Plume de poète
Plume de poète
Bienvenue sur mon blog, je suis Nathalie Cali, dans les recoins tranquilles de mon quotidien, j'explore l'art de tisser des mots en poèmes et histoires pour enfants, chaque texte que je partage sur unpoeme.fr est un fragment de mon imagination, conçu pour éveiller la curiosité et l'enthousiasme des jeunes esprits, qand je n'écris pas, je me plonge dans le monde des livres, toujours à la recherche d'inspiration. Rejoignez-moi dans cette aventure littéraire, où chaque histoire est une fenêtre ouverte sur un univers de rêves et de découvertes.

Les mystères de la cour des Médicis

Les mystères de la cour des Médicis

Dans l’antre d’un silence, où le mystère forge,
S’éveille une histoire, que le temps désespère,
Sous le ciel de Florence, l'aube se gorge
De rêves et intrigues, dans l'air embrasé d'hier.

Aux confins de nos coeurs, où palpite l’énigme,
Se tissent les destins, en étoffe précieuse,
Où chaque fil d’argent, porte en soi un régime,
De passions cachées, et d'histoires nébuleuses.

La cour des Médicis, d'une opulence rare,
Abrite sous ses voûtes des âmes que tout sépare,
Pourtant, unies dans l’ombre, en un ballet discret,
Elles dansent, figées, par le destin muet.

Les couloirs en écho, de secrets murmurent,
Des complots se trament, tels des ombres qui murmurent,
Sous les ors et les marbres, les masques s'entrelacent,
Et les coeurs sous leur armure, timidement s'enlacent.

L'amour en contrebande, tel un fil d'or fin,
Se faufile doucement, à travers le destin,
Tissant entre les âmes, une toile éphémère,
Qui défie le temps, et ses lois sévères.

Des jardins suspendus, aux parfums d'ambroisie,
Onde l'écho d'un rire, qui à l’âme s'allie,
Pour caresser le soir, de son toucher si doux,
Où chaque fleur s’éveille, sous le baiser d'un loup.

Puis, la lune s’élève, témoin silencieux,
Sur cette scène antique, théâtre des amoureux,
Où les cœurs s’emprisonnent, dans une valse éternelle,
Sous le voile de nuit, leur amour scintille et appelle.

Et dans la lueur fauve, où le temps s’est perdu,
Chaque pas, chaque souffle, semble être entendu,
Comme un désir ardent, que la distance enlace,
Brisant chaque barrière, que le destin place.

Les étoiles, témoins de cette éternité,
Scintillent d'une lueur, d'amour sanctifié,
Guidant les pas perdus, dans l’immensité,
Où résonnent les voix, d'une douce éternité.

Mais l’aube, en son empire, reprend ses droits,
Et le jour efface, les ombres de la voie,
Laissant derrière lui, un murmure, une trace,
D'un amour infini, que le temps efface.

Ainsi va la vie, sous les soleils passants,
Entre ombre et lumière, marchent les vivants,
Portant dans leur coeur, un fragment d'étoile,
Un rêve évanoui, que le jour dévoile.

Dans le creux des silences, où les mots s'endorment,
Réside une vérité, simple et sans forme,
Que seul l’amour réveille, en un doux frisson,
Transcendant le temps, et ses vaines prisons.

Et c’est dans la cour des Médicis, en ses mystères clos,
Que l’histoire se tisse, entre ombre et flambeau,
Offrant à notre regard, un trésor si précieux,
Celui de comprendre enfin, que dans l’univers silencieux,

Chaque vie, chaque rêve, porte en lui la lumière,
D'un amour sans fin, défi au firmament entier,
Nous invitant à croire, en une humanité entière,
Dans laquelle nos âmes peuvent, libres, vagabonder.

Que ces mots, tels des perles sur le fil du temps,
Puissent éveiller en vous, la quête et le serment,
De chercher dans le silence, les réponses cachées,
Et de trouver, dans l'ombre, la lumière recherchée.

Les mystères de la cour des Médicis révélés,
En échos et métaphores, dans nos coeurs scellés,
Nous rappellent, insaisissables et pourtant si présents,
À chercher plus loin que le visible, plus profondément.

Et à travers ce voyage, où langue et vie s'entrelacent,
Se découvre un univers, où l’amour seul fait face,
À l'immensité du temps, à la vastitude de l’espace,
Où finalement, ce sont les mots, qui tout embrasse.

Dans l'éternel ballet, des jours et des nuits,
Se trouve la danse, où chaque vie s'ensuit,
Dans l'harmonie du monde, en sa mélodie subtile,
Réside la beauté, la lumière fragile.

Alors laissez-vous guider, par ce poème, cette quête,
Dans l’immense labyrinthe, où chaque mot est une fête,
Pour y découvrir, au-delà des masques et des apparences,
La richesse infinie, l’amour, la renaissance.

Et ainsi se clôt notre récit merveilleux,
Sous le ciel de Florence, mystérieux et précieux,
Où les secrets de la vie, en filigrane d'or,
Nous enseignent que chaque instant, est un trésor.

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