Le destin de l'archiduc François-Ferdinand
Dans l’aube naissante d’un monde en éveil,
Où murmurent les eaux d’un temps intemporel,
Un prélude se tisse, écho d'un passé,
Où l'histoire et le destin se sont embrassés.
Sur les rives du temps, où fleurit l’espoir,
Parle une voix, souffle d’histoires,
D’un archiduc et d’un destin flétri,
Sous l’œil du monde, à Sarajevo, épris.
Les échos du passé résonnent, lointains,
Dans les cœurs un souffle se retient,
François-Ferdinand, noble héritier,
Vers son destin, avance, sans se détourner.
Sous l’azur d’un ciel éclairci,
La course du temps semble ralentie.
Le destin de l’archiduc, en ce jour gravé,
Par l’Histoire, est à jamais lié.
Tout semble immuable, sous ce ciel d’été,
Mais le monde est à l’aube d’une éternité.
L’archiduc avance, silhouette altière,
Ignorant que son heure dernière est proche, première guerre.
Coups de feu, l’air se fige, le destin bascule,
Dans le cœur de l’Europe, un silence s’installe,
L'écho d’une disparition, une étincelle,
Qui dans le monde entier, allume une querelle.
La trame de la vie, tissée d’or et de douleur,
Se déroule, imperturbable, malgré la peur.
François-Ferdinand, dans son éternel sommeil,
Devient le symbole d’un réveil.
L’histoire, en ces vers, murmure sa leçon,
Sur la fragilité de nos nations.
Chaque existence, fil d’un tissu plus vaste,
Peut, d’un seul geste, altérer le contraste.
Les siècles passent, mais les souvenirs demeurent,
Dans le cœur de l’homme, les passions fleurissent, s’emeurent.
François-Ferdinand, de ton destin scellé,
Naît l’espoir d’un monde, d’hier à demain, réconcilié.
Le cours de l’Histoire, riche de ces errances,
Invite l’homme à la réflexion, à la clairvoyance.
Que chaque pas, chaque choix, portent en eux,
La lumière d’un avenir, d’un monde meilleur, précieux.
Dans l’écho de ces vers, un message, une quête,
Un appel à l’humanité à rester alerte.
Car dans les cendres du passé, les leçons apprises,
Résident nos espoirs, pour une vie harmonieuse, promise.
Alors que se ferme le livre de cet hymne,
Une ode à la vie, à l’amour qui s’imprime,
Puisse chaque âme, dans ce voyage éphémère,
Trouver la paix, la lumière, loin des chimères.
Sous le voile du temps, l'histoire se tisse,
Entre rêves évanouis et réalité, elle glisse.
L’archiduc, dans son silence, parle encore,
De l’impermanence, du destin, d’un trésor.
Que ce poème soit un phare dans la nuit,
Guidant vers des lendemains, où l’ombre s’enfuit.
L’humanité, dans son éternel combat,
Y trouvera la force, l’espoir, dans chaque pas.
Le destin de l’archiduc François-Ferdinand,
Comme un miroir du temps, nous rappelle, impatient,
Que chaque histoire, chaque vie, dans ce vaste univers,
Est un fil d’or, tissant l’avenir, vers l’infini, à travers.
Dans ce récit, où le passé et le présent s’entrelacent,
Puisse notre regard sur l’humanité s’embracer,
Et dans les cœurs s’éveiller, une conscience renouvelée,
Que malgré les tempêtes, l’amour, la paix, sont notre destinée.