Dans le creuset de l'aurore, où murmurent les échos,
Se déploie un festin d'émeraude, connu de peu.
"La fête des arbres, poumons de la Terre", un tableau
Qui éveille les âmes et repose dans les yeux bleus.
Les racines s'entrelacent en une danse millénaire,
Tissant le sol de l'étreinte de leur sagesse profonde.
Elles chantent l'hymne du temps, en une douce prière,
Convoquant le ciel et la pluie, bénissant le monde.
Les troncs, colonnes de cathédrales vivantes,
Se dressent en gardiens de ces terre sacrées.
Leurs écorces racontent les histoires des vents,
Et de la lune blanche, déesse des soirées éclairées.
Les feuilles, dans un ballet d'or et d'argent,
Captent la lumière, essence vitale au renouveau.
Chaque frisson, chaque souffle, un serment
D'amour à la terre, dans un échange silencieux mais beau.
Les branches se tendent vers les cieux, en quête
De rêves lointains, de soleils encore inconnus.
Porteurs d'espérances, d'histoires secrètes,
Ils bercent les nuages et les astres éperdus.
Sous cette canopée, coeur battant du monde,
Se rencontre l'humanité dans toute sa splendeur.
Chaque pas, un poème; chaque parole, une onde
Qui relie les coeurs en une seule et même ferveur.
En cette fête des arbres, résonne un appel,
À l'homme de se souvenir de ses frères verts.
Car eux, dans leur immuable rituel,
Offrent l'oxygène, l'ombre et le mystère de l'univers.
Mais au-delà de ce don, une leçon de vie,
Un testament de résilience, d'unité et de force.
Dans le cycle éternel, malgré les nuits,
Ils puisent dans leurs racines, une lumineuse écorce.
Face au vent, aux orages, ils ne plient pas
Mais s'adaptent, se renforcent, défiant le temps.
Leur message, un écho vibrant au-delà,
Nous apprend à tenir, ensemble, résolument devant.
Ainsi se tisse le poème de la terre,
Dans le creuset de l'aurore, par la fête des arbres élevé.
Un hymne à la vie, un appel à la lumière,
Un chemin vers l'harmonie, par le vert incarné.
Ce festin, où chaque essence participe,
Renouvelle la promesse d'un monde en symbiose.
À travers le chant des feuilles, un principe,
Que l'homme apprenne à lire, dans le silence des choses.
Dans la fête des arbres, un espoir se dessine,
Pour ceux qui savent écouter, les racines de demain.
Un monde où l'harmonie et la nature s'alignent,
Où les poumons de la Terre guident le destin humain.
Et quand viendra le crépuscule, étoiles scintillant,
Que cette fête ne soit pas qu'un souvenir lointain.
Que les arbres, nos guides, nous mènent en chantant,
Vers un avenir où la terre et l'homme ne font qu'un.
Ainsi se clôt cet hymne, vibrante célébration,
"La fête des arbres, poumons de la Terre", notre chanson.
Un appel à chérir, à protéger notre maison,
Pour que jamais ne s'éteigne cette divine passion.
Dans cette quête de sens, d'harmonie et de beauté,
Que chaque mot, chaque vers, inspire l'humanité.
À s'éveiller, à aimer, à danser guidé
Par la sagesse des arbres, témoins de l'antiquité.
Avec chaque respiration, une chance nous est donnée,
De bâtir, de rêver, au sein de ce monde prêté.
"La fête des arbres, poumons de la Terre", éternité,
Un lien indélébile, entre l'homme et sa réalité.
