Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.
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Le Parc des Dinosaures Vivants

Bienvenue dans l’univers vibrant du « Parc des Dinosaures Vivants », où le passé rencontre l’imagination dans une symphonie de couleurs et de vie. Ce poème et son illustration dépeignent un monde oublié, réanimé par la grâce de la luminescence et la danse des géants pétrifiés, offrant une fenêtre sur la beauté et la complexité de la vie préhistorique.

L’Aube des Dinosaures : Un Ballet Luminescent dans le Parc des Géants Oubliés

Dans l’ombre des temps oubliés,
Se dissimulent des géants pétrifiés,
Au cœur de ce parc où ils sont rois,
Leurs silhouettes imposent leur loi.

Je vous invite, voyageur, sans plus attendre,
À travers ce poème à vous méprendre,
Dans un parc où les dinosaures, luminescents,
Revivent et règnent, candides et dansants.

La brume du matin se lève avec grâce,
Baignant le paysage dans sa douce embrace.
Le pas feutré des Apataurus débute le ballet,
Suivi du cri strident d’un Velociraptor, qui éclate dans l’obscurité.

Cet écosystème oublié respire la vie secrète,
Où la pâle lueur lunaire bientôt s’apprête,
À dévoiler des scènes d’une terre ancienne,
Et à raconter l’histoire de leurs vies bohémiennes.

Un immense Brontosaurus, tel un monarque altier,
Balaye les frondaisons de son cou considérable, fier.
Il foule la terre meuble, souverain indifférent,
Aux insectes qui dansent en leur monde frémissant.

Les feuillages s’agitent sous des bruits de pas lourds,
Quand le majestueux T-Rex, seigneural, majestueux, fait sa cour.
Imposant, il défie les échos des éons disparus,
Sa voix tonitruante résonne, abrupte et tenue.

La farandole des Stégosaures, telle une armure opulente,
Scintille au soleil levant dans une allure claquante.
Ses épines spectaculaires pointent vers les cieux cléments,
Véritables bijoux du temps, scellant son moment.

Les Ptérodactyles crient et planent avec agilité,
Leurs ailes déployées, magnifiques, caressant l’atmosphère humidifiée.
Témoins silencieux de cette ère révolue,
Ils dessinent en l’air d’antiques fresques reconnues.

Les paisibles Tricératops, protecteur de leurs petits,
Vigilants et sereins, par l’amour unis,
Traversent les plaines, en des mouvements doux,
Leurs trois cornes brillent, trônant sur leur frontoux.

Dans un concert discordant, les Hadrosaures s’expriment,
Leurs mélodies aquatiques font frémir les abîmes.
Des flûtes naturelles, serenades des eaux profondes,
Elles se propagent et rebondissant répondent.

Un Allosaure, agile, éclaire les ombres de ses yeux perçants,
Il guette, patient, le moment opportun, vibrance.
Sa démarche calculée, son allure réservée,
Il fait partie de cette nature, parfaitement préservée.

Et lorsque le crépuscule enrobe de sa cape sombre,
Les songes du parc, et que les étoiles y tombent,
Les contes du jura semblent s’animer vivement,
En écho aux souvenirs fossilisés par le vent.

Cette faune disparue, sublimée par le poète,
Est source d’inspiration, muse secrète.
Les dinosaures dansent, révélant que chaque ère,
Garde en son sein des merveilles, des mystères.

Ainsi se déroule le parc des dinosaures vivants,
Miracle d’une plume qui, avec respect et talent,
Peut redonner vie à l’incroyable, à l’insolite,
Et faire rêver l’âme à des ères trop vite effacées.

Dans ce poème est un monde recréé,
Où les dinosaures éteints sont à la fois proches et éloignés.
L’imaginaire pulvérise les frontières temporelles,
Et relie chaque lecteur aux murmures éternels.

Posez donc votre regard sur cette oeuvre de mots,
Qui sous leur voile élégant, cache des trésors si beaux.
C’est ici que la langue devient universelle,
Touchant l’expérience humaine, notre étincelle.

Laissez-vous transporter par la musique des vers,
Par le frémissement des pages, le souffle de l’univers.
Ce parc est le jardin, la concrétion d’une pensée,
Espace où l’intemporel inconsciemment s’est invité.

En guise de conclusion, lecteurs, reflétons,
Sur ces dinosaures, emblèmes d’une époque à l’unisson.
Dans notre monde de constante évolution,
Ils nous rappellent la fragilité de nos fondations.

Le Parc des Dinosaures Vivants, conte d’antan et d’aujourd’hui,
Forge en nous un lien avec la vie, s’instruit.
Omniprésente la langue qui nous porte,
Traverse temps et espaces, dans une élégante cohorte.

N’oublions jamais que chaque histoire est un passage,
Une porte vers le savoir, un héritage.
Ces dinosaures qui dorment en nos cœurs,
Nous offrent à chaque vers, le reflet de nos ardeurs.

Alors que les ombres du crépuscule enveloppent notre exploration du « Parc des Dinosaures Vivants », laissons-nous porter par la réflexion. Ce voyage à travers le temps nous rappelle l’éphémère de notre existence et la puissance de la nature à perdurer à travers les âges. Que cette incursion dans le monde des dinosaures éveille en nous un respect profond pour les mystères de la vie et l’importance de préserver les merveilles de notre propre monde.

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