Les énigmes des cités d'or
Dans l’aube naissante aux mille couleurs,
Où le monde éveille ses douces heures,
Commence ce voyage aux terres éphémères,
Vers les cités d’or, mystère de notre sphère.
Au lointain, les montagnes embrassent le ciel,
Gardiennes silencieuses de secrets éternels.
Le soleil déverse son or sur les vallées,
Où rivières et forêts se mêlent en allées.
Sur le chemin parsemé d’éclats,
Des voyageurs cherchent, le cœur en émoi.
Ils suivent les étoiles, cartes célestes,
Guidés par des rêves, visions manifestes.
Les cités d’or, splendeurs invisibles,
Appellent les âmes sensibles.
Elles se dérobent aux esprits forts,
Se révélant à ceux qui défient le sort.
Chaque pas dans cette quête infinie,
Est une énigme, une poésie
Qui se dévoile dans le souffle du vent,
Dans le chant d’un oiseau, doux et envoûtant.
Par delà les plaines, au-delà des mers,
Les échos de cette quête se perdent dans l'éther.
Les cités scintillent, lointaines, insaisissables,
Promesses de richesses, de joies ineffables.
Les voyageurs, armés de leur seule foi,
Affrontent tempêtes, démons et désarroi.
Ils apprennent à lire les silences,
À trouver dans l’ombre, la lumière en essence.
Nous sommes tous chercheurs de ces cités,
Guidés par nos rêves, par nos idées.
Dans cette quête, chaque cœur battant,
Est un univers, vaste et surprenant.
Au fil des jours, les énigmes se tissent,
Dans le tapis de notre vie, elles s'immiscent.
Chaque épreuve, chaque bonheur,
Est une pièce d’or, un fragment de notre cœur.
L’or véritable n’est point métal,
Mais bien la connaissance, cruciale.
Dans les méandres de nos âmes,
Reposent les réponses, éteignant les flammes.
Les cités d’or sont en nous, cachées,
Elles attendent que l’on soit prêts à les chercher.
À travers l’amitié, l’amour, ou la passion,
Elles se révèlent, offrant libération.
Et quand soudain nos yeux s’ouvrent,
Sur les merveilles que nos cœurs couvent,
Les cités d’or ne sont plus chimères,
Mais des vérités, belles et sincères.
Cette quête, bien plus qu’une légende,
Devient le miroir de notre propre entente.
Elle nous enseigne la patience, la persévérance,
Dans le labyrinthe de l’existence, notre danse.
Ainsi, les énigmes des cités d’or,
Ne sont au final que des portes, des corridors,
À travers lesquels nous trouvons, émus,
Les réponses aux questions jamais résolues.
Puissions-nous continuer à chercher,
À questionner, à rêver, déterminés.
Car au cœur de notre voyage, insondable,
Réside le trésor le plus précieux, le plus louable.
Et lorsque la nuit tombera, calme et douce,
Nos âmes enrichies, de paix seront la source.
Nous comprendrons alors, clairs et lucides,
Que les véritables cités d’or sont celles que l’on bâtit, unies.
Dans cette poésie de notre existence,
Les énigmes et mystères trouvent sens.
Nous sommes les architectes de ces cités,
Forgeant avec amour notre destinée.
Telle est la conclusion de notre épopée,
Au cœur des cités d’or, nos vies entrelacées.
Dans le creuset du temps, nos espoirs fondus,
Construisent l'avenir, indompté et vécu.
La quête jamais ne s’achève, éternelle,
Elle nous porte, sublime et rebelle.
Les énigmes des cités d’or, si désirées,
Sont le voyage même, par l’amour éclairé.
