Dans les profondeurs de l'océan bleu azuré,
Là où le chant des sirènes résonne et enchante,
Un marin égaré, perdu dans sa quête effrénée,
Se laisse emporter par leur mélodie envoûtante.
Les sirènes, belles et mystérieuses créatures,
Avec leurs voix suaves, douces comme la soie,
Attirent le marin vers leur monde de pures,
Le plongeant dans un abîme de joie.
Sous le charme de leur chant enivrant,
Le marin oublie sa route, son destin tracé,
Captivé par ces divinités envoûtantes,
Il se laisse emporter, corps et âme embrasés.
Les sirènes, gardiennes des profondeurs,
Détiennent en leur chant le pouvoir de séduire,
Attirant les âmes perdues vers le bonheur,
Dans un tourbillon d'émotions à en mourir.
Le marin, désemparé par tant de beauté,
Se laisse emporter par la vague enivrante,
Dans un monde où la raison s'est effacée,
Au rythme enivrant du chant des sirènes charmantes.
Mais attention, marin imprudent et égaré,
Les sirènes cachent bien des mystères,
Leur chant peut mener à la mort assurée,
Dans les abysses sombres et austères.
Alors que le marin, submergé par la tentation,
Se laisse emporter par le chant envoûtant,
Il ignore le péril, la dangereuse illusion,
Et sombre lentement dans un sommeil troublant.
Le chant des sirènes, aussi doux soit-il,
N'est qu'un mirage trompeur et fatal,
Qui mène les cœurs égarés vers l'oubli,
Dans les ténèbres où règne le mal.
Ainsi, marin, méfie-toi des sirènes enchanteresses,
Leur beauté n'est qu'un leurre, une illusion,
Garde ton cap, reste fort et courageux face à la détresse,
Et échappe à leur emprise, à leur séduction.
Car le marin, s'il veut retrouver le chemin perdu,
Doit résister au chant des sirènes enchanteresses,
Et retrouver la lumière, la vérité, la quiétude,
Pour échapper à l'abîme de leur maladresse.