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La voix des opprimés

La voix des opprimés résonne dans les rues,
Portée par le courage de ceux qui luttent pour leur liberté.
Elle est le cri de l’espoir qui brise les chaînes de l’injustice,
La flamme de la résistance qui éclaire l’obscurité.

Elle s’élève de l’ombre des quartiers oubliés,
Du silence imposé par les puissants de ce monde.
Elle parle pour les sans-voix, les marginalisés,
Pour tous ceux qui sont oppressés, humiliés, frappés par la fronde.

La voix des opprimés est un appel à la révolte,
Un souffle de rébellion qui secoue les consciences.
Elle rappelle à chacun que nos vies ne sont pas des votes,
Et que la dignité humaine n’a pas de prix, ni de distance.

Alors écoutons-la, cette voix qui nous parle,
Et que nos cœurs soient les porte-voix de la solidarité.
Car c’est en se levant ensemble qu’on peut changer le monde,
Et que l’espoir d’un avenir meilleur prend racine dans la réalité.

La voix des opprimés

Mon cœur bat au rythme de la vie,
Mais je ne peux rester silencieux,
Face aux oppressions et aux injustices,
Je me fais poète engagé, généreux.

Je veux être la voix des opprimés,
Celles et ceux qui sont trop souvent ignorés,
Je veux leur donner une voix, une dignité,
Leur offrir une tribune, la liberté.

Regardez autour de nous, voyez-vous,
Le monde qui se délite sans aucun tabou.
Les guerres, la faim, la pauvreté, l’injustice,
Les richesses mal partagées, l’arrogance du vice.

Je vois des enfants, pauvres petits êtres,
Qui luttent pour ne pas se faire paraître,
Et pourtant, leur âme est belle et pleine de vie,
Ils sont l’espoir de demain, la survie.

Je vois les femmes, opprimées, violentées,
Mutilées, réduites à la mendicité,
Leur corps n’est pas une marchandise,
Leur cœur vaut plus que toutes les richesses.

Je vois les minorités, les exclus, les marginaux,
Qui luttent pour leur dignité, leur droit de vivre tels quels,
Ils sont victimes de l’intolérance, de la haine,
Mais leur courage et leur force les maintiennent.

Je veux être la voix de ceux qui peinent,
Pour que la lumière perce sur ces ombres lointaines,
Je veux que mes mots soient porteurs d’espoir,
Pour que nos cœurs vibrent en un seul mouchoir.

Je veux que mon poème soit comme une lumière,
Qui éclaire les ténèbres, qui efface les barrières,
Je veux que mes mots soient la voix des opprimés,
Pour que leurs vies soient enfin rétablies, équilibrées.

Et maintenant, entendez-vous la voix des opprimés ?
Elle résonne dans chaque coin du monde, dans chaque souffle étouffé, dans chaque larme versée.
Mais elle ne se laisse pas étouffer, elle ne se laisse pas briser.
Elle grandit, elle se fortifie, elle s’élève.
Elle est le cri de ralliement des démunis, des marginalisés, des brisés.
Elle est l’espoir des plus faibles, la force des plus courageux.
Alors écoutez-la, nourrissez-la, portez-la haut et fort.
Car la voix des opprimés est la voix de l’humanité qui se réveille.
Et dans cette lumière nouvelle, nous pourrons tous ensemble créer un avenir plus juste et plus beau.
La voix des opprimés est notre cri commun de liberté et de dignité.
Écoutez-la, et marchons ensemble vers un futur plus radieux.

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