La richesse des écosystèmes terrestres
Dans le souffle du vent, sous l'azur infini,
Où la terre embrasse avec ardeur le firmament,
S'élancent, majestueux, les vers de mon esprit,
Ouvrant le bal d'une ode à notre mère charmante.
Sous le voile d'or du matin, frémissantes feuilles,
Dansent au rythme doux d'une nature éveillée.
Les forêts, vastes cathédrales sans pareilles,
Où chaque arbre raconte une ère révolée.
Les montagnes, ces géants drapés de mystères,
Se dressent, fiers, témoins de l'éternité,
Sculptées par le temps, par le vent, par la lumière,
Elles nous appellent à contempler leur beauté.
Les rivières, miroirs du ciel en mouvement,
Serpentent, pures, à travers champs et vallées,
Chantant les louanges de la vie, incessamment,
Leur cours est un hymne à la liberté.
Les océans, vastes étendues sans limites,
Berceau de la vie, abysses pleins de trésors,
Dans leurs profondeurs, un monde s'agite,
Un univers inconnu, loin des regards.
Dans chaque vallon, chaque désert, chaque prairie,
Réside un mystère, une beauté singulière,
Un sanctuaire de vie que l'on chérit,
Notre héritage, plus précieux que l'or, cette Terre.
Mais sous la caresse de l'aube, un cri s'élève,
Une supplique face à l'oubli et à l'ignorance,
La terre pleure ses enfants qui, dans leur sève,
Oublient les chants d'amour, d'harmonie, et de présence.
N'entendez-vous pas les murmures de la forêt ?
Les secrets des océans, la douleur des glaciers ?
Notre mère Terre, généreuse et parfaite,
Implore respect, amour, et la fin des guerres.
Renouons avec la sagesse de nos ancêtres,
Qui savaient lire dans le coeur des étoiles,
Leur existence tissée de respect et de quêtes,
En harmonie avec la terre, sans dévoiler de voile.
Car dans la richesse de nos écosystèmes terrestres,
Se cache le véritable sens de notre voyage,
Non pas conquérants, mais enfants de la sphère,
Gardiens de sa beauté, artisans de son image.
Que nos pas sur cette terre soient légers,
Comme celui du vent sur les dunes du désert,
Que notre passage nourrisse, régénère,
Et non détruire, ignorer, ou laisser en arrière.
La richesse ne se compte pas en pièces d'or,
Mais dans l'harmonie de la vie sous toutes ses formes.
Cherchons en nous la lumière, le trésor,
Pour rendre à la Terre plus que ce qu'elle nous donne.
Ainsi, lorsque le rideau se fermera sur notre ère,
Que restera-t-il de nos chants, de nos rêves ?
Laisserez-vous une trace de lumière,
Ou un sillon de douleur sur ce berceau qui s'élève ?
Dans ce grand ballet de l'univers, soyez poètes,
Peintres et musiciens de vos existences,
Créateurs d'une oeuvre où chaque geste est quête,
Pour que résonne, fort, l'écho de la conscience.
La terre, notre muse, notre mère, notre sphère,
Mérite chaque vers, chaque effort, chaque amour.
Dans le grand livre du temps, soyons des lumières,
Pour qu'au-delà des âges, brille notre séjour.
Oui, regardons notre monde avec des yeux nouveaux,
Embrassons chaque vie comme un cadeau précieux,
Pour que demain se lève, radieux et beau,
Sur un jardin où chaque être vit heureux.
Car c'est dans l'union de nos coeurs et de nos âmes,
Que la terre retrouvera son harmonie perdue.
Les fils de cette trame, l'essence de cette flamme,
Sont l'amour, la compassion, et la vertu.
La richesse des écosystèmes terrestres est notre héritage,
Un poème vivant, une chanson d'espoir.
Cultivons ce jardin avec courage,
Pour que demain soit un reflet dans le miroir
De ce que nous aurons choisi d'être, d'aimer, de protéger,
Dans cette danse éternelle entre la terre et les cieux.
Que notre histoire soit celle du respect,
Un hymne à la vie, joyeux et gracieux.