Les lumières de Voltaire
Dans le silence doré de l’aube qui s’éveille,
Une mélodie douce, comme tirée d’un rêve,
S’élève, demandant à l’obscur de se taire,
Pour narrer l’histoire éternelle des lumières de Voltaire.
Au commencement était la pensée,
Pure et libérée des chaînes du doute,
Elle dansait, légère et inspirée,
Tissant des rêves sur la route.
Les mots, tels des perles de rosée,
Capturaient l’essence exacte de l’existence,
Chaque phrase, une mosaïque osée,
Dépeignant l’univers sans résistance.
Dans ce jardin luxuriant de métaphores,
Où bourgeonnent les idées en fleurs,
Chaque pétale dévoile des trésors
De connaissances, de douleurs et de couleurs.
Puis vint l’harmonie dans la complexité,
Où le rythme des vers coulait comme un fleuve,
Reflectant la beauté dans sa diversité,
Où chaque mot trouve sa place, son épreuve.
L’encre, mémoire de notre humanité,
Traverse les âges, les cultures, fidèle,
De parchemins en écrans illuminés,
Elle unit les mondes par un fil immortel.
Et au cœur de cette quête s’illumine,
Une vérité, simple mais profonde,
Que dans le chaos du monde germe et domine,
La lumière, guide sûr qui nous répond.
Elle surgit, étincelle dans la nuit,
Éclairant les recoins de nos âmes perdues,
Révélant que chaque homme, chaque femme, poursuit
Un chemin unique, de ses rêves revêtus.
Là, sous l’immensité du ciel étoilé,
Nos vies se dessinent, fragiles éphémères,
Pourtant, gravées dans le temps, elles sont saluées
Par le cosmos, témoins de notre époque éphémère.
Ainsi, dans l’entrelacs complexe du destin,
Nos voix s’élèvent, puissantes et sincères,
Traversant l’éther, à la recherche d’un matin
Où les lumières de Voltaire nous éclairent.
Et quand vient le crépuscule, doux et serein,
Nos pensées se rassemblent, s’apaisent en prière,
Pour que demain, plus lumineux soit le chemin,
Éclairé par la sagesse, les lumières de Voltaire.
Dans ce monde tissé de mille filaments,
Où chaque destin se fraye un passage,
Gardons à l’esprit ces moments
De transcendance, d’amour, et de courage.
Pour que jamais ne s’éteigne cette flamme,
Qui dans le cœur de chaque être bat et résonne,
Poursuivons cette quête, cette âme,
Vers un avenir où la lumière se donne.
En partageant cette épopée d’espoir et de rêves,
Nous forgeons le récit d’une humanité nouvelle,
Où les mots sont des ponts, et chaque trêve
Un pas de plus vers la beauté universelle.
Car, au fond, ce qui nous lie, au-delà des mots,
C’est cette étincelle au cœur de la nuit,
Ce désir brûlant de chercher plus haut,
Et dans les lumières de Voltaire, trouver l’infini.
Ainsi se clôt cette odysée,
Non pas comme une fin, mais comme une porte,
Ouvrant vers l’inconnu, prête à être franchie,
Par ceux que la lumière transporte.
Que ce poème soit un phare,
Dans le tumulte de notre monde fragmenté,
Guidant vers des lendemains plus clairs,
Sous les auspices des lumières de Voltaire.
Dans la valse des siècles, où tout semble éphémère,
Gardons précieuse la flamme de nos idéaux,
Car, dans chaque cœur, résonne l’écho
D’un futur illuminé, libre et prospère.
En conclusion, mes amis, souvenons-nous,
Que malgré les tempêtes et les doutes,
La lumière demeure, guide doux,
Dans les lumières de Voltaire, notre route.
Que nos mots, nos pensées, nos actions,
Portent la promesse d’un horizon rayonnant,
Où la sagesse de l’esprit transcende les nations,
Et où, ensemble, nous marchons, éclatants.
Pour que notre passage sur cette terre,
Marqué par les strophes de notre existence,
Soit un hymne à la vie, à l’univers,
Baigné dans les éternelles lumières de Voltaire.
