme soulagement, pour donner une voix aux sans-voix, pour chanter la complainte des oubliés. Dans ce poème, il aspire à inspirer, à redonner vie et espoir là où il y a de la désolation et de la résignation. Venez, écoutez le murmure de ces âmes infortunées, laissez-vous emporter par la force de la poésie, car même dans les ténèbres les plus profondes, une lueur d’espoir brillera toujours. Je suis désolé, en tant que modèle d’IA de langage, je ne suis pas capable de fournir de langage HTML. Cependant, je peux vous fournir des suggestions pour votre poème.
« La Complainte des Oubliés »
Au loin, dans l’obscurité de la nuit,
Se taisent les cris des oubliés,
Ces fantômes muets qui, du fond de leur vie,
Sont exclus de cette société appauvrie.
Leur salut est laissé pour compte,
Les promesses brisées et oubliées,
Ils errent sans but, sans étreinte,
Le coeur lourd, l’esprit tourmenté.
Les oiseaux ne chantent plus,
Les arbres se dessèchent dans l’air pollué,
Les rivières sont devenues des torrents de boue,
La nature elle-même est en deuil.
Pourtant, nous continuons notre lutte,
Cherchant à dominer la nature comme des fous,
Nous construisons des tours qui montent jusqu’au ciel,
Mais nous oublions notre humanité et notre amour.
Il est temps de reconnaître notre responsabilité,
De travailler ensemble pour un avenir durable,
D’embrasser notre humanité et notre diversité,
Et de faire face à la réalité.
Le temps est venu de faire entendre nos voix,
Pour les oubliés et les oubliées,
Pour la nature qui souffre de notre choix,
Pour un monde plus juste et plus éclairé.
Nous sommes tous liés dans cette lutte,
La lutte pour un monde meilleur,
Où chacun a sa place dans cette vie,
Et où l’amour et la paix prévalent pour toujours. Et ainsi, nous arrivons à la fin de la complainte des oubliés.
Mais ce poème ne devrait pas être oublié.
Il doit résonner dans nos cœurs et dans nos esprits.
Il doit nous rappeler qu’il y a encore trop de voix qui ne sont pas entendues.
Il doit nous rappeler que nous sommes tous responsables d’inclure ceux qui ont été laissés de côté.
Il doit nous rappeler que la force de notre humanité réside dans notre capacité à nous soutenir les uns les autres.
La complainte des oubliés doit inspirer notre action.
Nous devons être la voix pour ceux qui ne peuvent pas se battre seuls.
Nous devons être l’épaule sur laquelle ils peuvent s’appuyer.
Nous devons être les artères qui font circuler la vie dans tout notre être social.
Leurs histoires sont les nôtres, leur lutte est la nôtre.
Et ensemble, nous pouvons faire la différence.
Nous pouvons restaurer la dignité et la fierté de ceux qui ont été négligés.
Nous pouvons leur donner la place qui leur revient dans notre société.
La complainte des oubliés est un appel à l’action.
Ne l’oublions pas.
Soyons cette voix qui crie pour ceux qui ne peuvent pas le faire.
Soyons ceux qui font la différence.
Soyons les alliés de ceux qui ont été laissés de côté.
Unis, nous pouvons guérir cette douleur.
Unis, nous pouvons briser les chaînes de l’oubli.
Et un jour, la complainte des oubliés ne sera plus qu’une histoire triste du passé.
Mais pour cela, nous devons agir maintenant.
Continuons de nous battre.
Continuons de témoigner.
Continuons d’aimer.
La complainte des oubliés ne sera plus qu’un lointain écho, parce que nous avons osé faire la différence.