L'horizon des rêves
Dans la vaste étendue de l’azur éternel,
Où se mêlent les couleurs du crépuscule tendre,
Un souffle, un murmure, une vie s'y fait entendre,
Où chaque mot éclôt en pépite immortelle.
Au commencement fut le rêve, audacieux,
Voyage sans bagage au-delà des étoiles,
Où chaque pensée est un navire qui appareille,
Vers des mondes lointains, mystérieux et précieux.
Sous le dôme céleste où danse la lumière,
La quête commence, fervente et singulière.
L'espoir se tisse en voile, tendu vers l'horizon,
Chaque homme, chaque femme, y cherche sa chanson.
Dans cet espace pur, où le futur s'écrit,
Le cœur, palimpseste, de nos désirs s’enrichit.
Là, l’imaginaire construit ses cathédrales,
Où chaque pierre dit la gloire de l'Idéal.
Et le voyageur, sur son chemin d'étoiles,
Apprend que chaque pas modifie le voile
De la nuit, où scintillent des possibles nouveaux,
Guidé par le phare des rêves les plus beaux.
Au fil des constellations de nos envies,
Le destin tisse sa toile, éclaire nos vies.
À travers les ombres de nos doutes, des lueurs,
Des éclats de courage, des fragments de bonheur.
Sur le rivage des temps, éphémère demeure,
Chaque instant est un joyau, une larme, une fleur.
Dans le jardin du monde, sous le ciel changeant,
La beauté surgit, éphémère, dans le souffle du vent.
L’âme, voyageuse éternelle, cherche son reflet,
Dans le miroir des jours, la vérité qu’elle quête.
L'horizon s'élargit, devient jardin secret,
Où chaque rêve planté peut enfin germer.
Dans cette quête sans fin, l’amour est le guide,
Faisant fi des tempêtes, des vents qui nous lapident.
Il construit des ponts, là où les abîmes se creusent,
Illumine les gloires, comme il essuie les pleurs.
Alors, sur ce chemin où l'espoir est palpable,
Chaque âme se découvre, forte et vulnérable.
Dans l’écho de nos pas, l’ébauche d’un futur,
Où l’humanité s’entend, unité dans l’azur.
L’horizon des rêves, vaste tapis d’étoiles,
Nous rappelle que rien n'est jamais vraiment banal.
En chacun de nous, un univers s’étend,
Peuplé de mille rêves, qui vers l’horizon tendent.
Et dans ce grand ballet cosmique et silencieux,
Chaque existence trouve son rythme, son lieu.
N’est-ce pas là, la plus grande des aventures,
D’explorer en soi, les infinies textures ?
Ainsi, au cœur de la nuit, brille l'espérance,
Que chaque rêve nourri forge notre existence.
Dans le silence des espaces infinis,
Nos rêves sont des feux, éternels phénix.
Ce chemin que l'on arpente, aux reflets d'argent,
Est pétri d’espérance, de désirs frémissants.
Là, où se tisse l’horizon de nos rêves,
Se trouve la clé, que chaque cœur se lève.
Dans ce poème de vie, où chaque vers est un pas,
Vers l'autre, vers soi, vers ce que l'on ne voit pas,
L’horizon des rêves s’offre, vaste et infini,
Invitant chaque âme à un perpétuel épanoui.
Que chaque mot prononcé, chaque geste posé,
Soit empreint de ce désir de beauté, de vérité.
Puisque, au bout de notre quête, au détour d’un regard,
Réside la promesse d'un monde moins hagard.
Alors, face à l’immensité du ciel nocturne,
Rappelons-nous que nos rêves sont les urnes
Où brûlent les feux vifs de nos âmes dansantes,
Là où se tisse, en secret, l’espérance ardente.
L'horizon des rêves, miroir de nos cœurs,
Est cette terre promise, berceau de nos ardeurs.
Dans cet infini, notre humanité se déploie,
Révélant la grandeur d’un « nous » en émoi.
C'est dans ce dialogue entre l’âme et l’horizon
Que se révèle la splendeur de notre condition.
À travers le prisme de nos ivresses, de nos peurs,
Bâtissons un demain, écho de nos cœurs.
L’horizon des rêves, finalement, n’est autre
Que le reflet d’une quête, profonde et haute.
En ses terres inconnues, chaque pas est un mot,
Écrit dans le grand livre où nos vies font écho.
Dans cette symphonie de rêves et d'étoiles,
Notre œuvre commune, fragile et sans faille,
Dévoile l’essence de notre être véritable,
Dans l'univers, vaste ballet incommensurable.
Là, au fond de nos cœurs, dans ce silence profond,
Résonne l’appel de l'horizon, monde sans fond.
Et dans cette quête, éternel recommencement,
Se dessine le chemin de notre épanouissement.
En regardant au loin, vers cet horizon des rêves,
Se décèle la promesse d'une aube qui se lève.
Dans le sillage de nos espoirs, de nos envolées,
Brille l’étoile de notre humanité révélée.
