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Ma Bohème : Poème Inspiré par Rimbaud pour Éveiller l’Âme

Dans le sillage des mots d’Arthur, je m’élance,
Au gré de mes pensées, dans une vie errante,
Cherchant des éclats d’une réalité vibrante,
Comme un cavalier fou, en quête d’une danse.
Évoquant ma bohème, je trace des silences,
Où chaque étoile rêve, et chaque ombre chante,
Des refrains oubliés, des murmures d’enfance,
Dans le vent des ruelles, ma liberté s’étend.

Ô ma bohème, tel un flambeau tremblant,
Égaré dans la nuit, tu es ma douce ivresse,
Des instants éphémères aux éclats de diamant,
Nos pas sur le pavé, une tendre promesse.
Je m’en vais avec toi, funambule errant,
Les cœurs à découvert, sans peur ni tristesse,
Dans les salons de fumée, où le monde s’étend,
Les rêves se mêlent, et la vie s’oppresse.

Tu es cette lumière, dans une brume épaisse,
Un éclat de bonheur, une rime presque,
Parlons à la lune, à haute voix, sans cesse,
Révélons nos secrets, dans cette nuit céleste.
Les poètes enivrés, les âmes en liesse,
Chantent au clair de lune, une ode en proteste,
Alors que sous nos pas, la terre est une fesse,
Les amoureux s’embrassent, dans un souffle de tendresse.

Écoute, ma bohème, ces frissons d’un temps,
Ces vignes de bonheur, à notre court parcours,
Où les notes s’envolent, comme des mots d’argent,
Des espoirs tatoués dans le juvénile jour.
L’étoile du matin, douce et réjouissante,
Chuchote à nos âmes, un refrain d’amour,
Et au delà des craintes, des douleurs pesantes,
Nous serons les bâtisseurs d’un éternel séjour.

Ainsi, je t’embrasse, ô muse de mes jours,
Dans cette feinte légèreté, j’embrasse l’instant,
Ma bohème si vive, à l’horizon du jour,
Je te suis, libre esprit, dans le vent d’un chant.
Faisons de nos visions, un poème fou et lourd,
Écrivons chaque page, chaque acte saisissant,
Car la vie est un songe, un miroir toujours,
Où l’âme se dévoile, à l’infini dansant.

Quand les ombres s’étirent et que le monde s’endort,
Retenons ces instants, ces éclats précieux,
Car la bohème en nous, en son cœur, emporte
Les rêves insensés, les rires, les adieux.
Dans le souffle des ruelles, où vibrent les accords,
Puissions-nous nous rappeler, heureux, audacieux,
Que vivre est une fête, un éternel effort,
Où chaque pas résonne, dans ce chant délicieux.

Ma Bohème | Rimbaud | Poésie | Liberté | Rêve
Écrit par Clara N. de unpoeme.fr

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