Dans ce monde de rêves oubliés et de territoires infinis,
J’écris pour vous, lecteurs de jours et de nuits,
Sur les pages d’un temps qui jamais ne tarit,
La poésie d’une terre, un horizon sans limites.
Là où les mots deviennent de doux fruits mûrs,
Et les vers des ruisseaux coulant avec pureté,
La terre des droits s’étend, vaste clairière,
Illuminant les âmes de liberté et de vérité.
Couplets de la conscience, en quête d’harmonie,
Les lettres dansent, s’entremêlent en symphonie.
Réveillant au sein de l’écho de nos pensées,
Un monde où chaque droit est une fleur épanouie.
Sur ces terres gracieuses, où les rêves sont rois,
La justice se pare de lin, noble et douce à la fois.
Elle marche pieds nus sur la mousse des espoirs,
Semant de ses mains ce futur que l’on veut croire.
Dans la quête incessante du savoir et de la raison,
La plume glisse sur le vélin, esquive la moisson.
Chaque mot choisi avec la précision d’un orfèvre,
Chaque rime, un reflet d’âme, qui jamais ne s’altère.
Là où se mêlent la terre et le firmament,
Les hommes aspirent à plus que le vent,
À l’égalité, à la fraternité, leur serment,
Universel écho d’un idéal transcendant.
Sur le sol fertile des droits inaliénables,
Naissent les idéaux robustes et réconfortants.
Dans le verger du respect mutuel cueilli,
Se goûte le fruit juteux de la vie.
Dans l’océan des possibles, les vagues se dressent,
Portant nos navires vers des horizons de sagesse.
La boussole morale, guidée par les étoiles de nos consciences,
Mène à des terres où résonnent les échos de l’existence.
Les poèmes, messagers de ce que l’œil ne peut voir,
Portent en eux l’essence, l’espoir.
Et dans le labyrinthe de notre monde complexe,
Ils offrent un chemin vers plus d’humanité, sans prétexte.
Chaque strophe un pilier, chaque vers un pont jeté,
Entre les âmes errantes et la clarté recherchée.
Puisse cette terre des droits, dans son immensité,
Devenir le jardin où nos différences sont célébrées.
Aux jours qui se profilent, toujours nouveaux et anciens,
Les mots sont des totems, des balises, des liens.
Et la poésie, cette langue universelle, est refuge,
Un havre où l’humanité en quête de paix se réfugie.
Sous le regard pâle de la lune, confidente de nos nuits,
La terre des droits rêve, attend, et nous convie.
À part l’humanité, avec ses failles et ses sourires,
À élaborer le monde que nos cœurs veulent construire.
La chanson des peuples s’élève, belle et immuable,
Comme une aurore boréale, insaisissable et louable.
Dans son sillage, la promesse d’un avenir meilleur,
Où le mot « droit » n’est plus synonyme de peur.
Alors que le poème s’achève en une envolée lyrique,
Résonne le vœu d’une existence moins tragique.
Que chacun puisse tracer sur cette terre des droits,
Une strophe de vie où l’harmonie serait loi.
Voilà le rêve gravé dans le marbre de l’espérance,
Une ode à la vie, une danse d’équilibre, une alliance.
En ces vers je souhaite éveiller l’invisible fil,
Qui lie nos destins, et nos jours, fragile et subtil.
Ainsi le poème devient phare dans la nuit,
Une étoile brillante qui jamais ne ternit.
Prenons-en soin, trouvons-y notre guide,
Et sur la terre des droits, que toujours l’amour préside.