Les tribulations de Molière
Dans l'antre de la nuit, se tissent des songes,
Où l'obscurité livre bataille à la lumière,
Dans ce ballet incessant, naissent les éloges,
D'un monde oscillant, entre hier et l'ère future.
Au seuil de l'aube, s'éveille le verbe,
Fleurissant sous la rosée, il murmure et célèbre,
L'odyssée d'une plume, en quête de l'absolu,
Naviguant les marées de l'existence, dénuée et reclus.
Quand la brume se dissout sous les premiers rayons,
Là se dévoile l'éclat, d'un soleil au zénith,
Les mots, telles des perles, s'enfilent en horizons,
Dans l'immensité d'un ciel où l'imaginaire s'édifie.
Au cœur des cités, où se mêlent les destinées,
Chaque ruelle murmure les rêves des passants,
Dissimulant sous leur pavé, des histoires enfouies,
Que seul le poète, avec grâce, ressuscite fervemment.
Sur la toile vierge de notre monde en mouvement,
Les vers coulent, puissants, tels des rivières rebelles,
Forgeant des paysages, où chaque mot est un ferment,
Et chaque rime porte l'écho d'une quête éternelle.
Dans l'écrin de la nuit, où resurgit l'inspiration,
Les étoiles guident la plume, à travers le firmament,
Révélant les mystères, dans une douce invocation,
Où chaque poème est un voyage au-delà du temps.
Et quand enfin, l'aurore dévoile ses premières lueurs,
Le monde s'éveille, imprégné de ces récits ancestraux,
La magie persiste, dans le cœur des hommes de labeur,
Eclipsant la sombre réalité, dans un éclat triomphal.
Car les mots ont ce pouvoir, d'unir et de transcender,
De peindre nos vies, sur l'immense canevas du destin,
Dans cette quête de sens, où chaque vers est pesé,
Nous trouvons le reflet de nos âmes, en chemin.
Ainsi, à travers les âges et les pages, se perpétue,
L'essence de l'humanité, dans son immense diversité,
Un echo de nos joies, nos peines, sous une plume résolue,
Forgeant ainsi, un héritage, dans l'éternité de la beauté.
Hommes et femmes de tous horizons, entendez,
Les murmures du vent, portant les paroles sages,
Dans ce monde en tumulte, où tout semble effréné,
Retrouvons-nous, dans l'unité de ces vers, hommage.
Et voilà que les tribulations de Molière, s'évanouissent,
Dans la douceur d'une nuit, où les étoiles conspirent,
À offrir, dans leur silence, des réponses, qui se glissent,
Entre les lignes d'un poème, où tous les soucis expirent.
Dans cette oeuvre finale, s'étend un tableau vivant,
Où les couleurs de l'existence se mêlent avec ardeur,
Un miroir de notre monde, avec ses tourments,
Et ses moments de grâce, témoins de notre valeur.
Le poète, tel un architecte de l'effable,
Construit des ponts, entre les âmes, inébranlable,
Son travail, témoignage éloquent d'une quête,
De beauté, de vérité, dans la complexité de la fête.
Car, chaque mot, chaque vers, façonne,
Un univers, où l'humain se redécouvre,
Dans la magnificence de la création, il sonne,
L'appel au partage, à l'amour, sous la couverture.
Les tribulations de Molière, au-delà de leurs échos,
Sont un hymne à la vie, riche en enseignements,
Elles nous invitent, à chercher, au plus haut,
Les réponses aux mystères, dans un doux épanouissement.
C'est dans le langage, que réside notre véritable force,
Cet outil, qui défie le temps, et traverse les époques,
Dans ses méandres, il porte, une lumière, qui écorce,
Les ténèbres, illuminant ainsi, les routes équivoques.
Alors, que le dernier mot de cette épopée, résonne,
Puissent tous comprendre, la valeur de l'écrit,
Dans l'odyssée de la vie, où chaque seconde, sonne,
Un pas de plus, vers l'infini, sur ce chemin, béni.
Les tribulations de Molière, bien plus qu'une ode,
Sont un témoignage, de notre Humanité toute entière,
Dans ce monde en perpétuel renouveau, mode,
Où la poésie est le phare, éclairant nos frontières.
