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Le Colisee

Le poème ‘Le Colisée’ de Léon Pamphile Le May nous transporte sous le ciel romain, où il célèbre la majesté de cet emblématique amphithéâtre tout en évoquant la mélancolie d’un passé révolu. Écrit dans un contexte historique où la culture romaine est souvent idéalisée, ce poème résonne encore par sa beauté et sa profondeur, rappelant la gloire et la tragédie qui émanent des pierres de cet édifice légendaire.
On admire toujours, sous le beau ciel romain, Ses vieux gradins massifs et ses hautes arcades, Flots de pierres pareils aux immenses cascades Que l’hiver boréal suspend sur son chemin. Les Césars orgueilleux, d’un signe de la main, Faisaient défiler lĆ  de fiĆØres cavalcades ; Ils faisaient s’élancer, de leurs mille embuscades, Les fauves qu’appelait le grand peuple inhumain. L’amphithéĆ¢tre est vide. Un vent d’amour soupire On admire toujours, sous le beau ciel romain, Ses vieux gradins massifs et ses hautes arcades, Flots de pierres pareils aux immenses cascades Que l’hiver boréal suspend sur son chemin. Les Césars orgueilleux, d’un signe de la main, Faisaient défiler lĆ  de fiĆØres cavalcades ; Ils faisaient s’élancer, de leurs mille embuscades, Les fauves qu’appelait le grand peuple inhumain. L’amphithéĆ¢tre est vide. Un vent d’amour soupire En passant sur l’arĆØne où grondaient les lions, Où les bourreaux tuaient les saints par millions. Les siĆØcles ont broyé le merveilleux empire, Et la croix a vaincu les autels des faux dieux, Mais ton génie, Ć´ Rome ! est toujours radieux.
À travers ‘Le Colisée’, Léon Pamphile Le May nous invite à contempler la dualité de la beauté et de la souffrance, témoignant du passage inéluctable du temps. N’hésitez pas à explorer d’autres œuvres de cet auteur fascinant ou à partager vos réflexions sur ce poème avec d’autres amateurs de poésie.

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