Lorsque le ciel se pare de mille couleurs,
En soirée, quand le soleil dit au monde son adieu,
Surgit dans le spectre de l’horizon une chaleur,
Phénomène éphémère, une peinture des dieux.
Hommage vibrant aux merveilles de notre Terre,
Éclat d’un orage, dans le noir, forge des épées,
Néanmoins, la fureur céleste, en elle, porte la guerre,
On y trouve aussi la paix, dans ce chaos semé.
Murmures du vent, dans les champs, caressent l’épi,
Ère où la nature dicte sa loi, majestueuse, infinie,
Nulle part ailleurs la beauté pure n’est aussi saisie,
Étoiles dansant dans l’abîme noir, une poésie.
Sur le rivage, les vagues récitent leurs ancientes légendes,
Nature orchestre son opéra, chaque élément un instrument,
Aventure où chaque nuance de la vie s’étend,
Tempête de sentiments, dans le cœur de l’entendement,
Unique dans son essence, le monde vibre en nous, ardemment.
Rivières qui coulent, libres, échappées des mains du temps,
Elles murmurent les secrets, doucement, prudemment.
L’aube, qui dans sa finesse, réveille l’espoir endormi,
Signe qu’après l’obscurité la lumière trouve son chemin,
Esquisse en nous la certitude que tout a son terme, son fin.
Phénomènes naturels, magnificence sans pareille,
Héritage du monde, une toile vivante,
Émerveillement constant, où se mêlent merveilles,
Nostalgie d’un instant, beauté si éclatante.
Ode à la nature, à son immuable force,
Miroir de notre âme, quand on la contemple, on s’y perd,
Ève en nous des sensations, des émois, une source
Naturelle de bonheur, d’univers secrets à découvrir, si fiers.
Ethéré spectacle, chaque jour différent, nouveau
Sur lequel, humblement, éternellement, nous posons nos yeux.
Dans ce poème, une danse avec les phénomènes naturels, une célébration de l’instant présent et de ses innombrables facettes. Chaque strophe est une fenêtre ouverte sur l’immensité du monde, un appel à reconnaître et à honorer la simplicité comme le sublime dans le quotidien.
En parcourant ces lignes, le lecteur est invité à s’immerger dans l’observation et la réflexion, à chercher la connexion profonde avec l’essence qui nous entoure et qui habite en chacun de nous. Ainsi, en dévoilant les nuances de la langue, de l’expérience humaine et de la vie, ce poème aspire à raviver en nous l’émerveillement et la gratitude envers les phénomènes naturels, ceux qui tissent l’étoffe de notre existence.