Au cœur d’un monde tissé de contrastes et de teintes,
Jaillit un rêve, une vision, une énigme peinte.
Dans l’alcôve nocturne où murmurent les rêves,
Se tordent les chaînes de l’inégalité, que lève
L’espoir, fils tissé par la main de l’endurance.
*Ombre et lumière en éternelle danse,
S’épousant au sein d’une fragile balance,
Sous les astres voilés par les nuées persistantes,
Gisent les destins, enchevêtrés, frémissants.*
À l’aube naissante, sous le souffle du silence,
Une voix s’élève, fragile et résonnante.
D’elle jaillit un chant, doux et puissant à la fois,
Qui rompt le sommeil des âmes et les lois
Des hommes, aux grilles de fer forgées d’ignorance.
*Telle la plume caressant le papier d’espérance,
L’humanité s’inscrit en vers de résilience.
À travers champs et villes, forêts et océans,
Rougissent les horizons d’un rouge sang militant.*
Face aux torrents furieux de l’oubli et de l’absence,
S’édifie un pont, œuvre de la bienveillance.
Nous, bâtisseurs de mondes, de rêves, artisans
De mots, forgeons l’écho d’une égale résonance.
*L’instant d’une étreinte où se mêle l’existence,
Deux âmes s’unissent en parfaite congruence.
Dans cet éclat fugace, cette étincelle précieuse,
Se révèle l’ampleur de la vie, riche et couteuse.*
Les chaînes tombent, au son des clameurs, élévations,
Émerveillement de ces nouvelles fondations.
En lettres d’or, gravons l’épopée de demain,
Où chaque homme, chaque femme, trouvera son chemin.
*Troubadours des temps modernes, poètes de vérité,
Leurs mots voyagent, au-delà de l’humaine cité.
La toile du poète est tissée de fils d’espoir,
Un canevas où l’amour et la paix se font voir.*
Quand vient le soir, et que s’apaisent nos passions,
Dans le silence, écoutez les battements des nations.
Voici le temps d’écouter, d’apprendre, et de comprendre,
De délier les langues, les cœurs, et de se rendre
*Aux confins du possible, au royaume de l’empathie,
Où chaque pensée, chaque mot forge une symphonie.
L’écho de la plume, c’est le battement du monde,
Un rythme à suivre, profond, et qui féconde.*
C’est dans l’intime, à l’abri des regards indiscrets,
Que germe l’édifice de demain, discret, parfait.
Les chaînes rompues, laissons nos âmes vagabonder,
Sur les chemins de l’équité, enfin illuminés.
*Que ce poème trace le sillage de notre quête,
Un voyage au cœur de l’être, sans aucune disette.
Le souffle des mots qui, sans cesse, nous inspire,
La force qui vibre, et jamais ne se retire.*
Que ce long cheminement vers la justice soit un guide,
Une boussole pour l’esprit, un cœur qui ne se vide.
Les chaînes de l’inégalité, griffes d’un passé révolu,
Se métamorphosent en liens de fraternité tenus.
*Quand les nuages se dissipent et que l’horizon s’éclaire,
Chacun contemple l’œuvre commune, une fresque sincère.
Dans la palette infinie de l’expérience humaine,
Se dessine l’esquisse d’une vie plus sereine.*
Ainsi s’achève notre ode aux cœurs éveillés,
Un hymne aux jours meilleurs, tendrement reliés.
Dans le creuset de l’émotion, une vérité s’installe :
La vie est un poème, où chaque strophe s’entremêle.
Par la splendeur de la langue, le mystère de l’existence,
S’épanouit dans nos vers, la douce sapiens.
Brisons les chaînes, non par force mais art et poésie,
Pour que chaque âme dans l’unisson trouve sa mélodie.
